La tête de cette opposition au royalisme est formée par les « triumvirs », Barras, Reubell et La Révellière-Lépeaux.
Les cinq premiers directeurs sont Barras (seul à rester en fonction jusqu'à la fin du régime), La Révellière-Lépaux, Reubell, Carnot et Le Tourneur, les trois premiers formant rapidement un « triumvirat », leurs intérêts convergeant.
Le directoire se compose de la présidente, du vice-président et de quatre autres membres. Tous les membres sont nommés par le Conseil européen, statuant à la majorité qualifiée.
Le coup d'État du 18 brumaire an VIII ( 9 novembre 1799 ), souvent abrégé en coup d'État du 18 Brumaire, organisé par Emmanuel-Joseph Sieyès et exécuté par Napoléon Bonaparte, avec l'aide décisive de son frère Lucien, marque la fin du Directoire et de la Révolution française, et le début du Consulat.
Bonaparte, Premier Consul, a seul le pouvoir exécutif ; les deux autres consuls, Cambacérès (un républicain modéré) et Lebrun (un royaliste modéré) ne donnent que des avis. Les ministres, les fonctionnaires, les officiers généraux sont nommés par le Premier consul. Celui-ci n'est responsable devant personne.
Régime qui gouverna la France depuis la fin de la Convention nationale (26 octobre 1795) [4 brumaire an IV] jusqu'au 9 novembre 1799 (18 brumaire an VIII).
Le directoire est composé de membres du personnel de l'établissement, dont une majorité de membres du personnel médical, pharmaceutique, maïeutique et odontologique.
Élaborée par Bonaparte, la nouvelle Constitution confie l'exécutif à trois consuls (Bonaparte, Cambacérès, Lebrun) ; en fait, le Premier consul (Bonaparte) détient seul la réalité du pouvoir : nommé consul pour dix ans par un article spécial, il est indéfiniment rééligible, et exerce un pouvoir exécutif sans limites.
Contrairement au conseil d'administration à qui la loi confie le soin d'établir les comptes annuels, le conseil de surveillance n'a pas le pouvoir d'arrêter les comptes sociaux.
Le Consulat (1799-1804)
Il y est mis à sa tête le général Napoléon Bonaparte, qui prend le titre de Premier consul de la République, accompagné par le Deuxième consul Jean-Jacques-Régis de Cambacérès et le Troisième consul Charles-François Lebrun.
Avec l'aide de la Garde nationale, les Montagnards dominent la Convention, qui deviendra le « centre unique de l'impulsion du gouvernement révolutionnaire ».
9 et 10 novembre 1799 : dix ans après le début de la Révolution française, qui a remplacé la monarchie par la république, le général Bonaparte prend le pouvoir lors du coup d'État du 18 Brumaire.
Le Directoire est un organe collectif mis en place dans certains sociétés anonymes dont les membres dirigeants et notamment le Président du Directoire sont désignés par le Conseil de surveillance dont le rôle est de gérer et d'administrer l'entreprise.
Après avoir exercé en tant que président du conseil de surveillance, il est possible d'évoluer au sein de la direction de la société. Très souvent, le président du conseil de surveillance est désigné par les actionnaires dans un esprit d'équipe et une affinité relationnelle.
Au terme de l'alinéa 1, le président du conseil doit d'une part être choisi parmi les membres du conseil d'administration, d'autre part, à peine de nullité de la nomination, être une personne physique. Il est élu par le conseil d'administration et cette désignation est de la compétence exclusive du conseil.
Napoléon est désigné comme Premier consul donc de fait à la tête de l'exécutif. Il a le pouvoir de nommer aux principales fonctions publiques et il a un certain pouvoir d'initiative en matière législative.
Le sénatus-consulte est approuvé le 18 mai 1804 à la quasi-unanimité par le Sénat, confiant ainsi à Napoléon Bonaparte le gouvernement de la République avec le titre d'Empereur des Français.
Sous le Consulat, Napoléon Bonaparte entreprend de reconstruire la société française en lui donnant des bases solides et durables. De plus en plus autoritaire, le Consulat est remplacé par l'Empire en 1804. Napoléon Ier instaure un régime fort et, jusqu'en 1811, crée un vaste Empire qui domine l'Europe.
Le directoire, présidé par le directeur, et dont le vice-président est le président de la commission médicale d'établissement, est un organe collégial qui : approuve le projet médical ; prépare le projet d'établissement ; conseille le directeur dans la gestion et la conduite de l'établissement.
Soit une rémunération mensuelle de 5331 euros bruts en moyenne.
Représentant légal d'un établissement hospitalier, le directeur d'hôpital est nommé par un arrêté du ministre de la Santé selon l'avis du président du Conseil d'administration.
En effet, les calculs politiques, les répressions sanglantes, la corruption et les coups d'État à répétition feront du Directoire un régime particulièrement instable.
Par le coup d'État des 9 et 10 novembre 1799 (18 et 19 Brumaire an VIII selon le calendrier révolutionnaire), Napoléon Bonaparte renverse le Directoire et établit un nouveau régime dans lequel il exerce un pouvoir dictatorial : le Consulat.
Le 9 novembre 1799 (18 brumaire, an VIII), le général Napoléon Bonaparte renverse le régime et fonde le Consulat. ➤ Le Consulat. Bonaparte s'emploie à rétablir la stabilité du pays et à renforcer sa propre puissance politique.
Le régime des membres du directoire
Le Conseil de surveillance est l'organe qui fixe le montant de leur rémunération et le mode de rémunération (article L. 225-63 du Code de commerce).