Le nord et l'est du pays sont davantage concernés par la consommation de bière, le Sud par la consommation de vin, l'Ouest par les alcools forts et les autres types d'alcool. En ce qui concerna la bière, c'est en Bretagne (23,2%) que l'on en consomme le plus avec la Guyane (22,3%).
En 2018, une étude menée par l'observatoire C10 (2) démontre que désormais, c'est plus de 76 % de la population française qui consomme des bières. Avec plus de 1600 brasseries sur le territoire (provinces et outre-mer), la France est sacrée 3ème pays européen en nombre de brasseries.
Et notamment la Bretagne, où le taux des "alcoolisations ponctuelles importantes" (six verres d'alcool ou plus lors d'une unique occasion) est le plus élevé de France : plus de 20 % des adultes boivent ainsi de manière excessive tous les mois, contre 16,2 % dans l'ensemble de la France.
Le Code de la santé publique sur les jeunes et l'alcool est précis : « aucune boisson alcoolique ne peut être vendue ou offerte à un mineur de moins de 16 ans », peut-on lire. De même, il est interdit de recevoir dans un débit de boissons un mineur de moins de 16 ans non accompagné d'une personne majeure.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
L'Everclear a une teneur de 95°. Comme le précédent, il s'agit d'un alcool rectifié, mais cette fois-ci, fabriqué aux États-Unis. Il est fait à base de maïs et mérite pleinement sa place parmi les alcools les plus forts au monde. D'ailleurs, sa consommation est interdite dans plusieurs états aux États-Unis.
Question lever de coude, la Bretagne est à la hauteur de sa réputation. On y consomme tout type d'alcool, sans exclusive. Alors que le nord et l'est de la France sont davantage portés sur la bière, que les régions du sud de la Loire privilégient le vin, les Bretons boivent de tout, et souvent plus que les autres.
ALCOOLISME – Santé Publique France a dévoilé ce mardi le classement des régions françaises où la consommation quotidienne d'alcool est la plus importante. L'Occitanie est en tête, devant la Nouvelle-Aquitaine et les Hauts-de-France.
Bretagne, Bourgogne, Grand Nord, les régions de France se battent la palme des plus grands buveurs de l'Hexagone !
Le nord et l'est du pays sont davantage concernés par la consommation de bière, le Sud par la consommation de vin, l'Ouest par les alcools forts et les autres types d'alcool. En ce qui concerna la bière, c'est en Bretagne (23,2%) que l'on en consomme le plus avec la Guyane (22,3%).
D'autres études démontrent que la bière permet de réduire les risques de faire un AVC (accident vasculaire cérébral). Le xanthohumol, un antioxydant présent dans cet alcool, permet de diminuer le risque de contracter un cancer de la prostate. Enfin, la bière serait un meilleur antidouleur que le paracétamol.
Ancienne Egypte. La bière est l'un des breuvages alcoolisés les plus anciens. Les premières traces de son existence remontent à environ 4000 ans avant J-C en Mésopotamie. Des tables d'argile témoignent de la présence d'une boisson fermentée élaborée à base de grains, le Sikaru.
La bière est aussi riche en phosphore et en sels minéraux, qui, eux, apaisent le système nerveux. Relaxé, le corps trouverait donc le sommeil plus facilement. Attention néanmoins : la qualité du sommeil n'est en revanche pas meilleure.
Les français, qui représentent 35% de la consommation mondiale, soit près du tiers de cette dernière. Ils sont suivis des États-Unis (15%) et de l'Allemagne (10%).
Les marques de bières les plus appréciées par les Français sont donc la Leffe, le 1664, la Heineken, la Hoegaarden et la Desperados.
Si, avec les Hauts-de-Seine et Paris, l'Île-de-France comprend les départements bénéficiant des plus hauts niveaux de vie, la Seine-Saint-Denis présente, elle, le plus bas niveau de vie médian (17 740 euros) des départements métropolitains et le taux de pauvreté le plus élevé (28,4 %) (figure 2).
"Mais la couronne de la consommation d'alcool par habitant revient aux îles Cook, qui sont en tête du classement mondial avec une consommation annuelle par habitant de 13 litres d'alcool.", explique Visual Capitalist.
La plus forte consommation s'observe en automne dans le Sud-Ouest, mais au global c'est bien dans le Sud-Est que l'on boit le plus de Ricard.
Un tiers des consommateurs déguste de la bière au moins une fois par semaine. Mais, par ces fortes chaleurs, et avec la saison estivale approchant, blondes et brunes devraient avoir encore plus la cote. 74% des consommateurs concernés avouent en boire davatange à cette période de l'année.
La Bretagne enregistre le plus fort taux d'alcoolisations ponctuelles importantes. La Bretagne est aussi la région qui enregistre le plus fort taux d'alcoolisations ponctuelles importantes (6 verres ou plus en une seule occasion dans le mois).
Si la consommation de café concerne plus de huit Français sur dix, les hommes se montrent plus accros, avec 88% d'adeptes, contre 79% pour les femmes.
Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Parmi les alcools les plus forts du monde vous trouverez l'Everclear, fabriqué aux Etats-Unis. Comme le Balkan, il est incolore, inodore, et n'as pas de goût ! C'est de l'alcool quasiment pur qui pourrait même être classé dangereux à s'en trouer l'estomac.
En effet, si on se méfie rapidement des alcools forts, la teneur en alcool plus “raisonnable” se révèle traître "Quelque part au milieu (du spectre de l'alcool) se trouve le xérès et le porto. C'est le meilleur moyen de se saouler très vite, parce que c'est environ 20% et cela n'empêche pas sa propre utilisation."