Au subjonctif présent, les terminaisons sont régulières, ce sont les mêmes pour tous les verbes (à quelques exceptions près). Au singulier, ces terminaisons sont -e , -es , -e . Pour le verbe faire , ça donne : que je fasse , que tu fasses , qu'il fasse . C'est la raison pour laquelle on écrit tu me fasses avec un s .
Ici, « moi » peut être remplacé par le pronom « je », donc le verbe « faire » s'accorde avec ce pronom personnel. C'est pour cela qu'on écrit « c'est moi qui fais » ou « je fais », c'est-à-que c'est la forme conjuguée du verbe « faire » à la 1ère personne du présent.
On trouve ce sens dans l'expression invariable face à face. Ce fut un face à face des plus plaisants. - Fasse est le verbe faire au subjonctif présent, à la 1re ou 3e personne du singulier.
Donc « faire » s'accorde avec « moi ». Cela donne « moi qui fais », car « moi » est l'équivalent de « je ». Or, au présent de l'indicatif, on écrit « je fais ». Astuce : il suffit de prendre un verbe dont la sonorité des 1re et 3e personnes varie.
Par conséquent, le verbe avoir doit se conjuguer à la 1re personne du singulier du présent de l'indicatif, ce qui donne "ai". Bien sûr, la même règle s'applique quel que soit le sujet : "toi qui as", "lui qui a", etc.
Ainsi, si m' désigne un homme, l'accord se fait au masculin et on écrit aidé . Si m' désigne une femme, on accorde aidée au féminin, donc en ajoutant un e à la fin : elles m'ont aidée .
« Ait » et « est » se prononcent de la même façon, ce qui peut occasionner des erreurs regrettables. Rappelez-vous que « ait » est une forme du verbe « avoir », et « est » une forme du verbe « être ». Remplacez le mot qui pose problème (« ait » ou « est ») par « était », autre forme du verbe « être ».
Dans les tournures impersonnelles
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Phrase correcte. Faux. Il faut écrire : Inclus dans votre colis, un échantillon du nouveau parfum à la mode. Le participe passé du verbe « inclure » est « inclus », avec un « s », et non « inclu ».
le participe passé "fait", employé avec le verbe AVOIR, s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici:" qu'", mis pour proposition, est le COD du verbe faire. il faut donc écrire ce participe passé au féminin singulier,(comme proposition, F,S), soit FAITE.
a) [En parlant d'une pers.] Se transformer naturellement ou volontairement dans le sens de l'accomplissement de son être (au physique ou au moral).
Forme de verbe
Première personne du singulier du présent du subjonctif de faire. Troisième personne du singulier du présent du subjonctif de faire.
Pour le verbe faire , ça donne : que je fasse , que tu fasses , qu'il fasse . C'est la raison pour laquelle on écrit tu me fasses avec un s .
L'expression « quel que soit » est synonyme de « peu importe », qui est en deux mots. On retient donc que c'est « quel que » en deux mots qui est correct dans « quel que soit ». « Peu importe sa volonté, il ne finira jamais à temps. ».
Locution conjonctive
Dans l'éventualité où ; à supposer que.
La bonne orthographe est « incluse ».
De même, on écrit « quels que soient les obstacles, nous les surmonterons » et non « quelques soient les obstacles », car « quels que » peut être remplacé par « peu importe » et est suivi du verbe « être » au subjonctif.
Qu'il soit adjectif ou participe passé du verbe inclure, « inclus » se termine toujours par un s au masculin singulier et pluriel. Au féminin, on écrira incluse (singulier), incluses (pluriel).
Senior Member. jonasbabiak said: On dit "Qu'est-ce qui manque" (ou alors: Que manque-t-il?) Certains français font la faute, mais seul le "qui" est valable.
«C'est ce qu'il me reste» ou «C'est ce qui me reste»? Une règle très simple nous permettra de mettre fin à nos sempiternelles tergiversations. «Qui est le sujet du verbe construit personnellement», indique l'Académie française dans sa rubrique Dire/Ne pas dire . Exemple: «Je ne sais pas ce qui m'a pris.»
« Fais ce qui te plaît » : fais ce qui te donne ou te donnera du plaisir. En revanche, « Fais ce qu'il te plaît » sous-entend l'infinitif du verbe précédent : Fais ce qu'il te plaît de faire. Mais dans les deux cas on veut dire : Fais ce que tu voudras.
Dans pour que tu aies , aies s'écrit avec un e et un s . Cette terminaison -es , c'est celle du subjonctif présent, avec le sujet tu . On emploie cette tournure dans des phrases comme : pour que tu aies le temps , pour que tu aies l'info , pour que tu l'aies en tête , pour que tu n'aies pas froid .
On n'écrit pas elles ont étés , car comme on l'a dit ce participe passé est invariable. De plus attention de ne pas confondre les conjugaisons qui se prononcent pareil mais s'écrivent différemment : la graphie elles ont étaient est incorrecte.
Il est complètement invariable, et ne s'accorde jamais avec le sujet qu'il accompagne. Par exemple : "il avait été invité à la fête" ne deviendra jamais "nous avions étions invités à la fête", mais bien sûr "nous avions été invités à la fête".