En fin de compte, Truman prit la décision de lancer les bombes atomiques sur le Japon. Son intention explicite était de sauver des vies américaines, de hâter la fin de la guerre en infligeant la destruction et en répandant la peur d'une plus grande destruction suffisamment puissante pour inciter le Japon à se rendre.
1Le 6 août 1945, c'est le lieutenant-colonel Paul Wartfield Tibbets qui fut le héros du jour. Il pilotait et commandait le bombardier Enola Gay (baptisé ainsi en hommage à sa mère) d'où fut larguée la bombe atomique qui devait détruire la ville d'Hiroshima.
Dans la perspective de l'après-guerre, il ne lui déplaît pas, ainsi qu'aux militaires et au lobby militaro-industriel, de faire la démonstration de l'écrasante supériorité militaire américaine. Ce sera le véritable motif de l'utilisation de la bombe atomique, la plus terrifiante des « armes de destruction massive ».
La cité fut choisie comme cible car elle n'avait encore subi aucun raid aérien. Selon le musée national de la ville d'Hiroshima, la ville fut volontairement épargnée par les Américains lors des bombardements conventionnels pour éviter tout dommage préalable, afin de mieux évaluer les effets de la bombe.
Les États-Unis ont largué la bombe Fat Man sur la ville japonaise de Nagasaki le 9 août 1945.
L'objectif de l'attaque était d'anéantir la flotte américaine stationnée à Pearl Harbor afin de conquérir sans difficulté l'Asie du Sud-Est et les îles de l'océan Pacifique.
Était-il donc nécessaire de lancer la bombe sur Hiroshima et sur Nagasaki ? Les conseillers de Truman avancèrent deux raisons. D'abord, il fallait convaincre le Japon de capituler sans conditions, d'autre part, la bombe mettrait fin à la guerre et permettrait d'épargner des vies humaines.
Devant les lourdes pénuries de pétrole et autres matières premières, et motivé par la volonté de remplacer les États-Unis comme puissance dominante dans le Pacifique, le Japon décida alors d'attaquer les forces américaines et britanniques en Asie et de s'emparer des ressources de la région.
La réponse classique est que l'état major japonais a eu peur de l'arme secrète utilisée à Hiroshima et Nagasaki, et que l'armée impériale était laminée.
En chiffres absolus, c'est l'Union soviétique qui a subi les pertes humaines les plus élevées, aussi bien en ce qui concerne les civils que les militaires : environ 21 millions de morts, c'est-à-dire 70 fois plus qu'aux Etats-Unis.
Les essais aériens à Reggane
Le premier essai nucléaire français, Gerboise bleue, est effectué le 13 février 1960 sur le champ de tir créé à Reggane, plus précisément à une cinquantaine de kilomètres au sud-ouest, à Hamoudia, au centre du Sahara algérien, à 600 kilomètres au sud de Bechar.
Le largage d'une bombe atomique par un avion américain B-29 sur la ville japonaise de Hiroshima, le 6 août 1945, puis d'une autre sur Nagasaki, trois jours plus tard, contribue, avec d'autres facteurs, à la capitulation du Japon et à la fin de la Deuxième Guerre mondiale.
Huit États souverains détiennent officiellement des armes nucléaires : les cinq puissances nucléaires de la guerre froide (les États-Unis, la Russie, la Chine, la France et le Royaume-Uni) et trois autres États qui ont acquis depuis cette capacité, l'Inde, le Pakistan et la Corée du Nord.
La première attaque atomique de l'Histoire
Le 6 août 1945 à 2 h 45 (heure locale), le bombardier B-29 piloté par Paul Tibbets, baptisé Enola Gay du nom de sa mère, décolle de la base de Tinian, avec à son bord une bombe atomique à l'uranium 235 d'une puissance de 15 kilotonnes, surnommée Little Boy.
Le 6 août 1945, le bombardier B-29 Enola Gay largue une bombe atomique au-dessus de la ville d'Hiroshima. L'explosion nucléaire tue plus de 100 000 personnes. Environ 30 000 mourront des suites des radiations. Trois jours plus tard, une seconde bombe est larguée sur Nagasaki.
États possédant l'arme nucléaire (États-Unis, Russie, Royaume-Uni, France, Chine). États reconnus comme possesseurs de l'arme nucléaire (Inde, Pakistan, Corée du Nord). État possédant l'arme nucléaire sans reconnaissance officielle (Israël).
La réponse est simple: l'Union Soviétique. Les Japonais étaient dans une situation stratégique relativement difficile. Ils approchaient de la fin d'une guerre qu'ils perdaient.
Héritage culturel et concurrence des cultures
Pour les Japonais, arc-boutés sur leur légendaire propreté et rigueur, les Chinois ne sont que des « sales paysans mal dégrossis ». La proximité est à l'origine de cette rivalité culturelle ancestrale.
1/ Les Japonais adorent la France et Paris. Les clins d'oeil à la capitale françaises sont nombreux, comme cette statue inspirée de la tour Eiffel, à Tokyo. 2/ Il n'y a pas de poubelles dans les rues de Tokyo. Mais les Japonais sont très propres et ne jettent pas leurs déchets par terre.
5 - Pearl Harbor, une victoire japonaise | Cairn.info.
La seconde guerre sino-japonaise est un conflit militaire qui dura de 1937 à 1945, et débuta à la suite de l'invasion de la partie orientale de la Chine par l'Armée impériale japonaise. Six ans après l'invasion de la Mandchourie, l'empire du Japon poursuivait sa politique expansionniste en Chine.
Le bombardement d'Hiroshima est un désastre pour l'humanité car elle a tué de nombreux civile lors de la seconde guerre mondiale. Ensuite, encore aujourd'hui cette région est radioactive et donc dangereuse pour la vie de l'homme et elle le sera encore très longtemps.
Au total, il apparaît que les survivants irradiés d'Hiroshima et de Nagasaki ont bien subi des dommages à long terme et, notamment, une augmentation significative de leur risque de cancer, particulièrement marquée pour les enfants exposés très jeunes.
2 septembre 1945 - Le Japon capitule, fin de la Seconde Guerre mondiale - Herodote.net.