Les forêts amazoniennes souffrent à mesure qu'augmente la demande mondiale et donc la production intensive de produits agricoles tels que la viande de bœuf et le soja. Des millions d'arbres sont abattus ou brûlés chaque année pour laisser la place à de vastes zones de culture et de pâturage.
La déforestation en zone tropicale est causée principalement par l'élevage de bétail, la culture du tabac, du soja et du palmier à huile. En 1990, 75 % des terres déboisées, en Amazonie, étaient utilisées pour l'élevage. 16 % de la forêt amazonienne a été convertie en surface de culture pour le soja.
L'agriculture migratrice* et l'élevage, sont les principales causes de la réduction de la forêt amazonienne. La forte pression agricole liée à la migration de colons des Andes vers le bassin amazonien ont apporté avec eux des systèmes agricoles intensifs.
L'Amazonie, convoitée par l'agrobusiness et l'industrie minière, en danger imminent avec l'élection de Bolsonaro.
D'après le rapport sur l'Etat Mondial des Forêts publié par la FAO en 2016, près de 80% de la déforestation mondiale est causée par l'agriculture, les 20% restants se répartissant entre la construction d'infrastructures (routes, barrages) d'abord, puis les activités minières et enfin l'urbanisation.
Les actions du WWF
Depuis 1999, le WWF est impliqué en Guyane pour une meilleure protection des écosystèmes forestiers amazoniens. Dans sa volonté de protéger à plus long terme la forêt du plateau des Guyanes, le WWF utilise quatre leviers d'actions.
Les animaux les plus dangereux d'Amazonie sont :
Tityus. Anaconda vert. Caïman noir. Anguille électrique.
Les caboclos. Il s'agit de la population métissée qui peuple l'Amazonie au Brésil. C'est lors de l'exploitation du caoutchouc que le nordestino, descendant portugais vivant dans le Nordeste commença à se mélanger aux amérindiens, car mal payés ils furent contraint de rester vivre aux alentours de Manaus.
"Les cinq principaux facteurs de la perte de biodiversité sont les changements d'utilisation des terre (dont l'agriculture), la surexploitation (chasse pour la nourriture), les espèces invasives, la pollution et le changement climatique.
Le rythme de déforestation montre des signes de ralentissement au niveau mondial et des progrès considérables ont été accomplis dans certains pays pour réduire le taux de perte de forêt au cours des 5 à 10 dernières années.
Raté… le vrai roi de la jungle, celui qui est responsable de plusieurs centaines de morts par an, c'est l'hippopotame.
La déforestation entraîne une perturbation des forêts tropicales qui augmente les risques d'épidémies et de propagation de maladies infectieuses par les insectes et des animaux.
La forêt amazonienne s'étendrait toujours sur près de 6 millions de km2. Cela ne représente pas moins de 400 milliards d'arbres ! Près des deux tiers de sa surface se trouvent au Brésil, mais elle touche également huit autres pays, parmi lesquels la France, par le biais de la Guyane.
Cause naturelle
Les incendies se produisent naturellement pendant la saison sèche en juillet et août. Selon Euronews, les incendies de forêt se sont multipliés du fait que l'activité agricole « s'est étendue dans le bassin amazonien et a encouragé la déforestation ».
la préservation des sols forestiers et des cours d'eau grâce à un cahier des charges mis en œuvre par les intervenants en forêt ; Abandon de l'utilisation de produit phytopharmaceutique en forêt ; la restauration de l'équilibre forêt-gibier.
#1 Les orangs-outans. Les orangs-outans sont les animaux les plus intelligents du monde ! Tout comme les chimpanzés, l'orang-outan est capable d'utiliser des outils, d'apprendre la langue des signes et d'avoir des structures sociales complexes impliquant des rituels.
L'animal le plus mortel est... le moustique. Il propage des maladies comme la malaria, la dengue, le chikungunya, la fièvre jaune... Ainsi, il tue chaque année entre 750 000 et 1 000 000 de personnes.
Roi incontesté de nos forêts, le cerf fascine les hommes depuis la préhistoire et hante toujours notre imaginaire.
Elles sont des espaces de repos, de promenade et de loisirs. Elles sont de véritables usines de dépollution de l'eau, du sol et de l'air. Elles absorbent du gaz carbonique et rejettent de l'oxygène. Par ce phénomène, elles participent à la lutte contre le [ réchauffement climatique ].
Le soja dont on parle le plus, n'est pas la seule culture industrielle brésilienne qui ait des conséquences sociales et environnementales fortes. Il faut compter aussi avec la canne à sucre, le coton, le maïs, les orangers, les pâturages, l'eucalyptus, certains palmiers.
Alors que le réchauffement climatique s'accélère, l'énorme stock de carbone contenu par la forêt amazonienne menace d'être libéré sous l'effet d'une déforestation qui tend à augmenter. 90 000 incendies ont été comptabilisés en 2019, soit le plus lourd bilan depuis près d'une décennie.
Le Macrauchenia, l'animal « le plus étrange jamais découvert », a trouvé sa famille.