3. Dieu puissance de vie. Dans la couche la plus ancienne du Pentateuque (J), le el (élohim) d'Abraham est appelé YHWH, à lire certainement Yahvé. Au temps de Moïse on lira en ce nom la racine « être » ; beaucoup de savants pensent encore à une forme de cette racine.
Et c'est ce qu'on peut entendre dans l'appel de Dieu à Abram : « Pars pour toi-même de ton pays, de ta famille de la maison de ton père… va vers le pays que je te ferai voir. » Ce « pars vers ou pour toi-même » a été beaucoup commenté par la psychanalyse, entendue comme une sorte de promesse d'accomplissement du sujet.
Abraham n'était ni juif ni chrétien ; il était monothéiste, soumis à Dieu, et il n'était pas un païen » (Sourate 3, v. 65 et 67). Dans le Coran, Abraham est ainsi la figure d'un monothéisme supraconfessionel.
D'autres suggèrent que l'apparent engagement d'Abraham à sacrifier Isaac était sa propre manière de tester Dieu. Abraham s'était auparavant disputé avec Dieu pour sauver des vies à Sodome et Gomorrhe.
La théorie biblique fait un lien avec le verbe être. Dieu dit à Moïse : « Je suis qui je suis/Je serai qui je serai » (Exode 3, 14) ; Yahvé est celui qui est ou qui fait être, donc le créateur. D'autres chercheurs pensent que ce terme est issu d'une racine qui veut dire souffler, faire venir le vent.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Translittération de l'hébreu יהוה est le nom divin et c'est le tétragramme de Dieu dans la Bible hébraïque en lettre se traduit ainsi YHWH composé des quatre lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה) qui se traduit avec les voyelles suivants YAHWEH – YAHUAH – YAH.
L'alliance conclue avec Abraham, telle qu'elle est décrite au chapitre xvii de la Genèse, a été inconditionnelle. Abraham a reçu la bénédiction divine assortie d'une double promesse : il allait devenir le père de nombreuses nations et sa descendance devait posséder pour toujours la terre de Canaan.
Abraham voulait être juste et recevoir les bénédictions que sont le bonheur et la paix. Grâce à la fidélité d'Abraham, le Seigneur a fait une alliance avec lui. Cette alliance a donné à Abraham le droit de recevoir la prêtrise avec les bénédictions et les responsabilités qui l'accompagnent.
Les textes parlent des âges extraordinaires atteints par les grands personnages bibliques. Abraham, l'ancêtre d'Israël, mourut à 175 ans. C'est moins que les patriarches d'avant le déluge, notamment un des plus célèbres, Mathusalem qui a vécu 969 ans. Plus proche de nous, Moïse atteignit les 120 ans.
Contrairement aux idées reçues, ce sont les Chrétiens les plus nombreux sur terre. Avec 2,2 milliards de fidèles, ils représentent près d'un tiers de la population mondiale, loin devant les Musulmans, à 1,8 milliards de pratiquants.
Jean Bottero nous livre un ouvrage brillant sur la plus ancienne religion connue de l'humanité au travers de ses lettres : la religion sumérienne.
Selon la Genèse, Abram (nom sous lequel il est connu avant que Dieu ne le nomme Abraham) est l'un des trois fils de Térah, un nomade araméen originaire d'Our en Chaldée (basse Mésopotamie), descendant lui-même de Sem et de Noé. Térah décide de quitter la région d'Our pour migrer avec son clan.
« Les promesses divines faites à Abraham comprenaient ce qui suit : (1) Le Christ viendrait par son lignage et (2) La postérité d'Abraham recevrait certaines terres comme héritage éternel (Genèse 17 ; 22:15-18 ; Galates 3 ; Abraham 2).
Si donc Abraham a aussi reçu son identité de père, c'est parce qu'il a eu foi en la promesse. Cet acte est unique, il ne se renouvelle pas. Il est fondateur car il marque la radicalité absolue de l'acte divin.
Abram doit quitter la maison paternelle. Il doit accepter une obéissance, une fidélité et même un sacrifice. Et pas n'importe quel sacrifice, puisqu'il s'agit de celui de son fils. Dès lors, par la promesse, Abram devient Abraham.
Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Les bénédictions qu'il recherchait étaient celles de la prêtrise détenue par les dirigeants des dispensations qui l'avaient précédé : Adam, Hénoc et Noé et leur postérité juste. Abraham a reçu la prêtrise du prophète Melchisédek (voir Traduction de Joseph Smith, Genèse 14:25, dans le Guide des Écritures ; D&A 84:14).
La Promesse, selon la Bible, l'engagement que prit Dieu d'envoyer le Messie à son peuple. Les fils de la Promesse, les croyants. Au pluriel. Parole, formule par laquelle on se lie.
dans sa maison et tous ceux acquis avec de l'argent, tous les mâles parmi les gens de la maison d'Abraham et il circoncit la chair de leur prépuce, ce même jour, selon ce que Dieu lui avait dit.
L'Alliance biblique est une alliance entre Dieu et l'humanité en général ou avec le peuple descendant d'un prophète en particulier comme Noé, Abraham, Jacob-Israël.
Secrétariat international de l'OTAN
Le secrétaire général est aussi le principal porte-parole de l'OTAN et le chef du Secrétariat international de l'Organisation. L'actuel secrétaire général de l'OTAN est Jens Stoltenberg.
Le nom יֵשׁוּעַ, Yeshoua (traduit dans l'Ancien Testament en français comme Josué) est une forme tardive du nom hébreu biblique יְהוֹשֻׁעַ, Yehoshua (Josué), et écrit avec une lettre waw comme seconde syllabe.
Le mot « dieu » vient du latin deus, lui-même issu de la racine indo-européenne dei- « briller » qui, élargie en deiwo- et en dyew-, sert à désigner le ciel lumineux en tant que divinité ainsi que les êtres célestes par opposition aux êtres terrestres, les hommes.
Inanna compte parmi les déesses les plus anciennes jamais rapportées dans l'ancienne Sumer. Elle est listée comme faisant partie des sept pouvoirs divins : Anu, Enlil, Enki, Ninhursag, Nanna, Utu et Inanna. Ces sept formeront les bases de bien des caractéristiques des dieux qui ont suivis.