Rodrigue, qui l'eût cru ? Rodrigue, qui l'eût cru ?
se dit d'une personne très prétentieuse, qui manque ... n.
Qui aurait cru qu'un jour, en frappant à ta porte, En laissant derrière moi des souvenirs éteint, Je ne pouvais penser quand t'aimant de la sorte, J'allais me retrouver face à mon destin...
Il faut mettre l'accent circonflexe. Il s'agit d'un conditionnel passé, qui peut aussi s'écrire (et se dire) : qui l'aurait cru. Qui l'eut cru, sans accent, correspondrait, dans un récit au présent, à un passé composé : qui l'a cru.
Rodrigue demande à Chimène de le tuer (vers 870 ; 899;934 ) Rodrigue justifie son acte au nom de son honneur (venger l'honneur de son père) et de son amour (il lui fallait sauvegarder l'estime de Chimène.)
Une fin heureuse. Bien que la pièce soit une tragédie, elle se clôt avec la possibilité du mariage entre Chimène et Rodrigue. Ainsi, la fin est heureuse, les héros ne meurent pas et ne sont pas condamnés à vivre loin de l'autre.
Don Sanche : Amoureux de Chimène, il devient son amant lorsqu'elle se sépare de Rodrigue et se porte volontaire pour venger la mort de Don Gomès. Elvire : Elle est la gouvernante et la confidente de Chimène.
Il faut écrire eut et fut, sans accent quand on peut dire au pluriel : eurent et furent. ex : Quand il eut fini son travail, il partit. ( quand ils eurent fini....) Il faut écrire eût et fût avec accent quand on peut dire au pluriel : eussent ou fussent.
« J'ai cru » est la conjugaison correcte du verbe « croire » à la première personne du singulier au passé composé de l'indicatif. En effet, le participe passé de ce verbe du 3e groupe est « cru », et non « crue ».
Si le mot est devant un verbe, changez-le par cela. Si cela est possible, vous écrivez ce. Sinon, c'est se que vous devez utiliser. Si le mot n'est pas devant un verbe, vous devez écrire ce.
Eut est la forme conjuguée du verbe avoir à la troisième personne du singulier au passé simple. Exemples : Il eut si mal qu'il craignit un instant de s'évanouir.
Règle 2 : On écrit « où » avec un accent pour parler d'un lieu ou une situation géographique. Exemple : Où veux-tu aller ? (on ne peut pas dire « ou bien veux-tu aller »).
1. Qui n'est pas cuit : Légumes crus. 2. Se dit d'une lumière, d'une couleur que rien n'atténue ; violent, brutal : L'éclairage cru d'un projecteur.
adjectif, adverbe et nom masculin. (aliment) Qui n'est pas cuit. Légumes qui se mangent crus. ➙ crudité.
"Cru" adjectif = qui n'est pas cuit : des "légumes crus, de la viande crue". "Crû" participe passé de "croître" : "l'herbe a crû". "Crue" nom féminin = hautes eaux.
Nom commun 1. Ce qui n'est pas cuit. Le cru et le cuit.
Réaliste, libre, voire choquant et inconvenant.
au travail, on l'entend tellement souvent qu'elle a même presque fini par s'imposer à l'écrit. Ils croivent (ou croiver) fait partie de ces expressions erronées que l'on voit tant qu'elles nous paraîtraient presque correctes à la longue. Presque… Car, ils croivent reste bel et bien faux en français.
"Il eut été" est au passé Antérieur à la 3ème personne du singulier. "Il aurait été" est au conditionnelle présent à la 3ème personne du singulier. Ex: il aurait été président des États-Unis, si il était aimer.
→ Verbe être au passé simple dont la forme au pluriel est furent.
Locution adjectivale
Passé ou au conditionnel de quel qu'il soit.
Acte II. Si don Gomes, en giflant don Diègue, provoque l'ire du roi, il n'en a cure. Il ne s'effraie pas non plus de Rodrigue qui vient le rencontrer pour venger son père. Le duel n'est pas représenté sur la scène, mais le spectateur connaîtra à la fin de l'acte son issue : Rodrigue a tué le comte de Gormas.
Qui Chimène espère-t-elle épouser (acte I) ? ? Don Rodrigue.
Méconnu en France, où son nom n'évoque guère que la pièce que Corneille lui consacra en 1637, le guerrier castillan Rodrigo Diaz de Vivar, surnommé le Cid* par déformation du mot arabe sayyid , signifiant « seigneur », a donné lieu dans son pays, au cours des siècles, à l'élaboration d'un véritable mythe.