- Ibn Khaldoun. L'homme est fils de ses habitudes et de son milieu, et non fils de sa nature et de son mélange d'humeurs. Cette phrase de Ibn Khaldoun contient 22 mots. Il s'agit d'une citation de longueur normale.
L'homme est donc un produit de la société et il est ce que la société fait de lui. Pour Auguste Comte, ce qui fait l'homme, ce n'est pas lui-même, mais le langage, la pensée, le savoir et le savoir-faire, toutes choses qu'il acquiert non de lui-même mais de la société, de ses contemporains et de ses prédécesseurs.
Dans cet imaginaire de la transition, l'être humain ne s'oppose pas à la nature mais en fait partie, en tant que maillon de la biosphère, au sens de l'ensemble des êtres vivants. C'est la loi des dominos : nous sommes reliés à un vaste système Terre d'échanges de flux et d'énergie.
– L'homme appartient à la nature car tout est interdépendant. L'humanité est partie de l'animalité. Il faut faire attention au patrimoine de l'humanité qu'est la nature, à la fois pour la survie de l'humanité et plus généralement pour la survie de la Terre.
Du latin “humanitas”, le terme se traduit par nature humaine, culture générale de l'esprit. L'Humanitas est le caractère de ce qui est humain. Elle désigne aussi « les hommes » en général, le genre humain considéré dans son unité. La plupart des philosophes définissent comme humain tout être doué de raison.
Pensée de Mamadou Aliou Diallo sur Travail
Le travail libère l'homme.
Le travail est donc l'activité qui permet à l'Homme de ne plus être esclave de sa nature et d'accéder à l'estime de soi. C'est-à-dire que lorsque l'Homme travail, tout ce qu'il construit « il doit en avoir tout seul le mérite et n'en être redevable qu'à lui-même ».
L'Homme est une partie de l'environnement. Sa survie dépend de la protection écologique. La mauvaise gestion de l'environnement peut avoir des conséquences graves sur la vie humaine, les animaux, les végétaux…
"La nature de l'homme est la somme de ses facultés naturelles, telles que la nutrition, le mouvement, la génération, la sensibilité, la raison, etc. Nous nous accordons tous à nommer ces facultés naturelles ; elles sont renfermées dans la notion de l'homme que l'on définit un animal raisonnable."
La nature est un élément contraire au développement humain : l'homme ne peut se passer de culture,sans culture l'homme ne peut pas se développer car ses instincts provenant de la nature sont quasi-inexistant.
Rousseau y défend la thèse selon laquelle l'homme est naturellement bon et dénonce l'injustice de la société. L'œuvre suscite, comme le Premier Discours, une vive polémique de la part notamment de Voltaire, Charles Bonnet, Castel et Fréron.
Montesquieu : « On dit que l'homme est un animal sociable.
Il soutenait que les inégalités naissent artificiellement des systèmes sociaux et qu'elles sont fondées sur la propriété privée et le travail organisé - des systèmes ayant permis la domination et l'exploitation de certaines personnes par d'autres.
Pour Rousseau, le cœur de la spécificité humaine est la liberté. Cependant, c'est là une thèse d'ordre métaphysique, énoncée d'emblée comme une évidence, mais qui s'avère indémontrable. C'est une intuition, une saisie de soi comme étant irréductible à un mécanisme ou déterminisme quelconques.
L'état de nature est antérieur à la société.
Rousseau décrit dans son Discours sur l'origine de l'inégalité un état sans État, où la vie, si elle peut être brève, est toujours heureuse. L'humanité étant dispersée, l'individu y évolue de manière indépendante, un peu à la manière d'un animal.
L'homme est donc destiné à vivre dans la société. Un être humain ne peut pas vivre naturellement en dehors de la société. Selon Aristote, il est possible de voir un homme vivre hors de la cité par le hasard des circonstances, pour des raisons circonstancielles.
Aristote (384-322 av. J. -C.)
En atteste son langage articulé, soit la faculté d'exprimer et d'échanger des idées. De cette disposition naturelle à la parole naît la possibilité de débattre, soit de faire société. L'homme est ainsi un animal par nature politique.
L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. Tel est le premier principe de l'existentialisme. L'homme est non seulement tel qu'il se conçoit, mais tel qu'il se veut, et comme il se conçoit après l'existence, comme il se veut après cet élan vers l'existence, l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait.
Introduction : Le thème : Dans ce texte Sartre refuse au nom de la liberté la notion de nature humaine. La thèse : Sartre refuse donc ici l'idée d'une humanité inscrite dans une essence, donnée à la naissance. Pour l'auteur il faut parler plutôt de condition universelle de l'homme.
L'augmentation des déchets domestiques ou industriels rejetés par l'homme modifie les milieux et les rend parfois impropres à la vie. La diversité des espèces animales et végétales s'en trouve diminuée. La France produit chaque année 580 millions de tonnes de déchets.
Tous les organismes modifient l'environnement où ils vivent ; l'étude des relations qui s'établissent entre les organismes et leur milieu est l'objet même des sciences écologiques. L'homme, toutefois, apporte au milieu des altérations plus profondes, évidentes, permanentes.
"Les cinq principaux facteurs de la perte de biodiversité sont les changements d'utilisation des terre (dont l'agriculture), la surexploitation (chasse pour la nourriture), les espèces invasives, la pollution et le changement climatique.
Emmanuel Kant considère que le travail est un devoir envers soi-même, un devoir qui forme l'homme moralement parlant. Pour Emmanuel Kant, le travail satisfait la conscience morale et la fierté humaine. Ainsi, l'animal satisfait ses besoins par l'instinct, l'homme satisfait les siens par le travail.
FOCUS - Nietzsche, Pascal, Socrate, et beaucoup d'autres philosophes permettent de réfléchir au monde du travail contemporain.
Le travail n'est pas seulement une punition mais une possibilité de rachat du péché originel. Le travail constitue une réhabilitation sociale et morale et religieuse.