Dans les Évangiles
Judas Iscariote (ou Iscariot, ou Iscarioth) est, selon la tradition chrétienne, l'un des douze apôtres de Jésus de Nazareth. Selon les évangiles canoniques, Judas a facilité l'arrestation de Jésus par les grands prêtres de Jérusalem, qui le menèrent ensuite devant Ponce Pilate.
Selon les évangiles chrétiens, le préfet romain Ponce Pilate aurait interrogé Jésus avant d'ordonner son exécution. S'il doit sa notoriété au rôle qu'il joua dans le procès de Jésus, relaté dans les Évangiles, Pilate est une énigme.
Après sa mort, en 4 av. J. -C., l'empereur Auguste, tout puissant maître du monde romain, avait d'abord morcelé l'ancien royaume juif. Puis, à partir de 6 apr.
Joseph d'Arimathie (ou d'Arimathée selon les traductions), Ἰωσήφ ἀπὸ Ἀριμαθαίας en grec ancien, est un personnage du Nouveau Testament qui est introduit par les auteurs des quatre évangiles, dans la péricope de la mise au tombeau, comme un notable juif, membre du Sanhédrin, qui procède à la descente de croix et à l' ...
Situé dans l'Église du Saint-Sépulcre dans la Vieille ville de Jérusalem, le tombeau a été recouvert d'un revêtement de marbre datant au moins de 1555 ap. J. -C, et probablement des siècles plus tôt.
Et finalement, Jésus ne serait pas mort en 33, mais quelques années plus tôt – vraisemblablement le 7 avril 30, à l'âge de 36 ans. Un doute subsiste sur le lieu de cet enfantement.
Vers 248, le théologien Origène écrivait : « Tout le monde sait que [Jésus] naquit sous l'empereur Auguste qui, ayant soumis à sa domination la plus grande partie des hommes, les avait comme ramassés en un seul corps. »
Simon-Pierre est l'un des premiers disciples de Jésus. Persécuté pour sa foi chrétienne, le gouverneur Agrippa le condamne à la crucifixion à Rome. Ne se jugeant pas digne d'être sur la croix de la même manière que Jésus, il demande à subir son supplice la tête en bas.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Selon le Nouveau Testament, Joseph le charpentier est l'époux de Marie et le père adoptif de Jésus. Jésus est "né du Père et du Saint-Esprit".
Joseph est l'époux de Marie et le père adoptif de Jésus. De l'hébreu Yosef, son prénom signifie « il ajoutera ». Uniquement mentionné dans les évangiles de l'enfance de Jésus (Matthieu et Luc), il est présenté en tant que descendant du roi David.
On sait qu'il est charpentier à Nazareth et le métier de charpentier est alors hautement estimé pour sa compétence et son utilité. Joseph doit épouser Marie, mais ils n'habitent pas ensemble au temps de la conception. C'est lui pourtant qui donne le nom de Jésus à l'enfant qui vient de naître (Matthieu 1, 18-25).
Le « disciple bien-aimé » a souvent lui-même été identifié à Jean, fils de Zébédée, l'un des douze Apôtres. Mais des historiens comme Oscar Cullmann ont distingué deux Jean, l'apôtre et l'évangéliste, ce dernier étant identifié dans ce cas au « disciple bien-aimé ».
Pendant la Cène, le dernier repas du Christ, Jésus dit à ses disciples : « l'un de vous va me livrer ». Étonnés et attristés de cette nouvelle, ils demandent si c'est l'un d'entre eux. Jésus répond « Celui qui s'est servi au plat en même temps que moi, celui-là va me livrer » (Mt 26, 23).
Le bon Larron (du latin latro, « brigand ») est, selon les Évangiles synoptiques, un bandit crucifié avec son comparse, le Mauvais Larron, de part et d'autre de Jésus-Christ. Pour la chrétienté, il représente le premier saint pénitent.
Les quatre Évangiles affirment que Jésus fut crucifié entre deux autres condamnés que Matthieu (Mt 27, 38) et Marc (Mc 15, 27-30) qualifient de « bandits », et Luc (Lc 23, 32-33 et 23, 39-43) de « malfaiteurs ».
La croix de saint Pierre ou croix de Néron est une croix latine inversée. Elle est traditionnellement utilisée comme un symbole chrétien. La croix latine inversée est également un symbole anti-chrétien, à la signification contraire aux conventions traditionnelles de la symbolique chrétienne.
Peu de temps avant Pâques, selon la tradition chrétienne, Jésus est arrêté puis condamné à mort par crucifixion. L'inscription portant le motif de sa condamnation, fixée au-dessus de la croix, laisse entendre qu'il se serait proclamé « roi des Juifs », défiant ainsi les autorités politiques du moment.
Jésus-Christ aurait été crucifié à Jérusalem le vendredi 7 avril de l'an 30 de notre ère, à l'âge de 37 ans, d'après les calculs des historiens modernes, plus précis que le moine Denys le Petit qui, au VIe siècle, établit la naissance du Christ en l'an 753 de la fondation de Rome, soit cinq ans trop tard.
POURQUOI JUDAS A-T-IL TRAHI JÉSUS ? Cet apôtre s'est présenté devant les principaux prêtres dans le seul but de leur demander combien d'argent il pourrait gagner s'il leur révélait la direction exacte dans laquelle se trouvait Jésus-Christ.
Au moment d'entrer dans sa passion, Jésus est âgé de 37 ans. Vraisemblablement né en l'an 7 avant notre ère, il est arrêté et jugé par les autorités religieuses juives le soir et la nuit du jeudi 13 de nisan (6 avril), jugé par les Romains et crucifié le lendemain vendredi 14 nisan (7 avril) de l'an 30.
Le Vendredi saint est la commémoration religieuse célébrée par les chrétiens le vendredi précédant le dimanche de Pâques. Il marque le jour de la crucifixion et de la mort de Jésus-Christ.
Tradition chrétienne
Pour l'abbé Pierre Caussel (1651-1728), Jésus-Christ, depuis l'âge de douze ans jusqu'à trente ans environ, « demeura à Nazareth dans la maison de saint Joseph, travaillant de ses mains ».