Krampus est représenté comme une créature démoniaque qui accompagne saint Nicolas, principalement en Europe centrale. Il agit souvent en relation avec ce dernier, saint Nicolas donnant des cadeaux aux enfants sages, alors que Krampus donne des avertissements et des punitions aux mauvais enfants.
Il est accompagné d'un Père Fouettard, aussi appelé « Hanscrouf » ou « Zwarte Piet ». Parfois, il y a deux « Pères Fouettard ».
Gare au Père Fouettard (Knecht Ruprecht en Allemagne, Hans Trapp en Alsace), cet étrange personnage tout de noir vêtu, qui accompagne souvent notre bon Saint-Nicolas. Une sorte de double du saint homme, souvent représenté en noir qui menace de distribuer des coups de fouet aux enfants qui n'ont pas été sages…
Selon certaines traditions : Le père Fouettard qui accompagne saint Nicolas serait en fait le boucher de l'histoire.
La figure de Schmutzli provient d'une vieille tradition alpine de personnages censés chasser les démons. Il porte généralement un balai, servant à l'origine à punir les enfants qui n'ont pas été sages, d'où son nom français de Père Fouettard.
Habituellement, dans la nuit du premier weekend de décembre, chaque enfant dépose ses petits souliers devant la cheminée ou devant la porte d'entrée de la maison avant d'aller se coucher. Saint-Nicolas y déposera friandises et petits cadeaux, sans oublier de récupérer une carotte ou un sucre, pour son fidèle canasson.
Saint Nicolas ? Il faut dire que les représentations de ces deux personnages sont proches… D'où vient cette ressemblance ? Le Père Noël est une créature mythique, alors que saint Nicolas, lui, a réellement existé puisqu'il était évêque de Myre, ville marchande d'Asie Mineure (Turquie actuelle) aux IIIe-IVe siècles.
D'un côté, Saint Nicolas étant thaumaturge, un pouvoir de résurrection peut lui être alors facilement associé ; de l'autre, de nombreuses légendes locales aiment à raconter les pratiques douteuses et macabres des aubergistes, bouchers ou pâtissiers ayant tendance à cuisiner de la chair humaine par souci d'économie ou ...
Nicolas de Myre ou Nicolas de Bari, est plus connu sous le nom de « Saint Nicolas ».
Aux Pays-Bas et en Flandre, Saint Nicolas a le luxe de circuler à cheval. Il est moins chanceux en Wallonie où c'est sur le dos d'un âne qu'il fera sa tournée de cadeaux. Le cheval hollandais de Sinterklaas, Amerigo, est à la retraite depuis 2018; son successeur s'appelle Ozosnel.
D'origine grecque, Saint-Nicolas, évêque de Myre a vécu dans l'actuelle Turquie entre le troisième et le quatrième siècle. Son existence historique est attestée, mais on ne sait pas grand-chose de sa vie. On dit qu'il aurait participé au Concile de Nicée en 325, mais tous les historiens ne sont pas d'accord.
Le 6 décembre, tous les ans, les départements du Nord-Est fêtent la Saint-Nicolas. Voici ce qu'il faut savoir sur les origines et la date de cette tradition chrétienne. Noël approche et tout le monde se prépare pour les festivités.
Quelle est l'origine du Père Noël ? Le Père Noël serait né il y a environ 1700 ans. Il s'appelait alors Nicolas de Myre, un riche évêque turc qui avait l'habitude, pendant la nuit, d'aller distribuer des cadeaux et de la nourriture aux plus pauvres.
À cette date, en effet, est célébrée la Saint-Nicolas. Traditionnellement dans ces régions, c'est ce personnage, et non le Père Noël, qui apporte les cadeaux aux enfants sages, tandis que le Père fouettard, qui l'accompagne, s'occupe des garnements.
Le personnage de la Saint Nicolas a autrefois réellement existé mais sous le nom de Nicolas de Myre. Ce dernier serait né en Asie mineure (Turquie) en l'an 250 et mort le 6 décembre 343. Il aurait succédé à son oncle qui était évêque de Myre.
Le Père Noël s'appelle Saint-Nicolas.
Il est le personnage traditionnel du Noël. En anglais, il est appelé Santa Claus. Pour comprendre l'origine de son prénom, il faut lire son histoire qui remonte en 280 après JC.
550 mandarines
Pour compenser le sucre des biscômes, une autre gourmandise qui plaît tout autant, mais qu'on évite de lancer. Il faudra donc un peu de chance pour recevoir une mandarine de la part du Saint-Nicolas.
Tout aurait commencé en Turquie, avec l'histoire de saint Nicolas, un bienfaiteur devenu le patron des enfants. Au fil des siècles et des migrations en Europe, puis aux Etats-Unis, son nom, son costume et même la date de livraison des cadeaux ont changé.
Saint Antoine est invoqué tout particulièrement pour les enfants. Parmi les miracles obtenus par son intercession, plusieurs sont accomplis en faveur d'enfants. D'où la tradition de placer les enfants, dès leur naissance, sous la protection de saint Antoine.
Le Saint Nicolas est à l'origine de l'apparition de Santa Claus aux Etats-Unis qui devient une figure pour tous les enfants. Santa Claus est arrivé en France pendant la première guerre mondiale sous le nom de Père Noël. Santa Claus et le père Noël sont donc bien le même personnage.
Le culte de saint Nicolas est très populaire et répandu. On lui attribue de nombreux miracles. Le plus connu est celui où il ressuscite trois petits enfants qu'un boucher avait découpés et mis dans un saloir en vue d'en consommer la chair.
L'origine du Père Noël
Malgré la réforme protestante du XVIe siècle qui supprima la fête de St Nicolas dans des pays d'Europe, les Hollandais gardèrent leur Sinter Klaas (nom hollandais pour Saint Nicolas) et sa distribution de jouets. Lorsqu'ils s'installèrent aux États-Unis, Sinter Klass devint Santa Claus.
L'ancêtre direct du Père Noël est Saint-Nicolas. Il continue d'être célébré le 6 décembre dans le nord et l'est de l'Europe depuis le Moyen Âge : "Sankt Nikolaus" en Allemagne, "Sint Nicolaas" aux Pays-Bas, "Svyatoy Nikolay" en Russie, "Swięty Mikołaj" en Pologne.
Le saint catholique Nicolas de Myre est souvent considéré comme étant la base de la légende du père Noël. Il aurait donc la même origine que notre Saint-Nicolas, « patron des écoliers », qui gâte les enfants sages en Belgique la nuit du 6 décembre.
Il est décédé le 6 décembre 331 dans la ville de Myre. Il a été canonisé par l'Église, c'est donc une figure sainte dans la religion orthodoxe. Il aurait obtenu de l'empereur Constantin un abaissement des impôts en plaidant la cause des habitants de Myre à Constantinople.