Dans la dernière de ces dix phrases, Lincoln énonce le principe du « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » repris entre autres en 1946, à l'ordre des prépositions près, à l'article 2 de la Constitution de la Quatrième République française puis, mot à mot, dans le discours prononcé par Winston ...
Le grec Solon (640 à 558 av. J. -C.) serait à considérer comme le « père de la démocratie » : c'est au cours de son voyage en Égypte qu'il a connu pour la première fois cette notion d'égalité entre les êtres humains.
La souveraineté populaire repose sur le Peuple, c'est-à-dire l'ensemble des citoyens actuels d'un pays. La souveraineté populaire implique le suffrage universel (bien que J-J Rousseau ne soit pas contre l'usage du tirage au sort en démocratie), puisque chaque individu détient une part de souveraineté.
le 19 novembre 1863, Le président Lincoln prononce un discours pour l'inauguration du cimetière national en hommage aux victimes: "The Gettysburg Address".
La démocratie représentative, le gouvernement représentatif ou le régime représentatif est un système politique dans lequel on reconnaît à une assemblée restreinte le droit de représenter un peuple, une nation ou une communauté et de prendre les décisions la concernant.
Le Gouvernement prend d'abord fin, traditionnellement, au lendemain d'élections législatives – y compris lorsqu'elles ont été provoquées par la dissolution de l'Assemblée nationale – ou présidentielles. On parle alors de démission de courtoisie. Il prend fin également lors d'une démission collective du Gouvernement.
Les premières expériences d'un régime politique démocratique ont lieu pendant l'Antiquité, dans la cité grecque d'Athènes. Le terme « démocratie » vient d'ailleurs du grec ancien « dêmos », qui signifie « peuple », et « kratos », qui réfère au pouvoir : la démocratie est donc, littéralement, le « pouvoir du peuple ».
Ce terme désigne aujourd'hui tout système politique dans lequel le peuple est souverain. Par extension, la démocratie peut aussi qualifier une forme de société, la manière de se gouverner qu'adopte une organisation ou encore un système de valeurs.
Équilibre entre souveraineté, supranationalité et coopération intergouvernementale.
Il définit les lois, non comme des commandements à suivre mais comme « les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses » ; cette définition s'applique également aux lois humaines, et dans leur cas la « nature des choses » est définie par des éléments culturels (traditions, religion, etc.) et d'autres ...
La Première République française où le pouvoir politique est entre les mains des seuls censitaires en est un autre. Les vieilles république de Venise ou république des Provinces-Unies étaient tout autant et d'une façon encore plus exclusive dirigées selon des constitutions que nous nommerions oligarchiques.
Considéré comme le père de la démocratie, Périclès ouvre la vie politique à tous les citoyens athéniens.
Au sens propre, la Martinique, la Guadeloupe, Saint-Martin et autres territoires d'outre-mer ne constituent pas réellement des «États non souverains», car ils n'ont pas suffisamment d'autonomie aux plans législatif et judiciaire; ce sont des entités territoriales distinctes, sans toutes les caractéristiques d'un État ...
un gouvernement. l'entité possède la souveraineté
Dans le droit
Les pays anglo-saxons (en particulier les États-Unis) fondèrent leurs régimes institutionnels sur cette théorie. L'application française de la souveraineté nationale est souvent attribuée à l'abbé Sieyès. Elle fait coexister un régime représentatif avec des procédures de démocratie directe.
Aristote estime « qu'on ne doit pas élever au rang de citoyens tous les individus dont l'État a cependant nécessairement besoin. » Ainsi, dans la cité idéale dont il dessine les contours, les artisans et les esclaves ne sont pas citoyens, ni les métèques, même s'ils habitent tous dans la cité.
Qui doit gouverner ? Cette question, que chacun se pose avant de mettre son bulletin dans l'urne, est aussi celle de la philosophie politique depuis son origine. Le citoyen d'aujourd'hui est ainsi, sans toujours le savoir, l'héritier d'une longue tradition d'hésitation et de perplexité.
la responsabilité ; l'obligation de rendre compte de ses actes ; la participation ; la capacité de répondre aux besoins de la population.
Grâce à l'alliance de l'élite et du peuple, les Romains ont mis en place un régime politique qui perdura durant cinq siècles. Et fera école. Les historiens et archéologues s'accordent au moins sur la date de naissance de la République romaine : 509 av.
Il s'agit en effet, « d'une invention grecque, ou, pour être plus précis, une invention que firent séparément les Grecs, les Étrusques ou les Romains ». Tout au long du IIe millénaire av. J.
Ces valeurs comprennent le respect de la Constitution et de la primauté du droit, le respect de l'autorité légitime des ministres, la défense des droits et libertés de la personne qui sont le fondement d'une société démocratique et l'acceptation de la responsabilité de favoriser le développement social et économique.
Dans ces différents cas, le Gouvernement a la possibilité de donner le dernier mot à l'Assemblée nationale. Cette procédure comporte trois étapes se déroulant dans l'ordre suivant : la nouvelle lecture par l'Assemblée, la nouvelle lecture par le Sénat et la lecture définitive par l'Assemblée.
L'article 49 alinéa 3, dit d'« engagement de responsabilité », permet au gouvernement de faire passer le texte qu'il présente, sans vote, sous couvert du rejet de la motion de censure qu'un dixième de l'Assemblée se doit de déposer.
S'ils ne s'entendent toujours pas sur ce texte, ce sont les députés qui ont le dernier mot ! Chaque année, une centaine de lois sont ainsi votées. 120 jours par an pour voter les lois ! Les sénateurs, comme les députés, discutent et votent les lois pendant une période de l'année bien déterminée, appelée « session ».