En France, une petite trentaine de monastères de sœurs - il n'y a que des religieuses - vivent de la fabrication de ces pastilles rondes qui servent pour le sacrement de la communion. Ces couvents aujourd'hui tirent la langue car les ventes chutent.
Les hosties ne sont composées que de deux ingrédients, de l'eau et de la farine, mais derrière se cache un long processus de fabrication. Après le pétrissage, il faut cuire la pâte dans un four pour la transformer en longues plaques croquantes. « Les pains d'autel peuvent être de deux couleurs : blanche ou dorée.
Blauvac 20 % des hosties françaises sont fabriquées dans une abbaye du Vaucluse.
Les fidèles sont donc autorisés à communier chaque fois qu'on célèbre l'Eucharistie. En 1910, ce même pape a demandé que tous les enfants s'approchent de la table sainte, mais sous conditions.
A quel âge l'enfant baptisé découvre l'hostie ? Le jeune pratiquant fait sa communion entre « 8 et 10 ans », « au bout de 2 à 3 ans de catéchisme ». La profession de foi (qui n'est pas un sacrement) a lieu, elle, quand le fidèle est en « 6e-5e », vers 11-12 ans.
La doctrine de l'Eglise catholique interdit en effet l'accès aux sacrements comme la communion ou la confession aux divorcés remariés, estimant que leur nouvelle union est une trahison devant Dieu de leur premier -- et unique -- conjoint.
La première communion des 7-8 ans est alors parfois appelée « petite communion » tandis que la communion solennelle des 10-12 ans est appelée « grande communion ». Ainsi, Quel âge pour la communion ?
Savez-vous qu'à tout âge on peut faire sa Première Communion ? On peut faire sa Première Communion à 5 ans ou 95 ans! Quand on a pris le temps de mieux connaître Jésus, que l'on a envie de vivre avec Lui.
« La communion sacramentelle peut ne pas être possible pendant un très long intervalle à cause des différentes infirmités que Dieu envoie à sa créature pour l'éprouver, mais cette privation, lorsqu'elle ne dépend pas de nous, n'empêche pas la sainteté.
La « communion » désigne la commémoration et le renouvellement du repas (Cène, ou banquet) que Jésus a partagé avec ses disciples à Pâques. Pour l'Église catholique, c'est au cours de ce repas que Jésus a institué le sacrement de l'Eucharistie qui commémore sa mort et sa Résurrection, et qui présage du banquet céleste.
Comment sont-ils devenus ronds ? Cela reste un mystère pour sœur Sabine, du monastère Sainte-Claire de Cormontreuil (Marne), qui rappelle toutefois que durant une partie du Moyen Age, les hosties ont été confectionnées par les oubloyeurs, des fabricants d'oublies, un biscuit rond très répandu à l'époque.
Une mince couche de pâte est chauffée entre deux plaques brûlantes et pressée à plus de 700 livres dans un four rotatif. Les feuilles cuites, semblables à une feuille de papier parchemin, sont ensuite humidifiées, puis perforées, pour fournir à la fois les retailles et les «rondelles savoureuses».
Il est possible de se procurer des retailles directement à l'accueil des monastères où on les fabrique, explique l'animatrice, mais on en trouve aussi fréquemment dans les commerces d'alimentation. Or, ces retailles d'hosties ne sont que des répliques, nous apprend l'animatrice.
« Quand tu t'approches, ne t'avance pas les paumes des mains étendues, ni les doigts disjoints ; mais fait de ta main gauche un trône pour ta main droite, puisque celle-ci doit recevoir le Roi, et dans le creux de ta main, reçois le corps du Christ, en disant « Amen ».
Pain eucharistique après la consécration. (Le mot latin [hostia] désigne la victime sacrifiée, en particulier le Christ dans le sacrifice eucharistique.) 2. Pain destiné au sacrifice eucharistique.
Le goût étrange de la première hostie qu'il a dégustée est resté dans sa mémoire : “Elle asséchait un peu le palais, mais elle était croquante et goûteuse.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
Le déroulement est le même qu'une messe d'enterrement, mais il n'y a pas d'eucharistie. La cérémonie est donc plus courte, mais cela ne retire rien à la solennité ou à l'importance de la célébration.
- Le péché véniel est une désobéissance légère à la loi divine par laquelle on ne manque que légèrement à quelque devoir envers Dieu, envers le prochain, et envers soi-même.
Une préparation à la première communion se fera dans le cadre de la catéchèse : L'enfant ou le jeune sera accompagné pour mieux connaitre le Christ et découvrir une première approche de la messe. La Confirmation parfait la grâce baptismale ; elle est le sacrement du don de l'Esprit Saint.
Le jeûne eucharistique est une pratique des Églises catholique et orthodoxe consistant à s'abstenir de nourriture dans le temps qui précède la participation à la messe, par respect pour la communion au Corps du Christ qui a lieu vers la fin de la cérémonie.
La manipulation de l'hostie peut prendre, quant à elle, deux formes codifiées : soit le prêtre dépose l'hostie directement sur la langue du communiant (ce qu'on appelle « communier dans la bouche »), soit il la met dans l'une des mains du communiant qui la porte ensuite lui-même à sa bouche (« communier dans la main ») ...
Le baptême est le sacrement de la naissance : l'Esprit saint introduit à la vie chrétienne. La confirmation est le sacrement de la croissance et de la maturité spirituelle : l'Esprit saint confère une mission au sein de l'Église au service du monde. La confirmation est l'achèvement du baptême.
La première communion désigne la première fois qu'une personne communie au cours de la célébration de l'Eucharistie (ou messe), recevant ainsi le corps et le sang du Christ. Elle fait partie des trois Sacrements de l'initiation chrétienne, avec le baptême et la confirmation.
La communion solennelle ou profession de foi ou grande communion est une cérémonie catholique qui s'adresse aux jeunes d'environ douze ans. La cérémonie peut se décomposer en une communion et un renouvellement des promesses de baptême appelé « profession de foi ».