70% des femmes ont des accidents dans des voitures, contre 60% pour les hommes, quand eux ont 20% d'accidents dans des pick-up (imposant véhicule utilitaire) contre 5% pour les femmes. Cette première raison nous emmène vers la seconde : les hommes sont plus souvent à l'origine d'accidents graves.
Selon les statistiques du fichier national des accidents de la route (BAAC), les hommes représentent 75 % des victimes décédées suite à un accident de la circulation. Le nombre d'hommes tués sur nos routes (2 604 en 2015) est donc trois fois supérieur à celui des femmes(857).
Les hommes représentent également 75 % des blessés graves. Ils sont présumés responsables de 84 % des accidents mortels de 2021. Cette même année, 93 % des conducteurs alcoolisés impliqués dans un accident étaient des hommes. Recevez l'information analysée et décryptée par la rédaction du Point.
Selon les chiffres de la Sécurité routière, 78% des personnes décédées sur la route en 2022 étaient des hommes. Ils sont aussi responsables de 84% des accidents mortels. Même parmi les automobilistes, la réponse est unanime.
84 % des personnes présumées responsables d'accidents mortels sont des hommes. Les jeunes de 18-24 ans comptent toujours parmi les plus à risque : 549 tués (soit 101 tués par million d'habitants de cet âge) et 2 739 blessés graves (soit 506 blessés graves par million d'habitants de cet âge).
Répartition des accidents selon l'âge
Il en va de même pour les personnes âgées au-delà de 65 ans, qui représentent 28 % des tués sur les routes. Cependant, les plus touchés par les accidents de voiture restent les 25-64 ans.
La vitesse est désormais le premier facteur d'accident mortel devant l'alcool : 32% des tués sont dus à une vitesse trop élevée.
Selon le bilan 2022 de la Sécurité routière, 80 % des morts sur la route l'année dernière en France étaient de sexe masculin. Et 84 % de ces accidents mortels ont été occasionnés par des hommes.
Les usagers les plus touchés
Les usagers fragiles (piétons, 2 roues) représentent près de la moitié des tués sur la route (plus de 40%).
Les 18-25 ans (35%) et les 26-35 ans (30%) sont les deux tranches d'âge où l'on retrouve le plus de mauvais conducteurs. C'est en Île-de-France (16%) qu'on retrouve la part la plus importante de mauvais conducteurs, devant l'Auvergne-Rhône-Alpes (14%) et les Hauts-de-France (10%).
Si les hommes conduisent donc globalement plus et dans des conditions plus difficiles que les femmes, ils se placent également plus souvent dans des situations à risque que les conductrices. Grands excès de vitesse et conduite sous l'emprise de l'alcool sont, semble-t-il, plus une spécificité masculine.
Les résultats d'une récente étude publiée dans la revue Cancer suggèrent cela pourrait être dû à des différences biologiques sous-jacentes entre les sexes plutôt qu'à des différences comportementales liées au tabagisme, à la consommation d'alcool, à l'alimentation, ou à d'autres facteurs.
Le taux de mortalité des hommes est quatre fois supérieur à celui des femmes de 25 à 64 ans. Chez les 25-34 ans, le taux de mortalité des hommes est plus de 6 fois supérieur.
Les jeunes sont les premières victimes des accidents de la route. Les jeunes entre 18 et 24 ans constituent chaque année plus de 25% des tués et 23% des blessés. Le nombre de victimes décroît avec l'âge mais augmente à nouveau (et fortement) après 75 ans.
« Pourtant dans le flux de la circulation -kilométrages et temps de parcours confondus- les femmes représentent 49% des conducteurs, et les hommes 51%. Il y a donc une égalité dans la circulation mais une très forte inégalité dans l'accidentologie et les infractions.
Les tranches d'âges les plus touchées sont : - les jeunes de 18-24 ans (101 tués par million), - les seniors de 75 ans ou plus (77 tués par million), - les 25-34 ans (61 tués par million).
Les personnes âgées moins impliquées mais...
Selon le bilan 2022 de la Sécurité Routière détaillé dans notre vidéo, ce sont en fait les jeunes conducteurs âgés entre 18 et 24 ans qui sont les plus impliqués dans les accidents de la route.
1. Le Doña Paz. Le premier naufrage que je vais vous présenter est considéré comme le plus meurtrier en temps de paix. Il s'agit de l'histoire choquante du Doña Paz, dans laquelle des milliers de passagers ont tragiquement perdu la vie.
L'accident le plus grave s'y est déroulé en 1955, lorsque la Mercedes 300 SLR de Pierre Levegh, après avoir heurté l'Austin de Lance Macklin, a été propulsée dans le public, tuant Levegh et 83 spectateurs.
Jeunes et séniors dos à dos
La classe d'âge des 18-24 ans, tout comme celle des 75 ans et plus, est responsable à 80 % de la mortalité au volant. Dire que les séniors sont plus dangereux sur les routes est donc une idée reçue, puisque les deux classes d'âge sont au même niveau de responsabilité sur ce point.
Chez les adolescents, l'âge et la masculinité ont un effet direct de renforcement de la prise de risque, tandis que la féminité inhibe la prise de risque au travers de son effet sur la perception du danger et l'internalisation des règles (Granié, 2009).
Il en ressort que les femmes prennent moins de risques que les hommes lorsqu'elles doivent prendre des décisions, dans divers contextes, et qu'elles sont moins enclines à prendre des décisions pouvant déboucher sur des gains élevés si l'issue est très incertaine.
Ainsi, si face à un choix risqué conduisant à des gains, les individus affichent une forte aversion au risque. En revanche, face à un choix risqué conduisant à des pertes, les individus préfèrent le risque.
alors qu'elles ont 1 beauté orientale qui est mais. 1ère position, le Brésil. Les femmes brésiliennes.