La fermentation est un processus naturel, provoquée par trois formes d'organismes : les bactéries, les levures ou les moisissures qui grosso modo se goinfrent de glucides pour les transformer en d'autres atouts : acide, alcool, gaz carbonique… qui nous intéressent, nous homo sapiens.
La fermentation est provoquée par des micro-organismes de forme très diverses, qui peuvent être bactéries, levures ou moisissures.
Les ferments utilisés sont de trois types, les bactéries, les moisissures et les levures. Chacun de ces microorganismes possèdent des capacités fermentaires spécifiques menant à des fermentations différentes : lactique, alcoolique, acétique, propionique.
La fermentation lactique produite par des bactéries dans les aliments, est à distinguer de la production anaérobie d'acide lactique par le muscle au cours d'un effort intense (voir Acide lactique#Effort musculaire et fermentation lactique).
La levure responsable de la fermentation alcoolique est Saccharomyces cerevisiae. Sous son nom de dieu égyptien, se cache un micro-organisme, une levure particulière parmi tous les ferments, levains et levures utilisés depuis la haute Antiquité.
Elle a lieu chez des levures et des bactéries, ainsi que dans les cellules musculaires manquant d'oxygène, c'est-à-dire en conditions anaérobies.
La fermentation est l'étape qui consiste à transformer les sucres formés lors du brassage en alcool. Cette étape est composée de 3 sous étapes : La multiplication cellulaire, la fermentation principale et la garde ou fermentation secondaire.
Les probiotiques et les ferments lactiques sont des micro-organismes vivants naturellement présents dans l'organisme. Les ferments lactiques, aussi appelés probiotiques, sont des micro-organismes consommés depuis la nuit des temps à travers certains aliments fermentés (yaourt, fromage, choucroute, etc.).
La LEVURE est à l'origine de la fermentation naturelle, ce phénomène magique qui permet de transformer une boule de pâte dense en miche de pain parfaitement levée. Ce qui rend la LEVURE si spéciale, c'est sa capacité à prendre des ingrédients bruts pour les transformer en véritable bouillon de vie !
Pour le faire, on utilise des « grains de kéfir, » un mélange de levures et de bactéries vivant en symbiose. Le lactose contenu dans le lait est transformé par les bactéries en acide lactique, par fermentation lactique, puis par les levures en éthanol par fermentation alcoolique.
des laits fermentés. Elle correspond à la transformation du lactose du lait en acide lactique, sous l'action de micro-organismes spécifiques appelés bactéries lactiques. Elle s'accompagne de modifications biochimiques, physico-chimiques et sensorielles du produit.
La fermentation est l'une des techniques clés de la transformation du lait en produits laitiers : grâce à des réactions biochimiques naturelles des bactéries lactiques et de leurs enzymes, elle confère de nouvelles propriétés au lait qui devient yaourt, lait fermenté, fromage, crème ou encore beurre.
Transformation que subissent certaines matières organiques sous l'action d'enzymes sécrétées par des micro-organismes. (La fermentation des sucres sous l'influence des levures donne de l'alcool.) 2. Pourriture, décomposition enzymatique de la matière organique.
Les aliments fermentés renforcent le système immunitaire. Les aliments fermentés aident à réduire les fringales de sucre et d'autres aliments hautement transformés. D'ailleurs, l'ajout d'aliments fermentés à l'alimentation quotidienne permet de réduire, voire d'éliminer complètement les rages de sucre!
La respiration qui correspond à l'oxydation complète de molécules telles le glucose. La fermentation en absence d'oxygène permet d'oxyder des molécules organiques pour produire de l'énergie.
La présure est un coagulant qui permet de transformer le lait en fromage en le faisant cailler. La présure provient du quatrième estomac (la caillette) des vaches et autres jeunes ruminants : c'est un coagulant du lait composé d'enzymes actives, la chymosine et la pepsine.
Depuis des générations, les ferments lactiques sont utilisés pour transformer la texture, le goût, les propriétés nutritionnelles et le temps de conservation d'un produit.
En biologie et en sciences agroalimentaires, un ferment est un terme générique désignant un micro-organisme responsable d'une fermentation et pouvant servir à ensemencer certains substrats afin de les modifier (pour des raisons alimentaires ou industrielles).
Fermentation et sucres résiduels
Il existe en viticulture une règle de base : après fermentation, 17 grammes de sucre produisent un degré d'alcool. Ce sont les micro-organismes comme les levures qui, en consommant ces sucres, les transforment intégralement en éthanol.
Il s'agit d'une réaction chimique naturelle (biochimique) obtenue grâce aux micro-organismes (bactéries, moisissures, champignons) et aux levures qui grâce à leur enzyme, la zymase, décomposent les jus de fruits naturels en éthanol et en bulles de gaz carbonique.
Les Babyloniens (5 000 ans avant J.C.) le fabriquait à partir du vin de palme.
Ce sont essentiellement des bactéries lactiques et des levures sauvages, en général différentes de la levure de boulanger Saccharomyces cerevisiae, qui elle est un produit commercial cultivée industriellement.
La question de la température de fermentation est cruciale : à moins de 10°C, les levures n'agissent que peu ou pas, et à plus de 45°C, elles meurent. Dans l'un ou l'autre cas, la fermentation est stoppée. Mais ces températures agissent également sur les saveurs, les arômes et la couleur du futur vin.
La principale méthode pour stopper la fermentation est le MUTAGE. En quoi cela consiste t-il ? Et bien, en 2 mots, il s'agit d'ajouter de l'alcool (à 70% ou 90%) dans le vin en fermentation… ce qui inhibe le travail des levures.