Gargantua, le père de Pantagruel, lui envoie une lettre dans laquelle il commence par exalter le cours des générations, par lequel les descendants perpétuent l'héritage des ancêtres, remerciant Dieu de pouvoir se reconnaître en son fils et l'exhortant à la vertu.
Alcofribas abstracteur de quinte essence. Livre plein de Pantagruelisme selon l'édition de François Juste de 1542, ou plus simplement Gargantua, est le deuxième roman de François Rabelais écrit en 1534.
Gargamelle : Gargamelle est la fille du roi des Parpaillons, elle épouse Grandgousier et fait de lui un roi. Elle est la mère de Gargantua, qui est donc un prince. Grandgousier : Grandgousier, fidèle à son nom, est un bon vivant et grand mangeur, tout comme son épouse.
Sa mère, Badebec, meurt durant l'accouchement, laissant Gargantua, son père, partagé entre chagrin et joie. L'enfance de Pantagruel est une succession d'exploits bien dignes d'un géant.
Déjà tout petit, Gargantua était un géant ! Ses parents, Grandgousier et Gargamelle, le laissaient libre de mener sa vie à sa guise.
Gargantua serait mort en se désaltérant de l'eau de la Saône.
Dans cet extrait de Gargantua, Rabelais caricature le genre épique car son héros, Frère Jean des Entommeures ne se bat pas pour une cause noble (il défend son vignoble par peur de ne plus avoi de vin). Ainsi, Rabelais réalise une satire de la religion et des moines.
Gargantua passe à l'assaut et frère Jean tue quelques soldats de Picrochole. Voyant sa défaite inéluctable, Picrochole décide de fuir. voler un âne à des meuniers qui réagissent violemment et finalement le volent.
Bridé (maître Jobelin)
Maître Jobelin Bridé,vieux tousseux, deuxième précepteur de Gargantua, également tenant de l'école scolastique, employa les mêmes méthodes que son prédécesseur Thubal Holopherne. Il réduisait l'enseignement à des exercices de mémoire.
Philosophie épicurienne qui consiste à profiter des bonnes choses.
Gargantua a environ 490 ans.
Une étymologie généralement retenue est celle de l'espagnol et du languedocien Garganta, « gorge ». Rabelais lui donna l'étymologie facétieuse « Que grand tu as ».
Pantagruel est le fils de Badebec, morte en couche, et de Gargantua, roi d'Utopie, qui décida de s'occuper soigneusement de l'éducation de son fils. Pantagruel a très tôt un énorme appétit, très vite incontrôlable. Une fois adulte, il décide d'aller dans plusieurs universités de France.
En d'autre thermes, Rabelais affirme que le clergé est ignorant et possède des lacunes intellectuelles. b- Les moines : Il reproche aux moines les récitations de prières mécaniques, il leur reproche aussi leur hypocrisie, leur paresse et leur ignorance.
Personnage éponyme, Pantagruel (dont le nom signifie « tout altéré » selon le grec « panta » et l'arabe « gruel ») est un géant comme son père, Gargantua. Le récit biographique entraîne le lecteur au fil de son enfance et de son éducation lors d'un tour des universités du pays.
Gargantua n'est le personnage principal que dans le roman éponyme, tandis que son fils Pantagruel accomplit avec son ami Panurge et ses compagnons la quête de la Dive bouteille.
Le personnage de maître Janotus est vulgaire à cause de son éducation. Son impolitesse se manifeste à plusieurs endroits : "bien l'bonjour" + pas de préambule + familiarité + impératifs + jurons. Le personnage est grossier de caractère : il est malhonnête (l. 24 : dîner + l.
Le camp de Grandgousier festoie ; Gargantua conseille aux pèlerins de retrouver leur famille plutôt qu'une vaine croisade ; il libère Toucquedillon (l'aide de camp) qui, considéré comme traitre est tué par son Roi. Gargantua attaque le château de l'assaillant et le Roi fuit à dos d'âne, vers on ne sait où.
Thubal Holoferne, ou Thubal Holopherne, est un personnage du roman de François Rabelais, Gargantua (1534). Il est le premier précepteur du jeune géant. Il représente directement les théologiens de la Sorbonne et sert à critiquer leurs méthodes antiques : étude de textes anciens, lecture des mêmes ouvrages en boucle.
En effet, alors que les fouaciers de Picrochole rencontrent les paysans du fief de Grandgousier, ceux-ci proposent de leur acheter quelques-unes de leurs belles fouaces, dorées et moelleuses. Les fouaciers refusent et s'ensuit une bagarre qui aboutit à une déclaration de guerre par Picrochole à Grandgousier.
« Il y avait dans l'abbaye un jeune moine claustrier nommé Frère Jean des Entommeures, jeune, vaillant, gaillard, joyeux, bien habile, hardi, aventureux, résolu, haut, maigre, la gueule bien fendue, le nez avantageux, beau bâcleur de prières, beau débrideur de messes, beau décrotteur de vigiles, pour tout dire vrai ...
Rabelais s'adresse aux lecteurs malades en tant que médecin (avis aux lecteurs et prologue). Il prétend les guérir par le rire. Le rire a des vertus médicales : il empêche l'homme de sombrer dans la morosité et l'affliction (le chagrin). Cela montre l'optimisme de l'humanisme (première moitié du XVI° siècle).
Rabelais dénonce aussi une croyance naïve et fait la satire de la religion. Il montre l'hypocrisie des croyances auxquelles personne ne croit vraiment : "Sainte Nitouche". Il ironise en utilisant les lieux où il y a le culte de la Vierge : ""de Cunault ! de Laurette ! de Bonnes Nouvelles ! de la Lenou ! de Rivière !"
Lui-même les récitait par cœur et y appliquait des exemples pratiques concernant la condition humaine ; ils poursuivaient quelquefois ce propos pendant deux ou trois heures, mais d'habitude ils s'arrêtaient quand il était complètement habillé. Ensuite, pendant trois bonnes heures, on lui faisait la lecture.
L'énigme vise en effet à égarer le lecteur. Cependant, au début du chapitre, Rabelais, c'est-à-dire le grand dompteur des Cimbres, craint que le lectorat ne s'attaque à l'empire de son œuvre à cause de l'opacité sémantique de ce même chapitre.