Selon le Nouveau Testament, Jésus de Nazareth est condamné à mort par le préfet romain Ponce Pilate et exécuté par crucifiement ; on parle dans ce cas de sa
On ne voit pas, dans les Évangiles, que Jésus ait beaucoup fréquenté les bandits : il n'en eut pas l'occasion. Et voilà qu'en une demi-journée, la dernière de sa vie mortelle, son destin se trouve intimement mêlé au destin de trois brigands : Barrabas, et les deux larrons crucifiés en même temps que Jésus.
Selon l'histoire sur laquelle les chrétiens fondent leurs croyances, Jésus de Nazareth est mort crucifié sur ordre du préfet romain de Judée de l'époque, Ponce Pilate, et son passage vers cette mort - une série d'épisodes connus sous le nom de Passion - est l'un des éléments centraux commémorés pendant la Semaine ...
Selon l'Évangile de Luc, le bon larron était un bandit, condamné à mort sur une croix au même moment que Jésus. Il s'était alors converti devant le lui avant de mourir et d'être envoyé directement au ciel. De lui, on ne sait rien, ou si peu. Une phrase que lui adresse Jésus sur la Croix, mais quelle phrase !
Après sa mort, en 4 av. J. -C., l'empereur Auguste, tout puissant maître du monde romain, avait d'abord morcelé l'ancien royaume juif. Puis, à partir de 6 apr.
Vers 248, le théologien Origène écrivait : « Tout le monde sait que [Jésus] naquit sous l'empereur Auguste qui, ayant soumis à sa domination la plus grande partie des hommes, les avait comme ramassés en un seul corps. »
Simon-Pierre est l'un des premiers disciples de Jésus. Persécuté pour sa foi chrétienne, le gouverneur Agrippa le condamne à la crucifixion à Rome. Ne se jugeant pas digne d'être sur la croix de la même manière que Jésus, il demande à subir son supplice la tête en bas.
Les quatre Évangiles affirment que Jésus fut crucifié entre deux autres condamnés que Matthieu (Mt 27, 38) et Marc (Mc 15, 27-30) qualifient de « bandits », et Luc (Lc 23, 32-33 et 23, 39-43) de « malfaiteurs ».
Le Golgotha ou Calvaire, nommé aussi « lieu du crâne », est une colline située dans l'Antiquité à l'extérieur de Jérusalem, sur laquelle les Romains attachaient les condamnés à mort sur une croix en forme de T. Il est connu pour être le lieu où Jésus a été crucifié, d'après les évangiles.
Après la mort de Jésus, les juifs, qui avaient trop peur que ses disciples ne veuillent la récupérer, se sont empressés de faire disparaître les objets qui ont servi à sa crucifixion. La croix est jetée au fond d'un trou dans le sol du Golgotha, avec celles des deux larrons.
Et finalement, Jésus ne serait pas mort en 33, mais quelques années plus tôt – vraisemblablement le 7 avril 30, à l'âge de 36 ans.
Plusieurs noms la désignent : « Marie de Nazareth », « Sainte Vierge », « Vierge Marie », ou encore « Notre-Dame » ou « Mère de Dieu ». Ils vénèrent la Bienheureuse Marie, toujours Vierge, établie par le Christ comme Mère de tous les hommes.
Après sa résurrection, le Christ ne vit plus avec ses disciples comme avant. Il ne reprend pas le cours de sa vie terrestre avec eux. Le Christ n'est plus visible à leur côté 24 heures sur 24. Il leur apparaît simplement à quelques reprises.
On lit dans l'évangile selon Marc : « L'inscription portant le motif de sa condamnation était ainsi libellée : Le roi des Juifs » (Marc 15, 26). Du point de vue des autorités, Jésus est coupable d'avoir aspiré à la royauté. Il est condamné au supplice de la croix, comme d'autres messies autoproclamés, à la même époque.
Au moment d'entrer dans sa passion, Jésus est âgé de 37 ans. Vraisemblablement né en l'an 7 avant notre ère, il est arrêté et jugé par les autorités religieuses juives le soir et la nuit du jeudi 13 de nisan (6 avril), jugé par les Romains et crucifié le lendemain vendredi 14 nisan (7 avril) de l'an 30.
Le récit littéraire de la mort se déroule dans un cadre marqué par un rythme de trois heures dans l'Évangile selon Marc : Jésus est crucifié à la troisième heure (9 heures du matin), les ténèbres débutent à la sixième heure (à midi) et la mort survient à la neuvième heure (trois heures de l'après-midi).
Il pesait de 37 à 75 kilos selon les dimensions et le bois utilisé, fardeau écrasant pour un homme. Jésus a donc vraisemblablement été chargé du patibulum et non de la croix entière lors la montée du Golgotha.
Il a demandé à être crucifié avec la tête en bas, car il ne se considérait pas assez digne pour mourir de la même manière que Jésus. Après sa mort, saint Pierre a été enterré sur la colline du Vatican, près du lieu de son martyre.
Matthias ou Mathias (en hébreu : mattithyahû), de l'hébreu mattaï, « présent, don », et yâh, pour YHWH, Dieu, est un personnage du Nouveau Testament qui succède à Judas parmi les Douze apôtres.
La succession de Pierre. Selon l'Évangile, Jésus a lui-même désigné parmi ses apôtres un homme, Pierre : « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église. » Le martyre de Pierre à Rome a ensuite désigné le siège épiscopal de la ville comme celui autour duquel doit s'affirmer l'unité de l'Église et de la foi.
Le svastika dextrogyre noir, emblème du nazisme, a été transformé en l'inclinant à 45° sur un disque blanc, position moins courante que celles des svastikas indiens. En termes héraldiques, il ne s'agit donc pas à proprement parler d'une « croix », comme le svastika d'origine, mais d'un « sautoir gammé ».
Judas Iscariote (ou Iscariot, ou Iscarioth) est, selon la tradition chrétienne, l'un des douze apôtres de Jésus de Nazareth. Selon les évangiles canoniques, Judas a facilité l'arrestation de Jésus par les grands prêtres de Jérusalem, qui le menèrent ensuite devant Ponce Pilate.
Renvoi de Ponce Pilate à Rome.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
MARIE-MADELEINE ou Marie qui venait de Magdala, une ville de Galilée. Elle a rejoint le groupe de Jésus qu'elle suit jusqu'à la crucifixion. Elle est présentée par les Évangiles comme très proche de Jésus et aussi comme le premier témoin de la résurrection.