Mais les sushis proprement dits ne sont apparus qu'au XIXe siècle, à Edo, la future Tokyo. Les historiens attribuent la paternité de ce plat, et surtout des nigirizushi (pressés à la main surmontés de lamelles de poisson) que nous connaissons, au marchand Hanaya Yohei (1799-1858).
Le « sushi » n'est pas d'origine japonaise. Il est né en Chine au IVe siècle av. JC. comme une forme de conserver le poisson en le laissant fermenter dans du riz cuit à la vapeur et rangé dans des pots pendant plusieurs mois.
Europe : la France, plus grand consommateur de sushis.
Le sushi est évidemment un produit japonais. Encore que, les historiens pensent qu'au départ, l'idée de conserver du poisson dans du riz (ce qui est l'idée de départ du sushi) est chinoise. Le sushi devient cependant japonais assez rapidement.
Etymologiquement, le mot sushi vient de « SU » signifiant « vinaigre » et « SHI » signifiant « riz ». Le terme est employé pour décrire un morceau de poisson cru ou de mollusque ou de crustacé sur un lit de riz, de la taille d'un doigt.
Bien que le Japon soit certainement la capitale mondiale du sushi et qu'il soit responsable de l'introduction de ce plat auprès des voyageurs, les origines du sushi remontent à un plat chinois appelé narezushi.
O Sushi : le plat japonais par excellence
Parmi les plats typiques japonais, le sushi est probablement le plus connu au monde : une boule de riz vinaigré surmonté d'une lamelle de poisson cru, un délice !
De Tokyo à la Norvège
Mais les sushis proprement dits ne sont apparus qu'au XIXe siècle, à Edo, la future Tokyo. Les historiens attribuent la paternité de ce plat, et surtout des nigirizushi (pressés à la main surmontés de lamelles de poisson) que nous connaissons, au marchand Hanaya Yohei (1799-1858).
Sushi en chinois » 须志 calligraphié — Chine Informations.
Alors pourquoi les sushis sont-ils chers ? Pour obtenir des sushis de qualité, il faut des ingrédients de qualité et des chefs hautement qualifiés. Le prix des importations et la préparation de chaque plat de sushi représentent la majeure partie des revenus des restaurants de sushi.
"Il faut compter entre 11 et 13 euros par menu pour consommer ce plat", remarque Bernard Boutboul. "En moyenne, un consommateur va y dépenser 11,50 euros, c'est deux fois plus qu'en restauration rapide". Autre écueil : les doutes sur la sécurité alimentaire.
Au Japon, le chef cuisinier qui confectionne les sushi s'appelle itamae.
En effet, contrairement à ce qu'imaginent beaucoup de visiteurs, un « bon » sushi se mange « chaud » ! c'est à dire, à température de la langue. Dans un restaurant digne de ce nom, le riz tout juste cuit est façonné de la main et directement placé face au client.
Le poisson froid et ferme combiné au riz, à la sauce et à d'autres ingrédients donne une combinaison unique et délicieuse. Rapidement, le sushi est devenu l'un des plats internationaux les plus populaires depuis un siècle environ, et il est facile de trouver un restaurant de sushi où que l'on soit dans le monde.
Les rouleaux sont découpés en petits tronçons avant d'être servis. Le sashimi ne ressemble en rien au sushi. Il s'agit d'un plat japonais composé uniquement de tranches de poisson cru. Toute la finesse du sashimi est dans la découpe de la chair des poissons.
Produit tendance à la fin des années 1990, le sushi est désormais un produit accessible et intégré dans la gastronomie française. Aujourd'hui, près de 50% des Français déclarent tout de même ne pas consommer de produits japonais.
Pour manger ses sushis comme il se doit, il est recommander de tremper délicatement la partie recouverte de poisson cru dans la sauce soja en tournant le sushi de 90° sur la gauche entre ses baguettes. Vous conservez ainsi toutes les saveurs de votre sushi.
C'est une forme de fast food, vendue à l'origine dans des stands de cuisine de rue appelés yatai, puisque le poisson n'était pas fermenté et qu'il était facile de manger des sushis avec une seule main.
Le california roll est donc né dans les années 70 à Vancouver, dans le restaurant de monsieur Tojo, qui l'a baptisé "Inside-out roll". Et si il porte aujourd'hui le nom de "california", c'est parce que ce maki revisité est la recette favorite des clients de Hidekazu Tojo venus de Californie !
Le meilleur riz pour réaliser des sushis maison est le riz japonais, appelé aussi « japonica ». Il peut être cultivé en Californie ou en Espagne, comme celui de la marque Tamanishiki (mais elle peut être difficile à trouver en France). C'est un riz naturellement sucré et collant : idéal pour façonner les sushis.
Sushi (cuisine japonaise) : Le sushi (寿司) est un plat japonais composé d'un riz vinaigré appelé shari (舎利) combiné avec un autre ingrédient appelé neta (寿司ネタ) qui est habituellement du poisson cru ou des fruits de mer.
Le petit-déjeuner traditionnel japonais est un repas à l'image du déjeuner et du dîner, composé d'une succession de petits plats salés. On y retrouve les mêmes aliments : riz, poisson grillé, natto et soupe miso, accompagnés de thé vert.
Le sumo est un sport national répandu et célèbre au Japon, pourtant il existe d'autres sports plus ou moins traditionnels à découvrir. Si l'on vous parle de sport au Japon, vous penserez probablement au sumo.
Pour les Chinois, un coulis de riz est consommé au petit déjeuner, tel que le veut la tradition. Cela est aussi convenable pour une personne atteinte de la grippe. Mais la soupe aux vermicelles suivie de quelques bouts de porcs ou de légumes s'avère la plupart du temps être le plat incontournable des Chinois.