La guerre du Roi Philip en 1676 est elle aussi menée à outrance par la confédération de Nouvelle-Angleterre, après les attaques massives des Wampanoags contre ses établissements. Alors que les Amérindiens sont vaincus, les Britanniques s'acharnent, massacrent, vendent des captifs comme esclaves.
L'Histoire a démontré que l'arrivée des colons britanniques était en grande partie responsable du massacre des Indiens d'Amérique. Mais ces derniers sont également responsables de la déportation de tribus ayant accepté les habitudes européennes et ont même mené à la quasi-disparition d'une espèce animale.
DES MIGRATIONS INATTENDUES
Il y a environ 25 000 ans, les ancêtres des Amérindiens ont divergé du peuple vivant en Sibérie, et seraient arrivés au Nord-Ouest Pacifique il y a 17 000 à 14 000 ans, après avoir traversé un pont terrestre reliant la Sibérie à l'Alaska.
Et ils y sont pratiquement parvenus grâce à trois méthodes : la chasse aux bisons, les épidémies et les massacres. C'est ainsi qu'au cours du XIXe siècle, le nombre d'Indiens sur le territoire actuel des États-Unis a chuté de 600 000 environ à 250 000...
Les Amérindiens victimes des guerres et du travail forcé
C'est le système de l'encomienda, qui s'accompagne de mauvais traitements et de violences. Les indigènes se révoltent en vain. Ils ne peuvent pas lutter contre les armes des colons et sont tués. Cette conquête par la force se systématise sur tous les territoires.
Tous les Amérindiens seraient donc des descendants de ces Béringiens de l'Alaska ayant émigrés au Sud. Pour autant, le génome des habitants du nord de l'Amérique du nord a continué à évoluer.
Cette unité s'explique par un peuplement originel unique : les Indiens de toute l'Amérique seraient en effet venus, par vagues successives (les premières remontant à quelque 40 000 années), d'un espace situé quelque part à la limite de la Chine et de la Sibérie orientale.
La colonisation de l'Amérique du Nord par les Européens commença dès la fin du XVIe siècle. Au cours des XVIIe et XVIIIe siècles, elle était menée essentiellement par trois pays, l'Espagne, la France et l'Angleterre, mais également, dans une moindre mesure, par la Hollande et la Suède.
La colonisation espagnole de l'Amérique, commencée avec les voyages de Christophe Colomb vers la fin du XV e siècle, a permis à la monarchie catholique espagnole de maîtriser une grande partie du continent (son extension maximale étant atteinte au XVIII e siècle).
L'immense majorité des Amérindiens tués depuis 1492 sont les victimes des épidémies, des mauvais traitements infligés sans dessein meurtrier et des guerres internes, européennes, intercoloniales, civiles et d'indépendance (ces causes de mortalité étant par définition exclues de la notion de génocide).
Les termes « Amérindiens », « Indiens d'Amérique », « Premières Nations » sont utilisés pour désigner spécifiquement les premiers occupants du continent américain.
Dans les récits de voyage dans l'Amérique, les deux termes les plus utilisés pour qualifier la peau des Amérindiens sont « olivâtre » (soit une nuance de vert-jaune) et « basané » (une nuance de brun).
Les premiers Américains seraient venus à pied, par la terre, ou bien par voie maritime en bateau, probablement en restant près de la côte, supposée principale route migratoire, une importante partie du nord du continent étant recouvert à cette époque par d'immenses masses glaciaires.
Gwynne relate très bien cette avancée fulgurante et dévastatrice, s'intéressant notamment aux Kwahadis, la branche « la plus dure, la plus féroce et la plus inflexible d'une tribu réputée de longue date pour être la plus violente et la plus belliqueuse du continent ».
Ces Arawaks vivaient dans des communautés villageoises et pratiquaient un mode de culture assez raffiné du maïs, de l'igname et du manioc. Ils savaient filer et tisser mais ne connaissaient pas le cheval et n'utilisaient pas d'animaux pour le labour.
Les ancêtres des Amérindiens, véritables découvreurs de l'Amérique, sont venus d'Asie plusieurs dizaines de milliers d'années avant notre ère, à l'époque glaciaire. La Sibérie et l'Alaska étaient alors reliées par une bande de terre, que ces peuples ont ainsi franchi pour rejoindre l'Amérique du nord au sud.
Celtibères, Phéniciens et Grecs
Les Ibères sont les premiers habitants de la péninsule à laquelle on a attribué leur nom, dans les sources écrites. La migration des Celtes et leur installation en Espagne provoque des métissages et donne naissance, entre autres, aux Celtibères.
L'union avec l'Espagne (1580-1640)
Quelque temps après, le Portugal (devenu royaume depuis 1143) s'étend jusqu'à l'embouchure du Guadiana (1232-1249), tandis que Ferdinand III le Saint, roi de Castille, conquiert le nord de l'Andalousie avec Cordoue (1236), Carthagène (1243) et Séville (1248), et que Jacques Ier le Conquérant, roi d'Aragon, s'empare des ...
1Identité nationale et politique étrangère sont liées pour les pères fondateurs, ces hommes qui ont mené la Révolution américaine contre les Anglais et permis la fondation des Etats-Unis d'Amérique (John Adams, Benjamin Franklin, Alexander Hamilton, John Jay, Thomas Jefferson, James Madison, George Washington).
Christophe Colomb a découvert l'Amérique en 1492. Cette phrase, affirmée comme une vérité historique dans tous les manuels d'Histoire, n'a cessé d'être martelée et répétée aux écoliers du monde entier.
De La Nouvelle-Amsterdam à La Nouvelle-York
La naissance de New York se fait pacifiquement : en 1626, Peter Minuit, gouverneur de la colonie, achète l'île de Manhattan aux Indiens.
Cette civilisation est la toute première, elle est surnommé la civilisation de l'Indus et remonterait entre 2 500 et 1 600 avant J.C. Vers 1 500 avant J.C, le peuple des Aryens en provenance d'Asie Centrale, s'installe dans la vallée de l'Indus.
Quelque 82% des Indiens interrogés affirment «aimer» la France. Ce sont les plus grands fans de l'hexagone. Pour eux, le pays est avant tout «cultivé, intelligent et créatif». Ils estiment que le rayonnement français est avant tout culturel.
Les Béothuks de Terre-Neuve sont parmi les premiers autochtones en contact avec les Européens. Ils se peignent le visage en rouge et sont à l'origine du terme «Peaux-Rouges» pour désigner les Amérindiens.