N'en pouvoir mais signifie « ne rien y pouvoir », en parlant de quelque chose de problématique et de sa cause. Je n'en peux mais est donc synonyme de je n'y peux rien : cette formule indique qu'on n'est pas à l'origine du problème.
Locution adverbiale
(Désuet) (Familier) N'avoir contribué en aucune manière à quelque chose de fâcheux, à un malheur, n'en être pas cause. (Vieilli) N'en plus pouvoir, ne plus être capable.
Ne plus en pouvoir davantage, être impuissant.
Lorsqu'une personne s'interroge en prononçant le mot "Quoi ?", l'enfant rétorque "Coubeh", ce qui donne ce nouveau mot "Quoicoubeh".
Permet d'opposer deux termes ou deux membres de phrase pour introduire une restriction, une objection, une explication, ou pour marquer un renchérissement sur ce qui vient d'être dit. Je le connais, mais peu. Je viendrai, mais plus tard.
Synonyme : néanmoins, seulement, toutefois.
Le mot Psartek, peut aussi s'écrire bsartek, psahtek et sartek. Il signifie bravo, félicitations, bien joué, Les ados l'utilisent pour féliciter quelqu'un qui a réussi quelque chose, pour faire un compliment à quelqu'un. Par exemple : « Psartek, tu as eu ton Bac ! ».
Ces mots ont envahi les cours de récréations pourtant, ils n'ont pas de signification ! Il s'agit d'un nouveau défi, un jeu de langage, venu de TikTok, et qui fait un carton chez les jeunes. « Quoicoubeh » est une expression qu'on lance à quelqu'un qui vient de dire « quoi ? ».
Interjection. (Par plaisanterie) Expression n'ayant aucune signification, utilisée en réponse à la question « hein ? ».
1. une opposition, une précision, une correction par rapport à ce qui a été énoncé : Il est intelligent, mais paresseux. 2. une objection : Mais pourtant vous m'aviez promis de venir.
La conjonction mais
On écrit avec un s final la conjonction qui marque l'opposition. Je l'ai appelé, mais cela ne répondait pas chez lui.
mi-. Préfixe (du latin medius) exprimant la moitié, le milieu, un état intermédiaire.
Conjonction qui sert généralement à marquer une opposition, une exception, une différence. S'emploie aussi pour rendre raison de quelque chose dont on veut s'excuser. Il est vrai, je l'ai mal reçu, mais j'avais mes raisons pour cela.
Conjonction : mais - traduisant une idée contraire =>ex: J'aime mon chien, mais je préfère mon chat.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif. Exemple : Prends ton sac, au cas où.
Ce terme se prononce "chè" par les ados. Selon Cyriel, ce mot est utilisé pour faire comprendre à une personne qu'elle n'a que ce qu'elle mérite, que ce qui lui arrive est bien fait. "Tu as fait le malin, cheh" peut se traduire par "Tu as fait le malin ! C'est bien fait pour toi !".
Le mot wesh est un mot d'argot utilisé par les jeunes, il a beaucoup d'emplois différents. Il est dérivé de l'arabe algérien "Wech rak" qui se traduit par "Comment ça va ?". Wesh s'emploie également comme terme de salutation en France.
Le mot Slay vient de l'anglais qui se traduit par "Tuer quelqu'un". Aujourd'hui, la signification a évolué pour désigner quelqu'un ou quelque chose qui étonne, qui laisse sans voix.
Exemple : "Fais belek, tu vas tomber ! " "Belek" vient de l'arabe : attention, il s'agit le plus souvent d'un conseil amical pour prévenir quelqu'un d'un danger potentiel. Traduction : Fais gaffe !
(Populaire) Renforcement du caractère impérieux d'une déclaration, sans référence au divin.
Étymologie. De l'arabe بِسْمِ اللّٰه , Bismillāh (« au nom de Dieu »).
Certains mots se prononcent (homophones) ou s'écrivent (homographes) de la même manière, mais n'ont pas le même sens : ce sont des homonymes. Les mots "comte", "conte" et "compte" sont des homophones de sens différents.
C'est mieux ainsi, c'est bien comme ça.
Un mot polysémique trouve son sens dans le contexte donné par les autres mots qui l'entourent. On récolte le café. Le mot récolte précise que café fait référence aux grains.