Soliman II, surnommé le Magnifique par les Occidentaux, et le Législateur (Suleiman Kanouni) ou le Grand (Asametleu) par les Turcs, est indéniablement le plus grand sultan de l'empire ottoman... et surtout celui dont le règne a été le plus long (46 ans, de 1520 à 1566).
Murad Ier le Souverain, premier sultan ottoman (1362-1389)
Trente-quatrième sultan ottoman, Abdülhamid est le dernier monarque à exercer une véritable autorité sur l'empire. Son règne est caractérisé par le déclin persistant de l'État ottoman malgré une politique de modernisation.
Au Maghreb, les monarques du Maroc se nomment « sultans » depuis les Mérinides au XIII e siècle jusqu'à 1957, lorsque Mohammed V choisit de porter le titre de « roi du Maroc », pour symboliser l'unité du pays.
Considéré comme le plus grand sultan de l'empire ottoman, Soliman surnommé « le Magnifique » par les Occidentaux, « le Législateur » ou « le Grand » par les Turcs, règne de 1520 à 1566. Son immense territoire s'étend des Balkans jusqu'à la Perse et comprend la majorité des rivages d'Afrique du nord et de la mer Rouge.
En 1922, les nationalistes turques décidèrent d'abolir le sultanat et mirent ainsi fin à ce qui fut jadis l'un des empires les plus prospères de l'histoire.
Avec Constantinople comme capitale, et le contrôle des terres autour du bassin méditerranéen, l'Empire ottoman fut au centre des interactions entre les mondes oriental et occidental pendant six siècles.
Soliman II, surnommé le Magnifique par les Occidentaux, et le Législateur (Suleiman Kanouni) ou le Grand (Asametleu) par les Turcs, est indéniablement le plus grand sultan de l'empire ottoman... et surtout celui dont le règne a été le plus long (46 ans, de 1520 à 1566).
On compte aujourd'hui soixante-dix-sept descendants de la dynastie ottomane. Il y a parmi eux vingt-cinq princes, seize sultans et treize femmes portant le titre de sultane. Ils vivent sur le continent américain, en Grande-Bretagne, en Egypte ou en Jordanie, et s'expriment dans plusieurs langues.
Mohammed V jeune. Sidi Mohammed est le fils de Moulay Youssef, sultan du Maroc de 1912 à 1927 sous le protectorat français. À la mort de son père en 1927, un an après la fin de la guerre du Rif, il est choisi par les autorités françaises comme sultan à la place de ses deux frères aînés.
L'organisation d'État de l'Empire ottoman reposait sur un gouvernement très centralisé avec le sultan comme dirigeant suprême, tant civil que militaire et religieux (Commandeur des croyants), qui exerçait un contrôle effectif sur les provinces, les sujets et les fonctionnaires.
Le Sultan (en persan : سلطان) est le chef d'état d'un sultanat (une monarchie musulmane). Historiquement, les sultans sont d'abord des gouverneurs qui secondent le calife mais qui, trop éloignés de celui-ci, ont déclaré leur indépendance.
Loin devant les Empires grec et romain, l'Empire mongol fut le plus grand de tous les temps. Cela grâce à son fondateur, Gengis Khan, « empereur universel » considéré comme le plus grand conquérant de l'histoire qui unifia les tribus d'Asie centrale au XIIème siècle.
L'Empire mongol était le territoire le plus étendu de l'Histoire, loin devant l'Empire Romain ou les conquêtes d'Alexandre le Grand, mais les divisions en son sein causèrent sa perte sous le règne de Kubilaï Khan. La statue de Gengis Khan, au cœur du désert de Badain Jaran.
Entre l'inauguration de Constantinople* par Constantin Ier le 11 mai 330 et la conquête par l'Ottoman Mehmed II de la ville alors défendue par Constantin XI le 29 mai 1453, il s'est écoulé plus de onze siècles. Seul l'Empire chinois qui a duré deux mille ans peut prétendre rivaliser.
1. a) Dans les pays musulmans ou fortement islamisés, chef temporel puis souvent également spirituel, souverain d'un État plus ou moins important. Les tombeaux dont les khalifes fatimites et les sultans mameluks ont enrichi les solitudes qui avoisinent le Kaire (Du Camp, Nil, 1854, p.
sultane n.f. Épouse ou favorite du sultan ottoman.
Étymologie. (1519) Apparait avec le sens de « souverain de l'empire ottoman », via le turc ottoman سلطان , sulṭān (« souverain »), de l'arabe سلطان , sulṭān (« pouvoir »). (1188) soltan . (Mois bahaï) (fin du XIX e siècle) De l'arabe سلطان , sulṭān (« pouvoir », « autorité »).
La guerre de Crimée a révélé la faiblesse financière de l'empire: pas de vrai budget, des rentrées fiscales irrégulières, un endettement croissant. La monnaie, les finances et les douanes de l'empire passent sous la tutelle de la Banque impériale ottomane, créée en 1863 et dirigée par un consortium franco-britannique.
Il est l'un des 23 grands législateurs de l'histoire commémorés en ce lieu. Si Soliman est appelé « le Magnifique » en Occident, il est désigné par « le Législateur » en Orient.
La supériorité de l'Empire ottoman s'explique par sa capacité à dominer militairement une population multinationale et multireligieuse. L'administration de l'empire est centralisée pour permettre une bonne gestion de tous les territoires conquis. Les réformes de l'empire commencent dès le XIIe siècle.
À ses débuts, la chancellerie de l'empire a dû faire appel épisodiquement au grec et à l'italien et vers sa fin, elle a eu recours à l'anglais et au français. Mais l'ottoman qui s'était construit peu à peu était une langue où se fertilisaient mutuellement le turc, bien sûr, mais aussi le persan, l'arabe.
En 324 apr. J. -C. , l'empereur romain Constantin Ier choisit Byzance comme nouvelle capitale de l'Empire. Sous le nom de Constantinople, elle devient la nouvelle Rome.
L'empereur byzantin est appelé basileus, qui signifie « roi » en grec. Il est couronné et sacré par le patriarche de Constantinople. Patriarche : Le patriarche est l'évêque de Constantinople, chef de l'Église orthodoxe, autre nom de l'Église chrétienne d'Orient.