L'identité du créateur La doctrine chrétienne de la Trinité affirme la coexistence de trois personnes en un Dieu unique : le Père, le Fils et le Saint-Esprit. Certains théologiens ont considéré "Dieu le père tout-puissant", c'est-à-dire la première personne, comme le créateur du ciel et de la terre.
La Bible et le Credo parlent du Dieu créateur afin de connoter son pouvoir de produire le monde, mais créer n'est pas encore un équivalent parfait de produire. La création désigne une instance par excellence de la production, non pas toute production.
Brahma représente l'élément créateur, Vishnu l'élément conservateur et Shiva l'élément destructeur. Ils sont ici réunis en un même corps d'une divinité à quatre bras. Le panthéon hindou est très vaste : on appelle l'hindouisme la religion aux 33 millions de dieux !
Dans le premier (Genèse 1-2:4), Dieu, entité nommée Elohim en hébreu, crée les cieux et la Terre en six jours, puis se repose et sanctifie le septième jour. Il ordonne progressivement sa création pour y installer l'Adam, un mâle et une femelle qu'il a créés à son image afin de régner sur sa création.
Le mot « dieu » vient du latin deus, lui-même issu de la racine indo-européenne dei- « briller » qui, élargie en deiwo- et en dyew-, sert à désigner le ciel lumineux en tant que divinité ainsi que les êtres célestes par opposition aux êtres terrestres, les hommes.
Certaines traductions chrétiennes de la Bible l'ont parfois transcrit par « Yahvé », « Yahweh », « Jéhovah » ou « Jéhova ». Depuis la Bible d'Olivétan, parue en 1535, la plupart des traductions protestantes retiennent le terme « l'Éternel ».
Ils peuvent donc demander : “Qu'y avait-il avant Dieu ?” Mais le Dieu éternel n'est pas un effet. Il n'y a jamais eu de temps où il ne fut pas. L'existence de Dieu ne dérive de rien d'autre que de lui-même, et elle ne dépend de rien d'autre que de lui-même.
Avant l'acte créateur de Dieu, le monde n'est pas un chaos aqueux, mais une étendue désertique : « Telle est la naissance du ciel et de la terre lors de leur création.
Comme les êtres humains, ils possèdent le pouvoir de la raison et la notion du bien et du mal. Les djinns existaient avant la création d'Adam, et curieusement Satan était le plus juste parmi eux, à tel point qu'il fut élevé à une position aussi élevée que les anges.
Bethléem s'étend à 10 kilomètres au sud de la ville de Jérusalem, dans les collines calcaires fertiles de Terre Sainte. L'emplacement où se dresse aujourd'hui l'église de la Nativité, à Bethléem, est reconnu au moins depuis le IIe siècle après J. -C. comme l'endroit où Jésus est né.
Le Messie (χριστός / Christos en grec ancien), « l'oint du Seigneur » est annoncé par l'Ancien Testament du judaïsme. La plupart des chrétiens reconnaissent Jésus-Christ comme le Fils unique de Dieu et comme l'une des trois personnes du Dieu trinitaire. Sa mère est Marie de Nazareth.
Dans la Genèse, Dieu crée le monde en six jours. Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux. Dieu dit : Que la lumière soit !
34Swinburne parle de Dieu comme d'une personne sans corps, éternelle, libre, capable de tout faire, qui sait tout, est parfaitement bonne, est l'objet approprié de la louange et de l'obéissance humaines, créateur et celui qui soutient l'existence de l'univers.
Non», répond le plus célèbre scientifique britannique. La main de Dieu n'était pas nécessaire pour créer l'univers, qui s'est en fait formé de lui-même, en toute logique des lois de la physique, explique-t-il. «En raison de la loi de la gravité, l'univers peut se créer de lui-même, à partir de rien.
Parce qu'il voulait nous donner la possibilité de progresser et de devenir comme lui, notre Père céleste a créé notre esprit et il a fourni un plan de salut et de bonheur qui inclut nécessairement cette expérience terrestre.
"Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre." La main de Dieu jaillit du ciel pour séparer la lumière et les ténèbres. C'est la première différenciation du vide, ne mettant encore en jeu aucune substance matérielle.
Ils vécurent dans le jardin d'Éden.
Fresque du plafond de la chapelle Sixtine réalisée par Michel-Ange (1509). Selon le second chapitre de la Genèse, Adam est le premier homme et a été créé par Dieu lors du sixième jour de la Création à partir de la poussière de la terre qu'il façonna à son image, avant de l'animer de son souffle (Gn 1,27).
En outre, l'ADN mitochondrial des hommes ainsi que les échantillons similaires de 24 femmes ont confirmé les conclusions de Wallace en déterminant Eve comme originaire d'Afrique entre 99.000 et 148.000 ans, c'est-à-dire à un moment chevauchant la présence d'Adam sur le même continent.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
"Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre." La main de Dieu jaillit du ciel pour séparer la lumière et les ténèbres. C'est la première différenciation du vide, ne mettant encore en jeu aucune substance matérielle.
Le premier jour, Dieu crée la lumière et la sépare d'avec les ténèbres. Le deuxième jour, il sépare les eaux originelles en deux grâce à un firmament, le ciel. Au-dessous du firmament nait la terre ferme, au milieu de la mer. Dieu crée également les plantes et la végétation.
« Personne n'a jamais vu Dieu », affirme l'évangile de Jean (Jn 1,18) – et cela nous semble l'évidence même. Le Dieu de la Bible est esprit, il est « immortel, invisible, seul Dieu » (1 Tm 1,17). On ne peut pas le voir.
Le 23 octobre 4004 av. J. -C., à midi… C'est en tout cas l'heure à laquelle Dieu a créé le monde, selon les calculs de l'archevêque irlandais James Ussher en 1650, se référant aux récits de la Bible.
Dieu ne se fait exister qu'en vertu de ce qu'il est, il se présuppose lui-même. C'est pourquoi son objectivité est formelle, au sens où il n'existe qu'à l'intérieur de lui-même. L'existence de Dieu est admise mais non pas établie concrètement, c'est-à-dire à l'encontre de la contestation de son existence.