éternel (adj.) 3. qui a toujours existé et continuera d'exister ainsi.
Qui est sans commencement ni fin ; hors du temps : Croire en un Dieu éternel. 2. Littéraire. Qui est sans fin, d'une durée indéfinie, qui ne cessera d'exister : Dans la nuit éternelle.
en parlant d'un inanimé] Qui ne connaît pas de cesse, qui dure indéfiniment. Synon. continu, continuel, éternel, incessant, permanent. Été, flux, printemps, renouvellement, retour, suintement perpétuel; vie perpétuelle.
− Qui n'existe pas. Synon. chimérique, fictif, immatériel, irréel, nul.
Qui ait jamais existé. Dans cette phrase, jamais ne signifie pas "à aucun moment", car justement il n'y a pas de particule négative (ne, ni). Jamais signifie alors "à un moment quelconque", "à quelque moment que ce soit".
Le site du CNRTL définit le passéisme comme un « attachement excessif au passé » et le passéiste comme une personne « excessivement attachée au passé », présentant donc le terme comme étant lié à une exagération du sentiment de nostalgie.
L'existence désigne le fait d'être, indépendamment de toute connaissance possible. Elle se distingue de l'essence, qui définit ce qu'une chose est, et du néant, qui, par définition, n'a pas de réalité.
1. Fait de vivre. Synonyme : destin, destinée, sort, vie.
1. Avoir la vie, vivre : Aussi longtemps qu'il a existé, il a lutté. 2. Être dans la réalité, se trouver quelque part, être repérable dans le temps ou dans l'espace : Coutume qui existe depuis longtemps.
Se renouveler dans cette situation permet en quelque sorte d'effacer l'ardoise et de reprendre sur des bases plus saines. Peut-être parce que votre routine ne permet plus de créer. La vie n'est pas linéaire. Parfois, on a plus de temps.
1. Qui dure constamment, indéfiniment : Un feu perpétuel brûlait dans le temple de Vesta. 2. Qui a lieu sans interruption, qui se renouvelle constamment : De perpétuelles jérémiades.
Ne pas s'en faire et mettre les choses en perspective: aller à son rythme, s'écouter, notre vie ne peut que s'améliorer ; un oubli ou un manque ne sont pas « graves »! En général, les statistiques démontrent un fait : il est plus important d'être détendu que de s'angoisser avec nos repas ou nos activités !
Étymologie. (Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Cela signifie que l'état définitif de l'homme ne sera pas seulement l'âme spirituelle séparée du corps, mais que les corps mortels seront appelés à reprendre vie, au dernier jour, incorruptibles.
Contraire : caduc, court, éphémère, fragile, fugace, fugitif, instantané, momentané, passager, précaire, provisoire, temporaire, transitoire. – Littéraire : inconstant.
La vie bonne est un mode d'être, une norme de l'humain, à prétentions objectives, définie à partir d'activités intrinsèquement bonnes, elle désigne le développement des talents ou encore des perfections. Bonheur et épanouissement humain renvoient à deux catégories ontologiques différentes.
activité, allant, animation, ardeur, élan, énergie, entrain, mouvement, pétulance, santé, vigueur, vitalité. – Littéraire : sève.
Le but de n'importe quelle action serait d'augmenter notre plaisir et/ou diminuer notre souffrance. Il dérive de cette constatation que « ce qui est bien est ce qui amène le plus de bonheur à la plus grande quantité de personne possible ». Pour Bentham, le sens de la vie est le « principe du plus grand bonheur ».
Le solipsisme (du latin solus, « seul » et ipse, « soi-même ») est une théorie philosophique et métaphysique selon laquelle la seule chose dont l'existence est certaine est le sujet pensant. Forme extrême d'idéalisme, le solipsisme soutient qu'aucune autre réalité n'est certaine que celle du sujet qui pense.
Vivre ou exister, c'est émerger du néant, c'est avoir une réalité dans le monde. Certaines nuances sont pourtant à établir : vivre, ce n'est pas seulement exister. En effet, la vie renvoie à une perspective biologique : elle se rapporte à la croissance et la conservation d'un être selon des principes organiques.
Donc, voici les bonnes raisons de revenir sur votre passé : Avoir une compréhension d'adulte face aux évènements vécus. Apprivoiser ce qui a été, pour vous, source de survie. Commencer à composer votre vie en tenant compte des blessures que vous avez subies.
Oublier le passé : ne pas avoir de regrets
Pour aller de l'avant et oublier le passé, il ne faut pas avoir de remords ni de regrets. C'est un fait : c'est plus facile à dire qu'à faire ! Et surtout, plus nous focalisons sur l'idée « ne pas avoir de regrets », plus nous donnons de l'importance à cette idée.