La Martinique a été abordée par Christophe Colomb le 11 novembre 1493, lors de son second voyage.
La colonisation de la Martinique
On prête la découverte de la Martinique en 1502 à Christophe Colomb, mais il est en fait plus probable que ce soit Alonso de Ojeda qui découvrit l'île en premier en 1499. Avant 1635, l'île ne fut qu'un point de passage bref pour les Européens.
Colonisation en Martinique
La Martinique est conquise en 1794 par les Anglais qui empêchent l'abolition de l'esclavage. Récupérée par la France suite au traité d'Amiens, l'esclavage y est maintenu par Napoléon.
On prête généralement cette découverte de la Martinique par les Européens à Christophe Colomb lorsqu'il accoste sur le site de l'actuelle commune du Carbet le 15 juin 1502 au cours de son quatrième voyage vers les « Indes ».
Le nom d'Antilles a été donné à ces îles très peu de temps après leur découverte par Christophe Colomb.
Les deux îles font l'objet d'une mise en exploitation par la Compagnie des îles d'Amérique. Il s'agit d'une « compagnie à charte » ou compagnie privée qui a reçu du roi, en février 1635, différents privilèges fiscaux à charge de coloniser les îles en question (et de christianiser ses habitants).
La France est appauvrie par des années de conflits d'intérêt et par les guerres de religion qui sévissent en Europe depuis 1618. Le cardinal de Richelieu souhaite favoriser le commerce extérieur et le développement colonial de la France.
Ce sont des expéditions britanniques et françaises qui, à partir de 1625, marquent le début de la colonisation européenne à Saint-Christophe tout d'abord (aujourd'hui Saint-Kitts), puis à la Guadeloupe et à la Martinique et enfin dans les îles voisines.
La Martinique – en créole martiniquais Matinik ou Matnik, (anciennement appelée Iouanacaera ou Jouanacaera, (l'île aux iguanes) en langue caribe ou aussi Mantinino par les Autochtones (que Christophe Colomb a transcrit en île aux femmes, sans référence étymologique), est une île française située dans les Caraïbes et ...
Grâce à lui, la France est présente sur les océans Atlantique, Pacifique et Indien. La Terre Adélie, les Iles Australes, les Iles éparses, Clipperton, servent de support soit à des installations scientifiques, soit à des installations météorologiques ou de navigation.
Ces patronymes et matronymes ont été attribués aux anciens esclaves des colonies françaises lorsqu'ils ont été affranchis ou après l'abolition définitive de l'esclavage en France. Les noms donnés aux enfants étaient souvent les noms de famille de leur mère.
"Souvent les Antillais revendiquent leurs ancêtres bretons ou bordelais, et oublient le côté africain. Pourtant il a fallu être fort pour résister à un système comme l'esclavage, souligne-t-elle. Retracer notre généalogie c'est un moyen d'honorer ces aïeux."
Les paysages de Guadeloupe
Les îles, le paysage est plus varié et plus sauvage qu'en Martinique. À Grande-Terre, vous profiterez davantage des plages de sable et des lagons d'eau peu profonde, tandis qu'à Basse-Terre vous privilégierez les forêts tropicales et les paysages agricoles.
Première colonie française aux Antilles à partir de 1625, Saint-Christophe sert longtemps de point de départ pour coloniser d'autres îles. Occupée par les Britanniques à partir de 1702 pendant la guerre de la Succession d'Espagne (1701-1713), elle leur sera définitivement cédée en 1713.
Les Français s'implantent aux Antilles grâce aux Hollandais
En 1660, ce sera Sainte-Lucie. En 1664, Colbert dissout la Compagnie des Îles d'Amérique au profit de la Compagnie des Indes occidentales puis rachète la Guadeloupe et ses dépendances pour Louis XIV.
Depuis le Ve siècle avant notre ère, elles étaient habitées par des Amérindiens arawaks, les Taïnos. Les Kalinagos les auraient chassés vers les Grandes Antilles, à Hispaniola et Porto Rico, où ils vivaient encore lors de l'arrivée de Christophe Colomb en 1492.
Les Blancs créoles sont les descendants des premiers colons. Ils sont couramment appelés « Békés ». Cette appellation peut être ressentie comme péjorative [10]. Cependant, mes informateurs blancs créoles se désignent eux-mêmes comme « Békés ».
1Nul ne peut ignorer que la Caraïbe en général et les Antilles en particulier ont toujours été considérées comme l'arrière-cour ("backyard") des États-Unis. Pour l'Oncle Sam, en effet, ces pays voisins, situés à peine à un jet de pierre de la Floride pour certaines îles, sont parties intégrantes de l'Amérique.
Elle est composée de noirs, de métis, d'hindous (coolies), d'Européens (appelés « zoreille »), de « békés » pour ceux qui descendent des premiers colons européens, ainsi que de descendants de Syriens, Libanais, Asiatiques, d'immigrés d'origines diverses, Haïtiens, Saint-Luciens, etc.
Le 28 juin 1635, les Français Jean Duplessis et Charles de l'Olive, de la Compagnie des Isles d'Amérique (ou des Isles de l'Amérique), prennent possession de la Guadeloupe au nom du roi Louis XIII. C'est la plus ancienne dépendance française d'outre-mer.
C'est à eux que la Guadeloupe doit son nom Karukéra, " l'île aux belles eaux " en langue caraïbe. En novembre 1493, le navigateur espagnol Christophe Colomb débarque à Sainte-Marie, dans l'île qu'il appelle Guadeloupe, en référence au monastère de Santa Maria de Guadalupe d'Estrémadure.
Or, « Français », les habitants de la Martinique et de la Guadeloupe le sont depuis le règne de Louis XIII (1610-1643), bien avant ceux de Nice ou de Strasbourg.
C'est en 1625 que les Français et les Anglais prennent possession de la petite île de Saint-Christophe, à l'est des Grandes Antilles, un siècle et demi après la découverte de l'Amérique.
D'après l'étude, ce sont les animaux apportés par les colons tels que les chats, les rats, et même les ratons laveurs, qui auraient amené les serpents et les lézards guadeloupéens à disparaître.