Les Sikhs croient en un seul Dieu éternel et créateur selon le principe "Ik-On-Kar" - que l'on peut traduire par "une seule conscience créatrice manifestée". La religion renonce aux jeux de hasard et à la consommation de viande, d'alcool et de tabac afin de parvenir à la "mukti", c'est-à-dire la "libération".
La religion sikhe est strictement monothéiste. Ses adeptes croient en un seul Dieu suprême, absolu, infini, éternel, créateur, la Cause des causes, sans inimitié, sans haine, à la fois immanent et transcendant. Il est appelé : le Guru suprême (ou en langage courant, « Quel Dieu ! »).
Le premier livre sacré des Sikhs, l'Ādi Granth, consiste principalement en hymnes écrits par les cinq premiers gurū et par le neuvième, classés selon leur mode musical. Il inclut des compositions de poètes sant et soufis, tels que Nāmdev, Kabīr et Farīd.
Depuis quelque temps, une association organise un concours intitulé “Mister Singh International”, qui est réservé aux sikhs enturbannés. Les candidats doivent participer entre autres à une épreuve intitulée “Mon turban, ma fierté, mon identité”, où ils sont jugés sur leur façon de nouer le tissu sur leur tête.
Le turban est un symbole d'unité
La plus grande vocation des sikhs d'afficher le turban est qu'il représente leurs croyances. La justice pour tous, l'égalité et une notion radicale de compassion.
Le kesh ou kes est la pratique du sikhisme qui consiste à ne pas couper ses cheveux (ni aucun poil du corps), à les laisser croître naturellement comme symbole de respect pour la perfection de la création de Dieu.
Le Dastar est le turban porté par les hommes de confession sikh qui suivent la règle des Cinq K. Ces sikhs ont reçu l'Amrit Sanskar, le baptême sikh qui intronise tout croyant dans l'ordre du khalsa.
Les hommes ainsi initiés sont appelés « Singhs » (lions) et, au fil du temps, sont tenus, en tant que membres du Khalsa, de rester fidèles aux cinq kakas (les cinq K) : de ne jamais se couper ni les cheveux ni la barbe (kesh) et de porter un peigne (kangha) symbolisant la propreté, un bracelet de métal (kara), une ...
Drogues: les consommations d'alcool, de drogue, de tabac sont prohibées. Adultère: la fidélité est de rigueur dans le sikhisme.
Un Sikh est ainsi censé prier trois fois par jour : tôt le matin, le soir et avant de se coucher. Les textes de ces prières sont tirés du Gurū Granth Sāhib et du Dasam Granth. Un Sikh doit également se rendre aussi souvent que possible au gurdvārā et y participer aux prières collectives.
L'athée ne croit pas à l'existence de Dieu; l'agnostique croit que nous sommes incapables de savoir s'il existe ou non. Bien que le terme « agnosticisme » ait été inventé par T.H. Huxley (1825-1895), le point de vue est très ancien, remontant aux sceptiques grecs.
Issu du mot sanskrit sinha, Singh signifie « lion ». On retrouve ce terme dans le nom de la cité-État de Singapour, qui est « la ville du lion ». En Inde et partout dans le monde, tous les Sikhs hommes s'appellent Singh tandis que les femmes se nomment Kaur (« princesse »).
Il est porté par les Arabes, nomades ou sédentaires. Chez les Kurdes, le turban fut jadis surmonté d'une crinière.
Porté depuis l'Antiquité et notamment par les Perses, le turban est présent dans toutes les cultures et traverse l'histoire. Marqueur religieux, il n'en est pas moins, un accessoire de mode.
Pour être considéré comme casher, un juif doit être impliqué dans tout le processus de vinification, depuis la récolte du raisin jusqu'à la fermentation et à la mise en bouteille. Tous les ingrédients doivent être casher, y compris les protéines utilisées pour la clarification et la stabilisation du vin.
L'Inde est un pays spirituel et de nombreuses religions s'y sont développées : l'Hindouisme, l'Islam, le Jaïnisme, le Christianisme, le Sikhisme, le Bouddhisme et enfin le Judaïsme.
Om (ou Aum ॐ) est un des symboles les plus sacrés de l'hindouisme : il est utilisé comme préfixe et parfois suffixe aux mantras hindous. Il est considéré comme la vibration primitive divine de l'Univers qui représente toute existence ; ainsi : « La syllabe Om est Brahman. (...)
La religion Sikh a vu le jour au XV e siècle dans la région du Pendjab et le pendjabi est la langue principale parlée par les Sikhs. La plupart des portions du Guru Granth Sahib utilise le pendjabi écrit en gurmukhi, bien que le pendjabi ne soit pas la seule langue utilisée dans l'écriture Sikh.
Cette sorte de bonnet sert à embellir ou rechausser un look, mais est aussi utilisée pour mettre en avant un beau visage. Considéré comme un véritable accessoire capillaire, le turban est d'ailleurs incontournable pendant et après une chimiothérapie et permet de dissimuler une alopécie temporaire.
Le turban noir est un couvre-chef, accessoire traditionnel dans les pays chiites. C'est une partie de l'habit de tout théologien chiite descendant du prophète de l'islam Mahomet par l'un de ses deux petits-fils, Al-Hassan ibn Ali ou Al-Hussein ibn Ali, fils de Fatima Zahra.
Il faut savoir que le turban n'est pas un voile. Vous êtes convaincus que vous le portez mais c'est en réalité le contraire. Il ne faut pas prendre ça à la légère, le prophète (que la paix et le salut soit sur lui) a dit : « quand la femme est pubère seuls son visage et ses mains doivent apparaître.
Le keffieh est la coiffe des citadins, portée en Irak et au Levant ; La ghutra est la coiffe des nobles, portée dans le Golfe et dans la péninsule arabique ; La shemagh est la coiffe des Bédouins, portée dans la péninsule arabique ; Le muzzar est la coiffe portée par les habitants d'Oman et du Yémen.
1. Coiffure orientale faite d'une longue pièce d'étoffe, enroulée autour de la tête recouverte préalablement d'une calotte de drap. 2. Coiffure de femme en tissu souple et drapé dans le style des turbans orientaux.
Les Sikhs ne forment que 2 p. 100 de la population indienne, soit environ 23 millions d'individus en 2006. 80 p. 100 d'entre eux vivent dans le Panjāb, où ils sont légèrement plus nombreux que les Hindous.
Il n'existe en Inde aucune loi sur les noms de famille ou sur leur forme. Ils sont construits dans l'une des multiples langues du pays, influencés à la fois par les différentes religions et des reliquats du droit anglais.