vOOg invente Le Gouvernail, la nouvelle boussole du piéton.
Le gouvernail d'étambot est apparu en Europe du Nord au début du XII e siècle sur les cogues. Jugé plus stable pour la navigation, il est fixé à la poupe, sous le château. Il est aussi appelé « timon à la bayonnaise » car on suppose qu'il a été inventé à Bayonne. Ce sont les Basques qui l'ont répandu en Europe.
Le gouvernail axial, pivotant sur charnières à l'étambot et manœuvré par une barre horizontale, apparaît au début du xiii e siècle.
Le gouvernail est un dispositif mobile destiné au contrôle directionnel d'un bateau et plus généralement de tout engin se déplaçant sur ou dans l'eau.
Les voiliers sont dirigés par le gouvernail, un appendice vertical en forme de lame fixé sur la traverse (la partie plane de la poupe) ou sous le bateau.
La caravelle est restée le symbole des grandes découvertes. Imaginée par les Portugais vers 1430, elle leur a permis de conquérir la haute mer, ce qu'aucune autre civilisation maritime au monde n'avait su faire avant eux.
Le safran est ce que l'on appelle généralement le « gouvernail ». Il s'agit de la pièce mobile plate et verticale immergée qui pivote pour diriger le bateau. Cette pièce est généralement située derrière l'hélice pour être plus efficace.
Le coin et le safran font la partie extérieure du gouvernail. Toutefois le coin ne fait que remplir le vide entre le safran et la mèche. Et s'il n'y a pas de coin, le safran est composé de deux pièces a peu près égales. En général le safran définit la surface du gouvernail.
La barre d'un navire (ou barre de gouvernail ou barre de pilotage ou, si en forme de roue, barre à roue) est utilisée pour orienter un navire à moteur ou à voile dans la direction voulue.
La barre de roue marine, aussi appelée roue de bateau ou encore barre de gouvernail, sert à diriger un bateau, qu'il soit à voile ou à moteur. La barre à roue est la plus répandue sur les bateaux de grande taille et les vieux gréements.
La caravelle est un navire à voiles inventé par les Portugais en 1430 et adapté aux longs voyages. Elle a été rendue célèbre par les grandes expéditions maritimes entre le XIVe et le XVIIe siècle.
Sur un voilier, les haubans sont les câbles, fixés de part et d'autre du mât, qui maintiennent celui-ci rectiligne et dans le plan longitudinal. Fixés au sommet du mat et sur le pont du navire ils reprennent les efforts transversaux exercés par les voiles et s'opposent à la rupture par flambement.
1. Appareil mobile destiné à la manœuvre et à la conduite des bateaux.
La prise de ris (verbes associés : « prendre un ris » ou « ariser une voile ») consiste à réduire la surface d'une voile en la repliant en partie : l'objectif est d'adapter la surface de la voilure à la force du vent lorsque celui-ci forcit.
C'est pour cette raison que la mode est aux doubles barres à roue (une à tribord et une à bâbord). Elles permettent de libérer l'accès à la mer et facilitent la circulation du cockpit (en étant renvoyées vers l'arrière) .
Le mot Marinette s'entend sur les pontons, dans les ports et même sur certaines annonces d'emploi à la plaisance professionnelle. Vous ne le trouverez jamais dans un dictionnaire et pourtant, quand on parle d'un marin au féminin, on utilisera souvent le terme de Marinette.
Ce n'est qu'au début du XXe siècle qu'elle est devenue un local fermé et vitré (un abri de navigation) intégré aux superstructures du navire, mais le nom de passerelle est resté. On utilise aussi le terme timonerie pour désigner la passerelle d'aujourd'hui.
barre : partie du gouvernail actionnée par le pilote du bateau, manche relié au safran ou roue(s) sur les plus gros bateaux. barreur : Celui qui tient la barre et donc qui dirige le voilier ou le bateau à moteur. bas-hauban : Câble qui permet de tenir le mât au niveau des barres de flèche.
Diriger sans safran au Portant.
- Frapper une amarre courte sur la chaine, si possible avec un émerillon. - Fixer une poulie au maître bau du voilier ou sur le taquet avant du voilier en passant par le chaumard. - Faire passer ce bras dans la poulie fixée à l'avant ou au maître bau. émerillon.
La quille est la partie la plus basse d'un bateau, elle permet de contrebalancer la force exercée par le vent sur les voiles, empêchant donc le bateau de chavirer.
Malgré des décennies de recherches, les vestiges du Niña, du Pinta et du Santa Maria semblent toujours hors de portée. Cette gravure, dont la date est inconnue, représente les navires de la première flotte de Christophe Colomb : le vaisseau amiral Santa Maria, entouré du Niña et du Pinta.
Construction. Cette caraque a été construite à Pontevedra, en Galice, et est en 1492 la propriété de Juan de la Cosa.
Des trois navires de l'escadre, la Niña, dont le commandement est confié à Vicente Yáñez Pinzón (1460-1523), est le plus petit des trois navires, mais le second en rapidité, après la Pinta, commandée par Martín Alonso Pinzón (1441-1493), tandis que l'amiral commande lui-même la Santa Maria.
On appelle le gréement dormant toutes les parties du gréement qui ne sont pas censées bouger. Il est divisé en deux parties : longitudinal et latéral. Les espars comme le mât ou la bôme n'entrent pas dans le gréement dormant.
Le haubannage consiste à placer des haubans autour du tronc de l'arbre penché ou bien entre les branches (sur un ou plusieurs niveaux). Il permet ainsi de garder l'aspect naturel de l'arbre tout en le maintenant pendant sa croissance.