Ce dernier conseille de consommer 8 à 10 fruits et légumes par jour, 6 à 8 produits céréaliers, des graines et légumineuses 4 à 5 fois par semaine, du poisson, de la viande blanche ou de la volaille 2 fois par jour maximum tout comme les matières grasses, et des sucreries seulement occasionnellement. »
Des chercheurs ont découvert un lien entre pathologies rénales et importante consommation de viande rouge. D'autres sources de protéines seraient donc à privilégier, telles que la viande de volaille ou le poisson.
A chaque repas, introduire un produit laitier (yaourt, fromage blanc, petits suisses, fromages). Il existe des protéines d'origine animale (viandes, poissons, œufs, charcuteries et produits laitiers) et végétale (pomme de terre, céréales, légumineuses, graines et fruits oléagineux).
Le bœuf, le porc, le mouton et la volaille (poulet et dinde) sont très riches en potassium, tout comme le foie de veau, le jambon et les lardons fumés, les viandes des grisons et les viandes séchées. A noter : ne consommez pas les sucs provenant d'une viande rôtie ! 2) Misez plus sur les légumes – mais les bons !
Les poissons gras
La consommation régulière de poissons gras riches en oméga-3 réduirait, entre autres, le risque de cancer du rein. Cuisiner du poisson gras est un moyen de consommer des protéines de bonne qualité. Pour profiter de ses vertus, il faut essayer d'en manger une fois à deux fois par semaine.
La carotte est diurétique
Grâce à sa richesse en potassium, la carotte est un légume que l'on classe dans la catégorie des diurétiques naturels. A ce titre, elle est idéale pour drainer le foie, nettoyer les reins, lutter contre la rétention d'eau et les calculs rénaux.
Il soulage les infections urinaires
Pour prévenir les infections, on leur conseille de boire beaucoup d'eau et de consommer des aliments diurétiques comme le poireau. Ce légume, sous forme de bouillon par exemple, aide à éliminer l'acide urique. Il est excellent pour les reins et le foie.
Les antagonistes du système rénine-angiotensine, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC) et antagonistes des récepteurs à l'angiotensine II (ARA2), sont les médicaments recommandés pour ralentir la progression de l'IRC. 5. Les ARA2 sont recommandés chez les diabétiques de type 2 et les IEC dans les autres cas.
Diminution des apports alimentaires en protéines
Nous proposons pour les patients porteurs d'une maladie rénale modérée à sévère un apport de protéines réduit à environ 0.6 grammes par kg de poids et par jour (les apports occidentaux sont d'environ 1.35 g/kg/jour) soit une réduction de plus de 50%.
Voici une liste des aliments sans protéines à consommer si vous optez pour un régime pauvre en protéines : Fruits comme pommes, bananes, poires, pêches, baies, pamplemousses, kiwi, etc…
Il est conseillé de limiter la consommation en protéines à une portion de viande, de poisson ou d'œufs par jour (environ : 0,8 mg de protéines/kg/jour). Limiter la consommation en sel permet de diminuer la pression sur le filtre des reins et d'éviter leur altération.
La consommation de protéines est, en partie responsable. Cette dernière est estimée à 1,35 g par kilo de poids corporel et par jour. En cas de maladie rénale, « elle ne devrait pas dépasser 0,6 g par kilo de poids corporel et par jour », conseille le Pr Denis Fouque, néphrologue au Hospices Civils de Lyon.
Aliments pauvres en potassium:
Fromages, de préférence le Brie, Camembert, fromage blanc, cottage, cancoillotte, mozzarella, ricotta.
Il est donc recommandé de limiter la consommation de fruits et légumes riches en potassium comme la banane, l'orange, les pruneaux, les pommes de terre, les tomates, l'avocat, etc.
Heureusement, une étude récente (Martínez-Pineda, 2019[1]) a trouvé le moyen de rendre sécuritaire la consommation de pois chiches et de lentilles pour les personnes atteintes d'une maladie rénale chronique.
On recommandait auparavant aux personnes atteintes d'une maladie rénale chronique d'éviter de nombreux aliments d'origine végétale comme les haricots, les lentilles, les noix et les grains entiers, par crainte qu'ils fassent grimper les niveaux de phosphore et de potassium.
1) Soupe au céleri et aux orties
Il aide le foie et la vésicule biliaire à bien fonctionner et est aussi bénéfique pour les reins. La 'star' de cette soupe reste néanmoins l'ortie qui est dépurative pour le sang et possède tout un régiment de bénéfices pour la santé.
Le chocolat contient aussi de la théobromine : un alcaloïde amer de la même famille que la caféine. Il agit sur les reins, c'est un diurétique, et il a un effet antitussif.
Le citron accélère la digestion et la décomposition des aliments, ce qui permet au corps d'assimiler les bons nutriments et d'éliminer les toxines. Selon les dernières études, le citron est également un allié important dans la lutte contre les calculs rénaux.
La volaille, le lapin et la viande de cheval sont les viandes qui en contiennent le moins. Alors que les abats (cervelle, foie, rognons) et les charcuteries grasses (lards, rillettes, pâtés) en sont riches et donc à limiter.
Ce légume fournit une bonne quantité de magnésium, de potassium qui favorise le travail des reins. Le chou-fleur peut aussi bien se consommer cru que cuit, et peut être cuisiné sous de multiples et simples façons.
L'insuffisance rénale chronique est toujours la conséquence d'une maladie qui détériore progressivement le fonctionnement des reins. En France, les deux causes principales de l'insuffisance rénale chronique sont le diabète de type 1 comme le diabète de type 2 et l'hypertension artérielle.