Alexandre le Grand, après avoir vaincu les Perses, s'empare de l'Égypte en 332 avant notre ère, fonde la ville d'Alexandrie et inaugure la courte période macédonienne qui se termine dès 305 avant notre ère.
Les anciens égyptiens n'appellent pas leur pays Égypte. Ils utilisent le nom Kemet signifiant "le pays de la terre noire". Ce nom rappelle la terre noire qui se dépose au fond du Nil. Ce nom est utilisé en opposition au nom Desheret, soit "la terre rouge", qui désigne le désert.
Parmi les historiens et les archéologues, les uns supposent que la civilisation a remonté le cours du Nil, tandis que d'autres pensent qu'elle a suivi une marche inverse; dans la première des suppositions, les Egyptiens seraient venus de l'Asie, au lieu que dans l'autre, ils seraient d'origine africaine.
Narmer est souvent crédité d'avoir unifié l'Égypte par la conquête de la Basse Égypte par la Haute Égypte. Alors que Ménès est traditionnellement considéré comme le premier roi de l'Égypte antique, Narmer a été identifié par la majorité des égyptologues comme étant la même personne que Ménès.
Longtemps oubliées des archéologues, ces nécropoles livrent aujourd'hui les vestiges d'une des plus grandes civilisations que la terre ait portée. Les pharaon et reine noirs les plus connus se nommaient Taharqa et Kandake.
L'ultime représentant de l'institution pharaonique proprement dite est le dernier Lagide, Ptolémée XV (dit Césarion), fils de Jules César et de Cléopâtre.
La civilisation égyptienne a disparu sous la poussée des envahisseurs. Elle tombe sous la domination romaine en -30, puis dans le giron de l'Empire byzantin en 395. Cet empire, dont la capitale est Byzance (l'actuelle ville d'Istanbul en Turquie), a pour langue le grec et pour religion le christianisme.
L'histoire des pyramides remonte, au moins, au règne de Djéser (2667-2648), qui fit bâtir l'édifice à degrés qui domine son complexe funéraire à Saqqarah.
L'ère prédynastique, se termine, comme son nom l'indique, à la création de la première dynastie pharaonique. Elle survient avec l'unification du pays par Narmer. On donne parfois le nom de « dynastie 0 » aux rois qui se sont succédé jusqu'à Narmer aux alentours de 3100 à 3000 avant l'ère chrétienne.
Le premier pharaon historique serait Ménès qui, vers 3000 av. J-C, a réuni en un seul État la Haute-Égypte (le ruban de la vallée du Nil) et la Basse-Égypte (le delta du Nil). Le pharaon est considéré comme un dieu vivant.
En effet, de 1914 à 1922, l'Egypte est un protectorat britannique [1] mais la présence anglaise est bien plus longue puisqu'elle dure de 1882 à 1956.
En résumé, les anciens Egyptiens appartenaient à une race africaine (Négre) qui d'abord établie en Ethiopie est venue s'installer en Egypte en suivant le cours du Nil. Par la suite, la Grèce a pris à l'Egypte tous les éléments de sa civilisation, jusqu'au culte des dieux.
Les Égyptiens étaient polythéistes, c'est-à-dire qu'ils croyaient en de très nombreux dieux. Certains étaient adorés dans toute l'Égypte, d'autres seulement dans certaines régions ou même certaines villes.
L'égyptien ancien, la langue de l'Égypte des pharaons, est l'une des plus vieilles langues du monde. Nous avons tous en tête les hiéroglyphes dont la signification a été déchiffrée par Jean-François Champollion dans les années 1820.
"Dans les temples ou les tombes, la partie endommagée est la partie qui avait une fonction pendant un rituel. Si le rituel requiert que la statue sente, voie, entende ou encore mange, alors le nez, les yeux, les oreilles ou la bouche étaient détruits pour empêcher le rituel de fonctionner.
Selon l'hypothèse la plus précoce dans le temps, le coupable serait Jules César, dont les troupes incendièrent en 47 av. J.
Prenant de court ses ennemis, l'armée hittite semblait inarrêtable lorsqu'elle a affronté l'Égypte dans la plus grande bataille de chars de tous les temps. Ce relief représente un char écrasant un ennemi. Il a été réalisé entre le Xe et le VIIIe siècle avant notre ère dans le royaume néo-hittite de Karkemish, en Syrie.
Piye devient le premier empereur de la 25e dynastie d'Égypte (v. 770-656 av. J. -C.), la dynastie des « pharaons noirs ».
L'introduction dans le récit coranique de Pharaon du personnage de Haman a été démontré comme provenant de l'histoire d'Ahikar le Sage, livre araméen connu par un papyrus du V e siècle av. J. -C..
Ramsès II, le pharaon le plus célèbre de l'Histoire, a lui aussi connu cette destinée.
Le prophète Moïse, sous le nom de Moussa, est l'un des personnages les plus souvent cité dans le Coran (136 occurrences) tandis que le Pharaon de l'Exode y est présenté comme l'adversaire obstiné de Dieu et Moïse. Pharaon est mentionné 74 fois, seul ou suivi des noms de Hâmân ou Qârûn.
Titre donné aux souverains absolus de l'Égypte ancienne.