Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Qui ou qu'il ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle. La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable.
On peut le conjuguer à tous les temps (il faut, il a fallu, il faudra, il faudrait, etc.) Il peut être suivi d'un verbe à l'infinitif ou bien d'une proposition subordonnée introduite par que dont le verbe principal est conjugué au subjonctif.
On emploiera «qui» avec des verbes personnels «qu'il» avec des verbes impersonnels. Je me demande ce qui te prend ! J'ai préparé ce qu'il faut pour mon voyage. Certains verbes sont employés aussi bien de façon personnelle qu'impersonnelle.
Dans la langue soignée, il vaut mieux éviter l'expression « qu'est-ce qui (ou qu'il) ». Grevisse, dans le Bon usage, précise : « Qu'est-ce qui est remplacé par ce qui », en donnant l'exemple suivant : « Qu'est-ce qui se passe —> Dites-moi ce qui se passe ».
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
Qui est un pronom relatif sujet, qu' (=que) est ici le pronom relatif COD. C'est pourquoi la seconde proposition me semble la bonne. Le temps qu'il te reste = Le temps « que il » te reste (=>Il te reste du temps). Dans la tournure impersonnelle, il est sujet du verbe reste et que (= le temps) est COD du verbe.
« Qu'est-ce qui te ferait plaisir pour Noël? » Quelle chose te ferait plaisir pour Noël ? Il est donc conjugué à la troisième personne du singulier : Qu'est-ce qui te ferait plaisir pour Noël ?
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
Exemples : Il faudrait le dire. Il ne faut pas me le dire. Il faudra en donner un peu.
Qui remplace un nom sujet. Exemple : Il attend son ami qui rentre de Toulouse. Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive. Quant à la tournure à préférer avec ce verbe, c'est surtout une question de gout, de sensibilité.
INVARIABLE : "Je ne sais pas ce qui m'a pris de…" Le participe est invariable dans cette expression; le pronom réfléchi est complément d'objet indirect. On dira donc "Je ne sais pas ce qui LUI a pris" et non "ce qui l'a, les a pris ou prise(s)". Tu m'as prise, la main dans le sac de patches.....
Exemple 1--> Les personnes QUI l'avaient connu sont attristées par son départ. --> = les personnes qui avaient connu l' (= Pierre). Exemple 2--> Les personnes QU'Il avait connues ont quitté le village. --> = les personnes que l' (= Pierre) avait connues.
Dans la phrase il t'attend , le verbe attendre est conjugué au présent et son sujet est il , troisième personne du singulier. Dans ce cas, le verbe ne prend pas la terminaison s . On conjugue j'attends , tu attends , il attend : comme on le voit, il n'y a qu'avec je et tu qu'on met un s .
Cette phrase se dit quand on retrouve une personne dont l'absence a duré trop longtemps et a provoqué un manque. Dans ce cas, peu importe qu'on s'adresse à un homme ou à une femme : manqué reste invariable et s'écrit toujours avec é .
On peut répondre : "Moi aussi" même si c'est pas vrai et c'est bâteau.. Mais si c'est pas vrai on n'a rien envie de répondre comme à plein d'autres petites phrases très gentilles qui semblent montrer que la personne est "un peu amoureuse" mais si ce n'est pas réciproque tu ne vas rien répondre et glisser…
Déplace toi vers le bas du message si je te manque ... c'est gentil de ta part ... tellement gentil ... Vraiment très gentil ... Tu peux arrêter, maintenant ... Je te manque vraiment ... et tu me manques vraiment, toi aussi !
Laissez de l'espace à l'autre. Pour manquer à une personne, il faut que vous ameniez l'autre personne à ressentir ce sentiment. Faites en sorte d'être distante de la personne pendant quelque temps. Que vous soyez proche ou non de la personne n'est pas important.