Dans la mythologie grecque, Créon (en grec ancien Κρέων / Kréôn), le fils de Ménécée et frère de Jocaste (la mère et femme d'Œdipe), assure la royauté de Thèbes à trois reprises : après la mort de son beau-frère Laïos, puis après la disgrâce d'Œdipe, second époux de Jocaste, et enfin après la mort d'Étéocle et Polynice ...
Créon devint roi de Thèbes après le meurtre de Laïos par son fils Œdipe. Puis pendant l'exil du roi Œdipe, Créon exerça la régence.
On pourrait dire aussi « justesse », « responsabilité ». C'est bien ce qui fait défaut à Créon comme à Antigone : ils ont perdu tout bon sens, ils sont devenus irresponsables … II. L'altérité d'Antigone, sa sauvagerie, ce qui fait d'elle une « emmerdeuse », c'est qu'elle désobéit.
Corneille est le seul dramaturge à représenter le double crime sur scène, mais Créon se suicide. La magicienne recourt à un poison sélectif dont les effets se limitent au roi et à sa fille.
Kreon est une entreprise internationale, installée en Belgique, qui conçoit et produit des éclairages architecturaux et des systèmes de plafonds métalliques. Kreon incarne le langage du design dans l'architecture contemporaine, une architecture basée sur des angles droits et des lignes.
Les deux fils d'Œdipe, Étéocle et Polynice, se sont entre-tués sous les murs de la ville. Le roi Créon a ordonné de n'enterrer qu'Étéocle, laissant sans sépulture celui qu'il considère comme traître, Polynice (ce qui, selon les Anciens, condamne son âme à errer éternellement).
Elle se fait, malheureusement, prendre par les gardes du roi et donc, c'est désormais au roi de choisir de sa sentence. Finalement, il choisit de la condamner pour sa témérité et pour son manque de respect envers la loi établie par nul autre que lui.
Ce qui a fait dire que « Antigone a tort d'avoir raison tandis que Créon a raison d'avoir tort », que, sur le plan inférieur, celui de la vie réelle, elle a tort, tandis qu'elle a raison sur le plan supérieur, celui de l'idéal.
Dans la mythologie grecque, Eurydice (en grec ancien Εὐρυδίκη / Eurudíkê) est la femme de Créon, le régent de Thèbes. Ils ont trois enfants : Mégara, Ménécée et Hémon. Citée dans l'Antigone de Sophocle et d'Anouilh, elle se suicide après la mort de son fils, Hémon.
Le plus souvent, Créon est interprété comme le type même du tyran : il représente le dirigeant qui applique la loi de façon aveugle, sans tenir compte des circonstances particulières ni de l'avis de son peuple.
Créon est un roi soucieux de ce que le peuple pense de lui, aussi interroge-t-il souvent le chœur. Cependant, quand les nouvelles ne sont pas dans son intérêt, il refuse d'écouter et soupçonne aussitôt un complot. Il apparaît donc comme quelqu'un de très inquiet, quelqu'un qui sentirait son pouvoir fragile.
Lorsque l'on rouvre le tombeau, Antigone s'est pendue avec sa ceinture et Hémon, crachant au visage de son père, s'ouvre le ventre avec son épée. Désespérée par la disparition du fils qu'elle adorait, Eurydice, la femme de Créon, se tranche la gorge.
Mais il n'obtient, en guise de réponse, qu'une étrange sentence : il tuera son père et épousera sa mère. Pour éviter cela, il ne retournera pas à Corinthe mais prendra la route de Thèbes. Sur le chemin, il tue Laïos à un carrefour suite à une dispute concernant une priorité de passage.
Dans la mythologie grecque, Hémon ou Hæmon (en grec ancien Αἵμων / Haímôn), fils de Créon (roi de Thèbes) et d'Eurydice, est un prince thébain.
Elle préfère désobéir aux lois des hommes quand celles-ci sont injustes, que désobéir aux lois des dieux. Elle est alors arrêtée, jugée et enfermée vivante dans le tombeau des Labdacides, destinée à mourir de faim et de soif. Mais plutôt que de se laisser mourir ou même exécuter, Antigone se suicide par pendaison.
Antigone est un personnage solitaire par excellence. Même entourée, elle a toujours été seule. Seule face à sa famille, seule face à la loi, seule face à l'incompréhension, et ici seule face à la peur et à la mort. Cette scène n'existe pas dans la version de Sophocle, elle a été ajoutée par Anouilh.
Arrive alors le prophète Tiresias au début du cinquième épisode pour annoncer à Créon que les dieux condamnent la mise à mort d'Antigone et punissent la cité ; une fois encore la colère gronde et l'échange devient injurieux : "la race des devins est avide d'argent " accuse Créon et Tiresias répond: "et la race des ...
- Pour Créon, le bonheur est fondé sur des petits gestes du quotidien. On notera ainsi l'accumulation « (…) la vie c'est un livre qu'on aime, c'est un enfant qui joue à vos pieds, un outil qu'on tient bien dans sa main, un banc pour se reposer le soir devant sa maison. ».
Antigone se place dans un rapport immédiat avec l'absolu. Elle a la volonté d'être sous la loi des dieux. Elle affirme qu'il n'existe qu'un roi, dieu, contre Créon. Elle revendique la supériorité des lois divines intérieures à la conscience qur les lois humaines qui lui sont extérieures.
Il y a aujourd'hui des Antigone anonymes qui dans les prisons de Turquie s'opposent à la tyrannie du président, qui en France accueillent, et accompagnent les migrants clandestins, alors que la solidarité est considérée comme un délit.
Antigone a pris une décision très courageuse celle d'enterrer son frère malgré le refus du roi Créon. La situation précaire dans la quelle se trouve la jeune fille ne nous laisse pas indifférent car cela peut être le cas de chaque personne.
Pour moi, Antigone préfère mourir car elle rejette la vie et le "bonheur" tels que les évoque Créon, elle refuse les compromissions que semble impliquer la vie d'adulte. Elle préfère la mort en gardant son caractère entier que la vie si elle doit faire preuve de bassesse.
Antigone est née de l'inceste involontaire entre Œdipe, fils de Laïos, et Jocaste, reine de Thèbes. Elle descend directement des dieux Zeus et Poséidon. L'histoire de ses ancêtres, les Labdacides, révèle combien ils sont maudits.
Quelle est son intention ? (1pt) - C'est Créon qui mène le dialogue. Son intention est de sauver Antigone et de la convaincre de renoncer à son geste.
1) Qu'essaie de faire Créon au début du dialogue ? Créon essaie toujours de dissuader Antigone de s'opposer publiquement à ses lois, afin de ne pas avoir à la mettre à mort.