MARIE-MADELEINE ou Marie qui venait de Magdala, une ville de Galilée. Elle a rejoint le groupe de Jésus qu'elle suit jusqu'à la crucifixion. Elle est présentée par les Évangiles comme très proche de Jésus et aussi comme le premier témoin de la résurrection.
Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau ; il aperçoit les linges, posés à plat, ainsi que le suaire qui avait entouré la tête de Jésus, non pas posé avec les linges, mais roulé à part à sa place. C'est alors qu'entra l'autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau.
Un autre évangile (Matthieu 28 : 16) indique en effet que c'est en Galilée que Jésus devait voir ses disciples avant de monter au ciel.
Après sa résurrection, le Christ ne vit plus avec ses disciples comme avant. Il ne reprend pas le cours de sa vie terrestre avec eux. Le Christ n'est plus visible à leur côté 24 heures sur 24. Il leur apparaît simplement à quelques reprises.
Dans l'épisode de la rencontre entre le Christ ressuscité et Marie-Madeleine (Jn 20,13-18). Elle arrive au tombeau où le corps du Christ a été placé. Elle s'adresse à celui-ci, pensant parler à un jardinier. Pour que cette méprise soit possible, il faut que Jésus ne soit pas, ou pas immédiatement reconnaissable.
De fait, l'Évangile de Philippe fait référence à Myriam de Magdala (Marie-Madeleine) et la présente comme la compagne de Jésus.
L'Évangile – Lc 7, 36-50
« Survint une femme de la ville, une pécheresse. Elle avait appris que Jésus mangeait chez le pharisien, et elle apportait un vase précieux plein de parfum. Tout en pleurs, elle se tenait derrière lui, à ses pieds, et ses larmes mouillaient les pieds de Jésus.
Cycle de la nativité
Denys le Petit place l'annonciation le 25 mars et la naissance de Jésus neuf mois plus tard, le 25 décembre de l'année 753 de Rome (c'est-à-dire l'année -1 du calendrier actuel), principalement pour qu'elle coïncide avec le début d'un cycle pascal.
Le Golgotha ou Calvaire, nommé aussi « lieu du crâne », est une colline située dans l'Antiquité à l'extérieur de Jérusalem, sur laquelle les Romains attachaient les condamnés à mort sur une croix en forme de T. Il est connu pour être le lieu où Jésus a été crucifié, d'après les évangiles.
La Pâques chrétienne – avec un "s" – commémore quant à elle la Résurrection du Christ crucifié, le passage de la mort à la vie. Dans les églises chrétiennes, on symbolise Pâques par les couleurs blanche et dorée, qui évoquent la lumière. Pourtant, d'autres attributs sont souvent associés à la fête de Pâques.
Moïse resta sur la montagne quarante jours et quarante nuits » (Ex 24,12.15-18). Ainsi, pour entendre la volonté de Dieu et s'imprégner de ses paroles, il faut du temps. Quarante jours et quarante nuits deviennent ainsi symboliquement le temps nécessaire pour une véritable rencontre avec Dieu.
Cela correspond à quarante jours de jeûne, les dimanches n'étant pas jeûnés. Pourquoi quarante jours ? Parce que la Bible raconte que Jésus de Nazareth, poussé par l'Esprit, s'est retiré dans le désert et a jeûné pendant quarante jours, tenté par le diable et servi par les anges.
On ne voit pas, dans les Évangiles, que Jésus ait beaucoup fréquenté les bandits : il n'en eut pas l'occasion. Et voilà qu'en une demi-journée, la dernière de sa vie mortelle, son destin se trouve intimement mêlé au destin de trois brigands : Barrabas, et les deux larrons crucifiés en même temps que Jésus.
« Marie vécut environ trois ans à Sion, trois ans à Béthanie et neuf ans à Éphèse. Cependant, la Sainte Vierge ne demeurait pas à Éphèse même ; sa maison était située à trois lieues et demie de là, sur une montagne qu'on voyait à gauche en venant de Jérusalem, et qui s'abaissait en pente douce vers la ville.
La tradition chrétienne considère que Jean l'évangéliste et « le disciple que Jésus aimait » sont la même personne.
Situé dans l'Église du Saint-Sépulcre dans la Vieille ville de Jérusalem, le tombeau a été recouvert d'un revêtement de marbre datant au moins de 1555 ap. J. -C, et probablement des siècles plus tôt.
Au moment d'entrer dans sa passion, Jésus est âgé de 37 ans. Vraisemblablement né en l'an 7 avant notre ère, il est arrêté et jugé par les autorités religieuses juives le soir et la nuit du jeudi 13 de nisan (6 avril), jugé par les Romains et crucifié le lendemain vendredi 14 nisan (7 avril) de l'an 30.
Et finalement, Jésus ne serait pas mort en 33, mais quelques années plus tôt – vraisemblablement le 7 avril 30, à l'âge de 36 ans.
Le Vendredi saint est la commémoration religieuse célébrée par les chrétiens le vendredi précédant le dimanche de Pâques. Il marque le jour de la crucifixion et de la mort de Jésus-Christ.
Ils peuvent donc demander : “Qu'y avait-il avant Dieu ?” Mais le Dieu éternel n'est pas un effet. Il n'y a jamais eu de temps où il ne fut pas. L'existence de Dieu ne dérive de rien d'autre que de lui-même, et elle ne dépend de rien d'autre que de lui-même.
Historiquement les chrétiens n'ont fixé la naissance de Jésus à Noël (le jour « natalis ») le 25 décembre qu'à partir du 4ème siècle[1], et c'est finalement l'empereur Théodose II qui l'a officialisée. Il s'agissait de remplacer les fêtes païennes du solstice d'hiver.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Plusieurs noms la désignent : « Marie de Nazareth », « Sainte Vierge », « Vierge Marie », ou encore « Notre-Dame » ou « Mère de Dieu ». Ils vénèrent la Bienheureuse Marie, toujours Vierge, établie par le Christ comme Mère de tous les hommes.
Ce que confirme encore la mention de ses deux fils Ephraïm et Manassé, déjà mentionnés dans la Bible et cités par Jacobovici et Wilson comme les enfants de Jésus et Marie-Madeleine.
"La tradition de l'Eglise ne connaît aucune mention d'une femme de Jésus. Tous les indices historiques sont que Jésus était célibataire. Il est dit clairement que Pierre était marié.