Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, le général de Gaulle crée le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) pour effectuer des recherches sur l'énergie nucléaire. En pleine guerre froide, le lancement véritable du programme nucléaire français intervient en 1954 sous l'impulsion de Pierre Mendès France et Guy Mollet.
C'est sous la IVe république (1946-1958), dans le contexte de la Guerre froide, que la France entreprend des recherches visant à développer l'arme atomique. Les travaux aboutissent le 13 mai 1960 avec le test réussi d'une bombe de 70 kilotonnes dans le désert du Sahara.
Un lieu situé près du site militaire de l'île longue, dans le Finistère, et dans lequel sont entreposés ces navires stratégiques de la dissuasion nucléaire.
Le 24 août 1968, la France larguait Canopus, sa première bombe à hydrogène, dite bombe H, dans l'océan Pacifique Sud. La lueur provoquée dégage autant d'énergie que 2 millions de tonnes de TNT, et reste encore de nos jours la bombe la plus puissante jamais essayée par l'État français.
Une arme nucléaire est une arme non conventionnelle qui utilise l'énergie dégagée par la fission de noyaux atomiques lourds (uranium, plutonium dans le cas de la bombe A), ou par une combinaison de ce phénomène avec celui de la fusion de noyaux légers (hydrogène dans le cas des bombes H).
Robert Oppenheimer, est un physicien américain, né le 22 avril 1904 à New York et mort le 18 février 1967 à Princeton (New Jersey). Il s'est distingué en physique théorique puis comme directeur scientifique du projet Manhattan. À cause de son rôle éminent, il est régulièrement surnommé le « père de la bombe atomique ».
La Russie est ainsi suivie de près par les Etats-Unis avec 5.044 armes nucléaires disponibles. A eux seuls, ces deux Etats ont entre leurs mains plus de 80% des armes nucléaires mondiales. Arrive ensuite, loin derrière, la Chine, troisième puissance nucléaire mondiale avec ses 500 ogives.
La bombe larguée sur Hiroshima, Little Boy (0,015 Mégatonnes), était une bombe A par insertion, celle de Nagasaki une bombe A par implosion. La bombe H, communément appelée « bombe thermo-nucléaire » tire son énergie de la fusion de noyaux légers. La bombe H est une bombe à trois étages fission-fusion-fission.
La Tsar Bomba (en russe : Царь-бомба), ou RDS-202 (en russe : РДС-202) ou encore « Objet 602 » (en russe : изделие 602), est une bombe à hydrogène conçue par l'industrie nucléaire de l'Union soviétique, qui explose le 30 octobre 1961 .
Le 1er novembre 1952 , les États-Unis déclenchent l'explosion de la première bombe H, une bombe cent fois plus puissante qu'une bombe A. Le premier essai soviétique de la bombe H a lieu le 12 août 1955 et le 15 mai 1957 pour le Royaume-Uni.
Afin de répondre à la menace (combattants imprévisibles et imbriqués dans la population), et dans la continuité du besoin du FAMAS FELIN, le HK 416 (version standard) est doté d'une baïonnette qui offre les mêmes performances que la baïonnette FELIN (coupe fil, tranchant) qui n'entrave pas le service de l'arme.
« Ils disposent de 16 missiles nucléaires balistiques M51 emportant jusqu'à 10 têtes nucléaires », explique au JDD Héloïse Fayet. L'experte nucléaire à l'Institut français des relations internationales (Ifri) précise que « cette capacité représente la composante océanique de notre dissuasion ».
intérêts vitaux, soit le maintien de l'intégrité du territoire national et de ses approches « aéromaritimes », le libre exercice de sa souveraineté et la protection de sa population et de ses ressortissants à l'étranger.
La course aux armements atteint un nouveau sommet alors que les États-Unis font l'essai d'une bombe à hydrogène dans l'atoll Eniwetok, dans l'océan Pacifique. Il s'agit d'une arme dont la puissance est de beaucoup supérieure à celle des bombes atomiques qui ont explosé sur le Japon en 1945.
En effet, l'Allemagne de l'Ouest a renoncé aux armes nucléaires en 1954, une décision confortée par la signature du traité de non-prolifération en 1968 et du traité 2+4 consacrant la Réunification en 1990.
Elle visait notamment à faciliter l'immigration des Juifs d'Europe, rescapés notamment des camps nazis d'extermination (environ 300 000 personnes) et désireux de partir en Palestine mandataire, entre 1945 et 1948 et à obtenir un soutien important à la création puis à la reconnaissance, de l'État juif.
La bombe la plus puissante de l'Histoire. Le 30 octobre 1961, l'Union soviétique testait la plus puissante de ses bombes, la Tsar Bomba, en plein contexte de Guerre froide.
Était-il donc nécessaire de lancer la bombe sur Hiroshima et sur Nagasaki ? Les conseillers de Truman avancèrent deux raisons. D'abord, il fallait convaincre le Japon de capituler sans conditions, d'autre part, la bombe mettrait fin à la guerre et permettrait d'épargner des vies humaines.
Avec sa charge de 57 mégatonnes, c'est la bombe la plus puissante jamais créée et testée. Elle a explosé en octobre 1961 dans l'Arctique soviétique et a généré une boule de feu de 2,3 kilomètres de diamètre. L'éclair d'une telle explosion est visible à plus de 1000 kilomètres de distance.
Lorsque l'on dit bombe atomique, on parle de l'explosion des atomes. Ils ont effectivement explosés puisque leurs noyaux en éclatant les ont fait voler en éclat. Lorsque l'on dit bombe nucléaire, on parle plus précisément du début du phénomène qui se passe au niveau du noyaux des atomes.
On dit souvent que la bombe atomique a un lien direct avec le génie d'Albert Einstein. Certains disent même qu'il a contribué à l'inventer, une idée reçue fausse et qu'il faut déconstruire.
L'autre bombe, la bombe thermonucléaire ou à hydrogène, utilise un autre type de réaction nucléaire. En fait, c'est le processus inverse de la bombe atomique, soit la fusion d'atomes plus légers, dans la plupart des cas, des atomes d'hydrogène. Par contre, pour provoquer cette fusion, il faut beaucoup d'énergie.
Chine. Le Power Index chinois est de 0,0722 avec la plus grande armée du monde : 2 millions de soldats et 510 000 réservistes et le pays dépend 250,2 milliards de dollars pour sa défense.
1. États-Unis. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis dominent le reste du monde sur le plan militaire. Il conserve sa position de nation la plus puissante du globe.
Selon le site américain Global Firepower, les États-Unis disposent de l'armée la plus puissante du monde. Malgré ses déboires militaires en Ukraine, la Russie reste en deuxième position, devant la Chine.