Le sacrificateur (ou prêtre) offrait des dons et des sacrifices à Dieu. Au temps des patriarches, cette tâche revenait au chef de famille, et même aux membres de la famille comme on le voit dans le tout premier récit de sacrifice, celui de Caïn et d'Abel.
(Religion) Celui qui sacrifie, ministre préposé pour faire les sacrifices, en parlant des religions qui pratiquent des sacrifices. Les sacrificateurs s'emparèrent de la victime.
Le souverain sacrificateur était le représentant du peuple devant Dieu et le chef spirituel du peuple (cf. Act. 23:5). Les institutions de la loi nous présentent de nombreux types de Christ et des réalités du christianisme.
Les sacrificateurs représentent les enfants de Dieu qui sont habitués à se tenir dans la présence de Dieu, dans sa sainte présence, et dont la mission la plus noble est l'adoration. (Jean 4 v 21 et Hébreux 13 v 15, 1 Pierre 2 v 5, Apoc 1 v 5).
Dans le Nouveau Testament, Caïphe est le souverain sacrificateur devant lequel Jésus est conduit après son arrestation (Matthieu 26:57). D'après les Évangiles, Caïphe estimait que Jésus mettait la nation juive en danger : « Il est préférable qu'un homme meure plutôt que la nation tout entière » argumente-t-il.
Au cinquième chapitre l'auteur présente Aaron, le frère de Moïse, qui était le premier souverain sacrificateur. S'il veut le comparer à Jésus, il doit décrire qui était Aaron et ce qu'il a fait.
|| Principal sacrificateur qui devait exercer la sacrificature jusqu'à sa mort (voir Nombres 35.
Les enfants de Lévi devinrent la tribu des sacrificateurs. Aaron, le premier souverain sacrificateur, était un Lévite ; la position de souverain sacrificateur passait de fils aîné en fils aîné. Les autres descendants d'Aaron étaient les sacrificateurs. Tous les autres descendants de Lévi secondaient les sacrificateurs.
— L'ordre de leur application est uniformément opposé à celui de leur institution. Il y a quatre grandes classes d'offrandes : 1° l'holocauste ; 2° l'offrande du gâteau ; 3° le sacrifice de prospérité ; 4° le sacrifice pour le péché.
Les Lévites ont joué un rôle fondamental notamment sous le règne des différents rois d'Israël : - Sous le roi Salomon, les lévites occupaient les hautes fonctions de service au temple, l'enseignement de la loi ainsi que des fonctions administratives.
Le sacrifice a, en définitive, pour fonction de permettre que cette vie continue à s'en écouler en faisant obstacle à tout ce qui l'entrave et en s'efforçant de faire en sorte que Dieu reste présent au milieu de son peuple.
Le signe de cette alliance est donné, non seulement par la naissance extraordinaire, mais aussi, et surtout, par le sacrifice de son fils unique, Isaac, que Dieu demande à Abraham. Le sacrifié est sauvé en dernier lieu en le remplaçant par un bélier céleste.
Par l'autorité de la Prêtrise de Melchisédek, les dirigeants de l'Église la guident et dirigent la proclamation de l'Évangile dans le monde entier. Dans les ordonnances de la Prêtrise de Melchisédek, « le pouvoir de la divinité se manifeste » (D&A 84:20).
Il est notre offrande parfaite. Le sacrifice de Jésus par la croix, est «La preuve que Dieu nous aime» (Rm5,8) Le sacrifice de Jésus est la manifestation par excellence de la grâce de Dieu «Il a été transpercé à cause de nos péchés, écrasé à cause de nos crimes.
Pour la tradition juive ancienne, Abraham ne doutait pas que Dieu, qui ressuscite les morts, fût capable de rendre la vie à son fils lorsqu'il se disposait à le sacrifier. Sauvé de la mort « le troisième jour », Isaac apparaît comme la figure du ressuscité.
Le don prend alors la forme de commerce – ce mot signifiant quant à lui, originellement, toute forme d'échange de "bons procédés". Dans l'Ancien Testament, le sacrifice d'un animal est lié à l'expiation des péchés (comme l'indique l'épître aux Hébreux), mais scelle également l'Alliance entre Dieu et son Peuple.
sacrifiée. Personne qui se sacrifie pour les autres.
Le sacrifice est l'action sacrée par excellence. Il déploie la variété de ses formes entre l'offrande, qui en est le plus bas degré, et le martyre, où le sacrifiant s'offre lui-même comme victime.
Le chantre tire son origine des lévites qui avaient la responsabilité de chanter et jouer de la musique dans le temple. Sous le règne du roi David, quatre mille chantres, dirigés par des chefs et des présidents, chantaient les louanges du Seigneur dans le Temple de Jérusalem. Les 150 Psaumes en gardent la mémoire.
masc. A. − ,,Fonction de ceux qui ont le privilège du sacré ou de certains rapports publics avec la divinité, soit pour offrir les sacrifices et prier au nom du peuple, soit pour transmettre au peuple certains enseignements et bénédictions de Dieu`` (Foi t. 1 1968).
1Le sacerdoce lévitique et aaronique sert de point de référence à l'Épître aux Hébreux pour déterminer le sacerdoce du Christ, ainsi que d'analogie pour certains Pères de l'Église dans leur réflexion sur les ministres chrétiens [1] -M. Tillard, « La “qualité sacerdotale” du ministère….
JÉSUS ou JÉSUS-CHRIST.
RELIG. Dignité, fonction de sacrificateur.
Définition. Le royaume de Dieu, c'est le règne de Dieu sur son peuple au sein du monde qu'il a créé. Ce royaume est établi par le Messie dans le cadre de la nouvelle alliance, qui est actuellement en vigueur dans le monde, même si elle ne sera pleinement réalisée qu'au moment de la seconde venue de Christ.
Le sacrificateur (ou prêtre) offrait des dons et des sacrifices à Dieu. Au temps des patriarches, cette tâche revenait au chef de famille, et même aux membres de la famille comme on le voit dans le tout premier récit de sacrifice, celui de Caïn et d'Abel.