Le participe passé de transmettre est transmis, avec un « s » final. Ce « s » se fait entendre au féminin : transmise. On écrira donc « Le document est transmis », « La pièce jointe est transmise ».
Quelle est l'orthographe du mot transmis dans une phrase qui contient ces mots : avec un s ou avec un t à la fin ? On écrit il m'a transmis , avec un s .
transmissible adj. Qui peut être transmis.
Faire passer, faire parvenir quelque chose à quelqu'un; faire passer quelque chose d'un lieu à un autre. Synon. adresser, communiquer, donner, envoyer, fournir, remettre.
Pour former le participe passé, on utilise le plus souvent le radical du verbe à l'infinitif et on y ajoute les terminaisons indiquées ci-dessous selon le groupe du verbe. Le 1er groupe a des terminaisons en é, le 2e groupe en i, et le 3e groupe en i, u, s ou t.
Pour faire la distinction entre infinitif et participe, il suffit de remplacer le verbe du 1er groupe par un verbe du 2e ou du 3e groupe : J'ai mangé du caviar ou J'ai manger du caviar ? → J'ai pris du caviar et non *J'ai prendre du caviar. Il s'agit donc d'un participe passé : on écrit J'ai mangé du caviar.
La réponse simple. On écrit toujours « je vous transfère ». Je vous transfère par courrier électronique le dossier de mon client.
Le soit-transmis contient sous la forme manuscrite le message que signe son auteur. En matière civile, il ne s'agit pas d'un document de procédure civile mais d'une directive ayant une simple valeur administrative.
Messager : Définition simple et facile du dictionnaire.
Locution conjonctive
Dans l'éventualité où ; à supposer que.
communiquer, contaminer, propager, transfuser, véhiculer.
« Si tu pouvais, tu irais la voir » : pour donner une information non confirmée, faire des hypothèses ou exprimer un souhait, on utilise le conditionnel présent. Le conditionnel présent peut servir à : - donner une information incertaine ou non confirmée. Les journalistes l'utilisent souvent.
Le participe passé de transmettre est transmis, avec un « s » final. Ce « s » se fait entendre au féminin : transmise. On écrira donc « Le document est transmis », « La pièce jointe est transmise ». Avec « avoir », le participe passé reste inchangé : « J'ai transmis le document ».
L'imparfait décrit une action qui dure dans le temps. C'est le temps idéal pour planter un décor, décrire une situation passée, ou une action à durée indéterminée. Le passé simple est le temps du récit. Il décrit une action passée, qui a un début et une fin clairement identifiable.
La règle : avec le verbe avoir, le participe passé est invariable. Mais le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe -mais pas avec un COI.
Le participe passé conjugué avec l'auxiliaire « avoir » ne s'accorde jamais avec le sujet. Exemple : Elles ont vendu leurs vieux livres. Il s'accorde en genre et en nombre avec le COD si celui-ci est placé avant le verbe. Exemple : Les livres qu'elles ont vendus sont vieux.
La pyélonéphrite aiguë : il s'agit d'une infection urinaire haute puisqu'elle touche les reins. C'est une complication possible de la cystite.
Les infections transmissibles par le sang (ITS) se transmettent par contact avec du sang contaminé. Certaines infections (notamment le VIH, l'hépatite B et l'hépatite C) peuvent être transmises soit par contact sexuel, soit par du sang infecté.
Sur ces huit infections, quatre peuvent être guéries : la syphilis, la gonorrhée, la chlamydiose et la trichomonase. Les quatre autres sont des infections virales incurables : l'hépatite B, le virus de l'herpès (HSV), le VIH et le papillomavirus humain (PVH).