La consommation responsable est un mode de consommation qui prend en compte les critères du développement durable, c'est-à-dire une consommation qui soit à la fois respectueuse de l'environnement, bénéfique pour l'économie (notamment locale), bonne pour la santé, mais aussi positive pour la société.
Un éco-consommateur est un consommateur qui va réfléchir sur les conséquences sociales et environnementales de son acte d'achat : il va adopter une consommation responsable. Il va avant tout réfléchir sur la nécessité absolue d'acheter tel ou tel produit.
Au Québec, la consommation responsable est définie comme un mode de consommation qui tient compte des principes de développement durable, c'est-à-dire qu'elle est à la fois respectueuse de l'environnement, bénéfique pour l'économie (notamment l'économie locale), bonne pour la santé et positive pour la société.
« Consommer autrement » signifie privilégier les produits « éco-labellisés », certifiés éthiques, locaux, moins polluants. Pour 32 % des Français, il s'agit de « ne plus consommer de produits ou services superflus », et pour 16 %, de « réduire sa consommation en général ».
Il s'agit d'un produit qui a moins d'impact sur l'environnement tout au long de son cycle de vie, c'est-à-dire de l'extraction de ses matières premières à sa conception, en passant par son transport, son usage et son recyclage.
Mieux consommer
avoir une consommation plus durable, prendre des produits de qualité qui vous durerons plus longtemps. Le marché de l'occasion se généralise. Non seulement vous ferrez des économies mais en plus vous n'utiliserez pas de matières premières supplémentaires.
La consommation et la production durables visent à « faire plus et mieux avec moins ». Elles consistent également à découpler la croissance économique et la dégradation environnementale en accroissant l'efficience dans l'utilisation des ressources et en favorisant des modes de vie durables.
Ainsi, il arrive parfois que les gens consomment à l'excès pour fuir leur tristesse, parce qu'ils se sentent seuls, parce qu'ils vivent diverses frustrations. D'autres vont se mettre à faire des achats parce que leurs relations avec autrui ne sont pas satisfaisantes ou parce qu'ils n'ont aucune estime pour eux-mêmes.
Consommer pour consommer ne rend pas heureux
Dans son livre The Price of materialism, Tim Kasser, professeur de psychologie démontre qu'une fois nos besoins de base couverts (manger, boire, se protéger du froid ou de la chaleur), tout ce que l'on consomme en plus, n'apporte pas un surplus de bonheur.
la consommation actuelle des pays dits riches et développés, qui mènerait, à terme, à un épuisement de nombreuses ressources naturelles mondiales (énergie, biomasse, diversité génétique, matières premières, mais aussi eau potable et nappes phréatiques par exemple).
Être éco-responsable signifie « s'efforcer de respecter la nature et l'environnement au maximum. ». Ainsi, les entreprises éco-responsables s'efforcent de respecter la nature en proposant des solutions pour améliorer leur travail, leur gestion de l'énergie, de l'eau, des déchets, des déplacements, du numérique...
Une politique d'achats responsables est bénéfique pour l'entreprise et ses parties prenantes. Les raisons sont nombreuses : Contribuer à la démarche RSE de l'entreprise, ainsi qu'à l'atteinte des ODD. Réduire les risques et les impacts sociaux et environnementaux.
Comme une réponse à ce nœud gordien, le minimalisme, mode de vie qui consiste à se satisfaire de l'essentiel, est revendiqué par de plus en plus de consommateurs. Et les deux mois de confinement imposés par l'épidémie du coronavirus au printemps dernier semblent avoir accéléré cette tendance.
Car après tout, vivre c'est aussi consommer. Mais j'ai travaillé dur pour échapper à la surconsommation et au matérialisme. C'est quoi la surconsommation ? C'est lorsque l'on commence à acheter des choses inutiles, dont on n'a pas vraiment besoin au quotidien.
Le mieux est d'éviter la publicité autant que possible, en coupant le son des annonces télévisées, par exemple. Reporter l'achat. « Acheter maintenant pour profiter du spécial. » C'est l'argument de vente par excellence. Cependant, il est toujours mieux d'attendre pour réfléchir à son achat.
L'anxiété, les problèmes relationnels, les traumatismes du passé et le mal-être ressenti sont souvent à l'origine de ces usages. Appartenir à un groupe : le souci de reconnaissance ou d'appartenance à un groupe est très important chez les ados. L'acceptation passe par la prise du produit "faire comme tout le monde".
La société de consommation résulte du besoin de croissance économique engendré par le capitalisme et son corollaire, l'accumulation du capital.
L'absence d'utilisation de produits chimiques de synthèse (engrais azoté, pesticides) réduit le coût de dépollution de l'eau; La qualité sanitaire des produits bio contribue à la santé des consommateurs et n'engendre pas de coût supplémentaire pour la santé publique (cancers liés à l'usage de pesticides).
Il s'agit, principalement, de privilégier une alimentation optimale pour la santé, qui garantit une bonne répartition des ressources alimentaires de la planète et qui préserve simultanément l'environnement. L'alimentation responsable fait la part belle aux produits issus de l'agriculture biologique.
La surconsommation alimentaire désigne le fait de jeter des produits alimentaires sans les avoir consommés, mais aussi de manger de la nourriture en trop grande quantité. Ainsi, dans de nombreux pays industrialisés, le niveau de consommation alimentaire des ménages se situe bien au-dessus de leurs besoins réels.
En France, l'agriculture occupe 54 % du territoire et génère 20 % des émissions de gaz à effet de serre. Les modes de production ont parfois de lourdes conséquences sur l'environnement : utilisation d'engrais et pesticides, dégradation des sols et des réserves en eau, forte consommation d'énergie...