Interjection. (Islam) Par Allah. (Populaire) Renforcement du caractère impérieux d'une déclaration, sans référence au divin.
Le mot wallah , écrit aussi wAllah , est une interjection employée en français, qui vient de l'arabe et qui signifie littéralement « par Allah, par Dieu ».
"WHL" est l'abréviation de "Wallah", un terme arabe qui signifie littéralement "par Dieu". C'est une expression utilisée pour jurer, comme on jure "par tous les saints" en s'appuyant sur le témoignage de Dieu. Evidemment, ce terme est aujourd'hui utilisé par les jeunes sans pour autant avoir une connotation religieuse.
"Wallah La Radim", qui signifie "par Dieu le majestueux" et qui, si l'on devait la retranscrire plus correctement, devrait être prononcée "Wallah Al-Adime".
Ce mot s'utilise principalement lors des prières, où il est répété plusieurs fois. Par exemple, dans la prière appelée tasbih , qui se récite au moment d'aller se coucher, le croyant répète trente-trois fois soubhanallah , puis autant de fois hamdoullah , puis autant de fois allahou akbar .
En sont dérivées les variantes persane والله (vallâh) et turque vallah.
Miskine, miskina au féminin, est une interjection qui s'insère dans une phrase ou vient la ponctuer en bout de ligne. C'est une exclamation de pitié empreinte de compassion qui semble dire « Oh ! le pauvre ! ».
Car "wesh" est en fait un adverbe interrogatif qui nous vient de l'arabe algérien. On dit ainsi "Wesh kayn ?" pour dire "Qui y a-t-il ?" et "Wesh rak" pour dire "Comment vas-tu ?". C'est la culture hip hop française qui va l'utiliser à tout-va dans les années 1990.
Étymologie. De l'arabe بِسْمِ اللّٰه , Bismillāh (« au nom de Dieu »).
Interjection. Formule par laquelle les musulmans expriment leur gratitude à Dieu, leur satisfaction d'un évènement ou d'une affaire qui tourne bien. C'est l'équivalent de Dieu merci ou Louange à Dieu dans la bouche des chrétiens.
De l'arabe وحق ربي , w'haq rabbi (« je te jure par Dieu »).
Comment s'écrit mashallah ? Ce mot a d'autres orthographes, mais moins fréquentes : avec un c , machallah , ou bien en deux mots avec un A majuscule, mash'Allah ou mash Allah .
Les chrétiens arabophones utilisent le mot « Allah » pour désigner « Dieu ».
Kono, qu'est-ce que tu as ? ماذا لديكِ يا "كونو"؟
مهلًا؟ ماذا تكون "سيربروس"؟
Salut, comment tu vas ? نِد)، مرحبا، كيف حالك؟
Non il ne s'agit pas d'une nouvelle marque de lessive. "Askip"est tout simplement l'abréviation de "A ce qu'il paraît" et est le plus souvent utilisée dans les textos.
MINAUDER, verbe intrans. Faire des mines, prendre des poses, adopter des manières affectées pour plaire, pour séduire.
Sa prononciation la plus courante en français est [ bae ] (« ba-é »), en deux syllabes. On trouve aussi [ be ] (« bé ») et [ bɛj ] (« beil »). Cette dernière prononciation est la plus proche de la prononciation d'origine de ce mot en anglais. Plus rarement, quelques personnes prononcent bae en épelant chaque lettre.
Eyvallah
Eyvallah peut s'employer lorsqu'on vous propose quelque chose, comme un thé par exemple : vous répondez eyvallah, dans le sens de "oui, merci".
Incha'Allah est une transcription francophone de la formule arabe (ar) إِنْ شَاءَ ٱللَّٰهُ (In Shaa Allah en translittération baha'ie) qui signifie « si Dieu le veut ». Ce terme est utilisé par la plupart des musulmans.