Les premiers Inquisiteurs L'Inquisition médiévale est introduite devant les tribunaux ecclésiastiques par le pape Innocent III en 1199. En février 1231, Grégoire IX publie la constitution Excommunicamus, qui prescrit la détention à vie pour les hérétiques repentis et la peine de mort pour les hérétiques obstinés.
L'Inquisition médiévale aux mains des Dominicains
Dès sa création en 1223, le pape Grégoire IX confie l'Inquisition aux Dominicains ou Frères Prêcheurs. L'ordre religieux, fondé à Toulouse en 1215 par Dominique de Guzman, est reconnu pour sa compétence théologique et sa vocation à être près du peuple.
L'Inquisiteur était un Pau'an agissant pour le compte de l'Empire. Cet ancien chevalier Jedi, également ancien garde du temple Jedi sur Coruscant, n'était pas un Sith, mais fut toutefois formé au combat ainsi qu'à l'utilisation du Côté Obscur de la Force.
En raison de ses excès, elle a été supprimée par le roi saint Louis, qui l'a remplacée par la juridiction de l'Official : celui-ci ne pouvait plus prononcer de peine sans décision d'une juridiction civile.
L'Inquisition concerne les individus considérés comme déviants par l'Église : les mystiques, les sorciers, les homosexuels, les bigames, les auteurs d'adultère, les zoophiles ou encore toute personne dénoncée. L'institution a été abolie hors des États papaux au début du XIXème siècle, après les guerres napoléoniennes.
L'Inquisition est souvent présentée comme une justice arbitraire et archaïque, alors qu'elle apparaît plutôt moderne: elle met en place une procédure d'enquête. Le but est de ramener la personne suspectée d'hérésie dans le droit chemin, de permettre la conversion.
Dominicains et franciscains
En Italie, l'Inquisition revient plutôt aux franciscains — François, le fondateur, est d'Assise ; dans le Midi l'enquête est confiée au tout nouvel ordre des dominicains : la naissance de l'ordre en terre cathare et l'action de Dominique de Guzmán contre les hérétiques expliquent ce choix.
La procédure inquisitoriale a été introduite devant les tribunaux ecclésiastiques par Innocent III. Elle disparut au 18ème siècle sauf en Espagne où elle se maintint, un temps, sous une forme politique.
Au printemps 1431, la « prophétesse » Jeanne est jugée à Rouen pour hérésie et sorcellerie. Une accusation qui recouvre en réalité des motivations politiques. Le bûcher de Jeanne d'Arc à Rouen en 1431 est l'un des plus célèbres du Moyen Âge avec ceux des Templiers, allumés un peu plus d'un siècle auparavant.
(Histoire, Religion) Tribunal établi par l'Église, surtout à partir du XIII e siècle, en certains pays pour rechercher et punir ceux qui avaient des sentiments contraires à la foi catholique. (Par extension) Ensemble des membres de cette juridiction.
Quatre ans avant la bataille de Yavin il affronta le Jedi Kanan Jarrus et son apprenti Ezra Bridger, dans un duel qui le mena à sa mort.
L'Inquisition espagnole est née de la bulle du pape Sixte IV du 1er novembre 1478, sur la demande précise des rois catholiques, Ferdinand d'Aragon et Isabelle de Castille, afin de mener une répression efficace des juifs convertis au catholicisme et qui continuaient à judaïser en secret.
L'histoire de l'Église catholique commence avec les enseignements de Jésus-Christ, qui aurait vécu au Ier siècle de notre ère dans la province de Judée de l'Empire romain. L'Église catholique contemporaine affirme qu'elle est la continuation de la première communauté chrétienne établie par Jésus.
En 325, au concile de Nicée réuni par l'empereur Constantin, l'identité chrétienne est définie par l'appartenance à « une » Église « sainte, catholique et apostolique ».
hérésie. 1. Selon la théologie catholique, conception erronée en matière de foi d'un élément essentiel du dépôt révélé, ou refus volontaire d'admettre comme telle une vérité définie par le magistère. 2.
Si l'enseignement et les rites de l'église catholique reposent sur le sacrifice rédempteur de Jésus, les Cathares lisent autrement les écritures et pour eux le Christ est venu délivrer un message, offrir aux hommes la clef de leur salut.
Les fortifications de Béziers sont suffisamment solides et puissantes pour espérer que la ville résiste longtemps. Mais l'imprudence de quelques Biterrois fait que les croisés pénètrent par surprise dans la ville le 22 juillet 1209 et massacrent plusieurs centaines d'occupants, cathares ou catholiques.
a. Les premiers chrétiens. Le point de départ du christianisme se situe quelque part entre la Judée et la Galilée autour de 30 de notre ère. Un Juif du nom de Jésus, fils de Joseph, y a développé et prêché une certaine interprétation du judaïsme.
Les catholiques croient en l'autorité de la Bible et en l'autorité du pape (et des évêques). Les protestants ne croient qu'en l'autorité de la Bible. Les catholiques acceptent aussi la Tradition catholique. Pour eux, la Tradition est la révélation continue de l'Evangile du Christ à son Eglise, par le Saint-Esprit.
Au début du xvi e siècle, Martin Luther s'oppose à l'Église catholique et lui reproche des abus, tels que la simonie et la vente des indulgences. Les grands réformateurs protestants sont Martin Luther, Jean Calvin et Ulrich Zwingli. La simonie est l'achat de biens spirituels ou de charges ecclésiastiques.
Le catharisme (du grec καθαρός / katharós, « pur ») est l'appellation contemporaine d'un mouvement — ou d'un ensemble de mouvements — religieux chrétien médiéval européen en dissidence de l'Église catholique romaine, qui s'est particulièrement répandu dans le Midi de la France au Moyen Âge, entre l'an 1000 et 1210.
La foi chrétienne (catholique, orthodoxe, protestante) est la croyance en la Trinité divine (Dieu unique en trois personnes : le Père, le Fils, le Saint-Esprit) et en la certitude de la rédemption des péchés apportée par la Passion et la Résurrection de Jésus.
Au Moyen âge, l'Église jouait un rôle très important dans la société occidentale. C'est elle qui avait été à l'origine du découpage de la société entre ceux qui combattaient, ceux qui priaient et ceux qui travaillaient (98 % de la population).
Elle garantit le libre exercice des cultes » je ferme les guillemets. La loi met fin au régime du Concordat, un accord conclu entre le Pape et Napoléon en 1801 visant à réconcilier l'Église catholique et l'État français. Désormais, la République je cite « ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte ».