La victoire romaine est assurée en 52 av. J-C par la bataille et le siège d'Alésia, où les Gaulois, dirigés par Vercingétorix, sont vaincus. La guerre cesse en 51 ans av. J-C après la prise de l'oppidum d'Uxellodunum (dans le Lot) où résistait encore la tribu des Cadurques.
Afin d'écraser la révolte des Gaulois, Jules César, à la tête de ses légions, assiège et prend la ville d'Avaricum (Bourges). Mais il se fait battre par Vercingétorix à Gergovie, dans le Massif central, en juin 52 avant J. -C. Les Gaulois harcèlent les Romains.
Alaric Ier, le roi des Wisigoths, après avoir envahi l'Italie, s'empare de Rome et la livre au pillage, avant de partir s'installer en Gaule méridionale. Le dernier empereur, Romulus Augustule sera détrôné par le roi barbare Odoacre en 476. Ce sera la fin de l'Empire romain d'Occident.
Le siège d'Alésia est une bataille décisive de la fin de la guerre des Gaules qui voit la défaite d'une coalition de peuples gaulois menée par Vercingétorix face à l'armée romaine de Jules César. Elle se déroule entre les mois de juillet et de septembre 52 av. J. -C.
La guerre des Gaules est une série de campagnes militaires menées par le proconsul romain Jules César contre plusieurs tribus gauloises. La guerre de Rome contre ces tribus dure de 58 à 51- 50 av. J. -C. , et aboutit à la décisive bataille d'Alésia en 52 av.
Jules César décide alors d'assiéger Alésia. Il fait construire de puissantes fortifications tout autour de la colline afin d'affamer les Gaulois retranchés. Des renforts gaulois tentent sans succès de lever le siège : finalement, Vercingétorix est vaincu et César sort victorieux avec sa conquête de la Gaule.
Vers 5000 av. J. -C. , des populations originaires d'Anatolie, arrivées par la Méditerranée ou par la vallée du Danube, s'installent sur le territoire actuel de la France, en y apportant l'agriculture : c'est le début du Néolithique. Elles supplantent en grande partie les populations mésolithiques.
Venu à la demande des Gaulois, pour chasser les Helvètes, Jules César décide de conquérir toute la Gaule. Vercingétorix organise la résistance. Mais lorsqu'il est assiégé dans Alésia en 52 av.
Les premiers Romains ont baptisé Galli (« Gaulois ») les Celtes du nord de la péninsule italienne, elle-même appelée Gallia (Gaule), d'après le mot celtique galia (« force » ou « bravoure »). On retrouve encore aujourd'hui cette appellation dans Galicie (Ukraine subcarpathique) et Galice (Espagne).
Chef gaulois (en pays arverne vers 72-Rome 46 avant J. -C.).
Crassus sut donner aux siens l'élan nécessaire, les esclaves furent écrasés et Spartacus mourut dans le combat après avoir vendu chèrement sa vie. Les bandes de survivants furent pourchassées et massacrées, par Crassus en Italie du Sud, et aussi par Pompée, qui rentrait d'Espagne, dans le Nord où il tua 5 000 fuyards.
En 52 av. J. -C, la bataille d'Alésia oppose les Gaulois de Vercingétorix et les légions romaines de Jules César.
Dernière grande victoire des Romains d'Occident sur les « Barbares », la bataille des champs Catalauniques doit surtout sa célébrité à l'un de ses protagonistes, Attila, roi des Huns, dont la terrible réputation frappa les esprits contemporains et traversa les siècles.
En effet, nous nommons les envahisseurs l'ensemble des Celtes, mais « les Gaulois » désignent le peuple qui s'établit en Gaule, soit, à peu de chose près, la France actuelle. Nous devons cette distinction en partie à Jules César. Le Romain a décidé d'appeler « Gaule » l'espace qu'il venait de conquérir.
Le savon (sopo) :
Il est fait à base de cendre de hêtre et de suif (= graisse) de chèvre ; il sert à se laver et à se colorer les cheveux (en blond ou en roux), notamment pour effrayer les ennemis au combat. Pour la teinture des cheveux, les Gaulois utilisent aussi soit du lait de chaux soit de l'argile.
Les Gaulois font peur, ils sont très grands pour l'époque. Les archéologues ont retrouvé des os d'individus mesurant en moyenne 1,75m. Ils pratiquent le corps-à-corps et n'hésitent pas à trancher les têtes(2).
Alors que jusqu'à lui le mot « Gallia » équivalait à l'ensemble du monde celtique, Jules César délimite une Gaule dont la frontière orientale est le Rhin. La Gaule au sens où nous l'entendons est une invention de César ! Pour les Romains, cependant, la division Germanie-Gaule n'a aucune importance.
Aujourd'hui, certains Français sont bien les descendants des peuples gaulois. Mais d'autres ont des ancêtres qui viennent d'Afrique, d'Asie, ou d'autres parties de l'Europe. Un tiers des Français ont ainsi au moins un grand-parent venu d'un pays étranger pour vivre en France.
Selon le récit de l'historien Suétone, Jules César est frappé de 23 coups de poignard par les sénateurs qui l'entourent. Parmi les conjurés qui s'en prennent à César figure Brutus. Le dictateur a placé toute sa confiance en ce jeune sénateur qui est le fils de sa maîtresse Servilia (et peut-être de lui-même).
Après avoir rétabli la paix dans la République finissante, il prit le contrôle des institutions et , en 27 avant J. -C, devint Auguste, premier empereur de Rome.
Il affronte César à Alésia en 52 av. J. -C. et la défaite marque la fin de la Gaule antique et le début de la Gaule romaine.
Depuis la fin du XIXe siècle, la France exalte « ses ancêtres les Gaulois ». C'est pourtant à un autre peuple, venu de Germanie, qu'elle doit son nom.
Il descend des Celtes, des Ambiens, des Helvètes, des Pictes… Bref, de toutes sortes de tribus. Mais d'aucune tribu gauloise, car aucun peuple ne s'auto-désignait « Gaulois » il y a plus de 2 000 ans. Ce sont les Romains qui ont baptisé « Galli », «Gaule», l'ensemble des tribus qui vivaient alors au nord de l'Italie.
C'est une langue celtique, comme le gaélique d'Irlande et d'Ecosse ou le brittonique du Pays de Galles et de Bretagne. Le gaulois est issu de la même souche indo- que le latin, d'où des parentés linguistiques. Des dialectes gaulois locaux ont vraisemblablement existé, mais n'ont pas laissé de traces tangibles.
Yann le Bohec : "Les Romains ont été vaincus par les Barbares dans des batailles au milieu du IIIe siècle de notre ère. Un empereur romain, Dèce, a été battu et tué à Abrittus, en Thrace, en 251. À la fin du IVe siècle et au début du Ve siècle ap.