Depuis 2015, Le Parisien est détenu par le groupe LVMH appartenant au milliardaire français Bernard Arnault. Il bénéficie de subventions de la part de l'État français (comme de nombreux journaux français). Depuis plusieurs années, c'est le journal le plus subventionné en France.
Le groupe Les Échos-Le Parisien est une société holding française active dans le domaine des médias et de la publicité. Elle est présidée par Pierre Louette en 2022. Il s'agit d'une filiale de LVMH - Moët Hennessy Louis Vuitton, incluse dans le pôle « presse et médias » du groupe.
Le Parisien et L'Equipe sont désormais imprimés sur les rotatives du groupe Amaury, à Mitry-Mory (Seine-et-Marne) et Aujourd'hui en France est sous-traité au groupe Riccobono à La Courneuve (Seine-Saint-Denis).
Traditionnellement classé au centre-droit, le journal ouvre ses pages à toutes les opinions politiques (interviews, analyses, etc. ). C'est l'un des cinq magazines d'actualité hebdomadaires de dimension nationale en France.
Sa ligne éditoriale, souverainiste, antilibérale et laïque, emprunte à la fois à la gauche et à l'universalisme républicain.
Selon Le Figaro, Valeurs actuelles est tantôt décrit comme « classé à l'extrême droite », « réputé clairement à droite », ou « conservateur ». France Info qualifie le magazine d'extrême droite et également de conservateur.
Sa ligne éditoriale est faite de neutralité politique et de proximité avec son lectorat. À cet égard, il ne doit pas servir les intérêts d'un homme, d'un parti politique, d'un clan ou d'une entreprise. »
En 2004, le Groupe Dassault devient le propriétaire du Figaro, alors dirigé par Nicolas Beytout et Francis Morel.
Le Figaro, d'après son directeur, se considère comme un journal de droite et de centre droit. Le journal est le point de jonction de plusieurs grands courants d'idées ancrés à droite ou au centre droit. Il s'agit principalement du libéralisme classique ou l'éclectisme libéral jumelé avec un conservatisme social.
L'émission est tournée sur le plateau 3 des Studios Rive Gauche d'AMP Visual, plateau précédemment occupé par Nulle part ailleurs puis Le Grand Journal.
De ses débuts situés à l'extrême gauche, Libération évolue vers la gauche socialiste à la fin des années 1970 sous l'impulsion de Serge July, puis vers une ligne éditoriale présentée comme étant « libéral-libertaire » progressiste.
Dans un article consacré à la chaîne en 2014, la BBC analyse le positionnement de BFM TV comme étant « favorable aux affaires, à la réforme, et opposé au vieux consensus ».
Sa ligne éditoriale est parfois présentée comme étant de centre gauche, affirmation récusée par le journal lui-même, qui revendique un traitement non partisan.
Selon d'anciens journalistes de France-Soir et le fondateur de Conspiracy Watch, Rudy Reischtadt, la ligne éditoriale complotiste et « covido-sceptique » de FranceSoir n'a pas de visée politique mais est la seule conséquence d'un calcul « opportuniste » de son fondateur Xavier Azalbert.
La neutralité du traitement de l'information est une des valeurs fondatrices du journal qui revendique le fait de ne pas être partisan ou un journal d'opinion. La rédaction de 20 Minutes est engagée dans une démarche de fact checking et de lutte contre les fausses informations, notamment via sa rubrique « Fake Off ».
Politiquement indépendant, il est souvent proche des idées du centre gauche.
Radio : La tendance politique des auditeurs de France Inter est fortement ancrée à gauche, tandis que celle des auditeurs de RTL, d'Europe 1 et de BFM Business est orientée à droite. À noter, la forte proportion d'auditeurs d'NRJ ayant voté Front National lors du 1er tour des élections (33 %).
D'après le mensuel CQFD, la radio diffuse des « discours identitaires féroces » et banalise les idées d'extrême droite : André Bercoff, noyau dur de la radio et « collaborateur des sites fachosphériques », « distille à longueur d'ondes les thèses favorites de l'extrême droite ».
La répartition du financement est la suivante : 4,4 millions de réserves ; nouvel emprunt de 5,5 millions d'euros sur 8,5 ans ; don du montant des actions de Jean-Louis Bouchard pour un million d'euros ; un crédit vendeur de Doxa (Thierry Wilhelm) pour 2,5 millions d'euros ; ainsi qu'un autre crédit vendeur des quatre ...