Dans l'eau pure à température ambiante, il est possible de solubiliser environ 1800 à 1900 grammes de sucre de table par litre, tandis qu'il est possible de solubiliser environ 350 à 360 grammes de sel de cuisine par litre (environ 5 fois moins).
1ère partie : On remarque que, pour un même volume, la masse de sel est supérieure à la masse de sucre, ou que le sucre est plus léger que le sel. On écrira : m(sel) > m(sucre).
Par exemple, le sel est soluble dans l'eau mais il est insoluble dans l'huile. La solubilité se définit par la masse maximale de soluté que l'on peut dissoudre dans un litre de solvant donné.
Fusion et solution
Le sucre est très soluble dans l'eau : à température ambiante, on peut dissoudre jusqu'à 200 g de sucre dans 100 g d'eau, on obtient ainsi une concentration de 66%. Et plus la température augmente, plus elle « accepte » une grande quantité de sucre !
La solubilité du sel dans l'eau possède une limite, l'eau ne peut pas dissoudre n'importe quelle quantité de sel. Lorsque cette limite est atteinte, on dit que la solution est saturée. Conclusion : Tout composé soluble ne peut se dissoudre dans l'eau qu'en quantité limitée.
Du gros sel pour savoir si on est enceinte
Là encore, rien de plus simple. Il suffit d'uriner dans un verre et d' y ajouter une pincée de gros sel. Après quelques heures, si celui-ci à fondu, c'est que le résultat est positif.
Cependant, le sel ne s'évapore pas avec l'eau, et l'eau dans le verre n'est donc pas salée. C'est pour cela que la pluie est faite d'eau douce non salée, même lorsqu'elle provient de l'eau de mer.
La solubilité dépend de la nature du solvant (polaire ou apolaire), de celle du soluté (polaire ou apolaire) et de la température : la solubilité augmente lorsque la température du solvant augmente.
Pour fondre du sel, et en admettant qu'il s'agisse bien de sel de cuisine (NaCl, chlorure de sodium, halite), il faut le chauffer jusqu'à exactement 801 °C (si on se trouve au bord de la mer, c'est-à-dire à une pression de 1 bar ou 1 atmosphère ou 1 hectopascal).
L'eau est en effet un très bon solvant. Elle dissout un grand nombre de corps ioniques, comme les sels par exemple dont les briques de base sont des ions, ainsi que certaines substances formées de molécules polaires.
Le sucre est le soluté et l'eau est le solvant. Lors d'une dissolution, le soluté se disperse en petites particules, mais ne change pas d'état physique. La fusion est un changement d'état : c'est le passage de l'état solide à liquide. Le sucre s'est donc dissous dans l'eau, il n'a pas fondu.
Lorsqu'on ajoute du sel dans l'eau, les molécules d'eau vont être attirées par les charges du produit et se regrouperont alors autour de lui. Elles s'infiltrent ensuite entre les molécules du composé, ce qui a pour effet de les séparer les unes des autres. On appelle ce phénomène la dissolution2.
Consommé avec excès, il aurait un rôle dans le déclenchement des maladies cardiaques. Eh bien, finalement, le sucre serait pire encore ! Son rôle a longtemps été sous-estimé mais une étude américaine tire la sonnette d'alarme.
L'institution estime que le respect de ces recommandations permettrait d'éviter pas moins de 2,5 millions de décès chaque année. Et pour cause : une consommation excessive de sel renforce le risque d'hypertension artérielle, de cardiopathie ou encore d'accident vasculaire cérébral (AVC).
Cet ajout sert à la prévention du goitre. On l'additionne aussi d'une quantité infime de sucre (0,04 % de dextrose) ou de sucre inverti afin de stabiliser l'iodure de potassium.
Le sel ne se dissous plus lorsque la masse de sel ajouté dépasse 72 g. On observe que quelques cristaux de sel restent au fond de l'erlen malgré l'agitation. Interprétation : La solution d'eau salée est saturée en sel lorsque la masse de sel dissous atteint 72 g pour 200 mL d'eau.
Explication : Le sel au contact de la glace va déranger l'équilibre des molécules d'eau qui s'étaient bien ordonnées quand celle-ci s'est solidifiée à 0°C. Perturbée, la glace va fondre en libérant de l'eau à la même température que les glaçons.
Lorsque l'on répand du sel sur la neige ou la glace, celui-ci se dissout avec l'eau. Cependant, pour se dissoudre dans l'eau, le sel a besoin d'énergie, et va donc puiser la « chaleur » de la glace, qui va alors se refroidir.
La polarité des molécules les rend plus solubles dans l'eau en particulier pour CO2, H2S mais aussi NH3. De plus ces molécules polaires se dissocient facilement dans l'eau et réagissent avec des ions H+ et OH- et se transforment en ions comme HCO3- et CO3= (pour le CO2) ou HS- et S- (pour l'H2S).
Les composés impliquant Si, Al et Fe sont extrèmement peu solubles dans l'eau. Ce sont donc surtout les ions du calcium, sodium et potassium qu'on retrouvent dans l'eau.
Cette loi établie une relation entre la pression partielle pi d'un corps pur gazeux et sa fraction molaire dans un solvant : Cette loi mesure la solubilité d'un gaz dans un solvant liquide avec lequel ce gaz est en contact. H la " constante de Henry " qui dépend de la nature du gaz, de la température, et du liquide.
Une averse, c'est quand il pleut beaucoup, il pleut fort et ça ne dure pas longtemps. Si on dit « ce n'était qu'une averse », ça veut dire il pleut très fort, de façon intense, mais pas longtemps. Ça, c'est une averse, une averse de pluies.
Les grands déserts des côtes orientales des continents, jouxtant les eaux froides et poissonneuses des océans tropicaux (Atacama au Chili et sa prolongation au Pérou ; Sahara mauritanien ; Namibie…), sont des régions du monde où il ne pleut quasiment jamais.
Les bactéries sécrètent ce composé lorsqu'elles produisent des spores. La force de la pluie tombant sur le sol, fait alors s'envoler les spores et l'humidité ambiante amène les composés chimiques jusqu'à nos narines. "L'odeur est très agréable, un peu musquée.