Le prêtre ou le collecteur percevait la dîme, mais le plus souvent les décimateurs apportaient eux-mêmes leur dîme à un point de collecte. L'obligation de la dîme est généralement acquise par achat, don à l'église, ou lorsque l'arrangement est trouvé.
La dîme est le dixième de vos revenus que vous donnez à l'Église de Dieu. Ce commandement date de l'époque de l'Ancien Testament. Le prophète Malachie a enseigné l'importance de la dîme et les bénédictions qui découlent de l'obéissance à cette loi : « Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes …
Le Seigneur a répondu : « Ce sera le commencement de la dîme de mon peuple. Et après cela, ceux qui auront été ainsi dîmés payeront annuellement un dixième de tous leurs revenus ; et ce sera pour eux une loi permanente à jamais » (D&A 119:3-4).
Les offrandes étaient en grande partie des produits agricoles : blé, orge, huile, animaux et la quantité correspondait au dixième de leur revenu, la dîme.
1. Fraction variable, en principe dixième partie, des produits de la terre et de l'élevage versée à l'Église, abolie en 1789. 2. Prélèvement arbitraire opéré sur quelque chose ; taxe : Prélever une dîme sur chacun des services rendus.
La dîme peut être utilisée pour :
La construction et l'entretien des temples, des églises et d'autres bâtiments appartenant à l'Église. Le fonctionnement des programmes d'enseignement de l'Église. L'impression des Écritures et d'autres documents. La recherche dans le domaine de l'histoire familiale.
Nous devons d'abord faire ce que nous avons à faire là où nous sommes, en traitant les problèmes qui se posent concrètement à nous. Fondamentalement, le don est au fond un élan du cœur, une occasion de se décentrer de soi.
La définition que le Seigneur donne de la loi de la dîme est simple. La définition de la loi [de la dîme] est tout simplement « un dixième de tous [les] revenus » (D&A 119:4).
La dîme : un impôt d'origine carolingienne destiné à soutenir les pauvres et les clercs, dont l'Église a su s'approprier intégralement le contrôle. Un des prélèvements les plus lourds qui aient pesé sur les populations, et qui n'est remis en cause qu'à la Révolution.
Les principales raisons de ne pas faire un don sont : Les doutes sur les usages faits des dons récoltés (87% des non-donateurs), Le fait de ne pas avoir soi-même assez d'argent pour donner (76%) Le fait de préférer garder son argent pour sa famille (70%)
Payer la dîme est un signe de notre foi en Jésus-Christ. Si vous vous fiez à lui, vous serez fortifiés, guidés et soutenus dans votre vie à la mesure de vos besoins.
Donner à l'Eglise, c'est donc soutenir sa présence et son rôle dans la société et lui donner les moyens d'accomplir sa mission : – L'Eglise accompagne et donne du sens aux événements de la vie, – Elle accueille et agit auprès des plus démunis et des exclus… – Elle participe à l'éducation des enfants et des jeunes.
La dîme : un impôt d'origine carolingienne destiné à soutenir les pauvres et les clercs, dont l'Église a su s'approprier intégralement le contrôle. Un des prélèvements les plus lourds qui aient pesé sur les populations, et qui n'est remis en cause qu'à la Révolution.
Payer la dîme est un signe de notre foi en Jésus-Christ. Si vous vous fiez à lui, vous serez fortifiés, guidés et soutenus dans votre vie à la mesure de vos besoins.
La dîme peut être utilisée pour :
La construction et l'entretien des temples, des églises et d'autres bâtiments appartenant à l'Église. Le fonctionnement des programmes d'enseignement de l'Église. L'impression des Écritures et d'autres documents. La recherche dans le domaine de l'histoire familiale.
Nous devons d'abord faire ce que nous avons à faire là où nous sommes, en traitant les problèmes qui se posent concrètement à nous. Fondamentalement, le don est au fond un élan du cœur, une occasion de se décentrer de soi.
La définition que le Seigneur donne de la loi de la dîme est simple. La définition de la loi [de la dîme] est tout simplement « un dixième de tous [les] revenus » (D&A 119:4).
Les principales raisons de ne pas faire un don sont : Les doutes sur les usages faits des dons récoltés (87% des non-donateurs), Le fait de ne pas avoir soi-même assez d'argent pour donner (76%) Le fait de préférer garder son argent pour sa famille (70%)
La pureté de cœur est certainement l'une des conditions les plus importantes pour pouvoir recevoir l'inspiration de Dieu. Aucun de nous n'a le cœur parfait, mais plus nous nous efforçons d'éliminer l'impureté ou de faire sortir les choses qui ne devraient pas s'y trouver, plus nous ouvrons notre cœur au Saint-Esprit.