Les réparations plus importantes ou le remplacement de la chaudière sont en principe à payer par le propriétaire.
Si une panne surgit soudainement, comme une pièce à remplacer ou à réparer, c'est au locataire de payer la facture.
les parties intérieures : plafonds, murs, parquets, moquette, ... les ouvertures intérieures et extérieures : fenêtres, portes, stores, … les installations : plomberie, chauffage, appareils sanitaires, … les équipements électriques : prise de courant, ampoules, interrupteur, …
En tant que locataire, vous devez faire appel à un chauffagiste de votre choix pour l'entretien de votre équipement de chauffage. Toutefois, le bail peut prévoir que c'est le bailleur qui doit faire appel à un chauffagiste de son choix.
Comme le précise le Service Public, cet entretien annuel est à la charge du locataire. Si vous louez une maison ou un appartement, ce contrôle est effectué à votre initiative et sous votre responsabilité. Il existe seulement deux exceptions : Le bail stipule que cette obligation revient au propriétaire du logement.
L'entretien annuel d'une chaudière est obligatoire en France. Il est à la charge du locataire qui doit s'assurer du respect de la maintenance de l'équipement de chauffage mis à sa disposition.
C'est au locataire de prendre en charge l'entretien et les éventuelles réparations de la chaudière. Pour des raisons de sécurité, le législateur a prévu une obligation de contrôle annuel de la chaudière par un professionnel agréé dont le locataire doit justifier.
Comptez entre 100 € et 200 € chaque année pour l'entretien de votre chaudière sans contrat, contre 130 € à 160 € en moyenne sous contrat. Malgré un surcoût apparent, il est plus rentable de conclure un contrat d'entretien, dans la mesure où le dépannage et les autres déplacements sont souvent inclus.
Travaux nécessaires au maintien en l'état et à l'entretien normal du logement (par exemple, volet défectueux) Travaux d'amélioration de la performance énergétique du logement (travaux d'isolation) Travaux pour respecter les critères d'un logement décent. Entretien des toitures et façades végétalisées.
Chauffage, eau chaude et robinetterie
Le locataire doit entretenir les installations de chauffage, d'eau chaude et la robinetterie.
En moyenne, comptez entre 2 % et 5 % du loyer mensuel, charges comprises : pour un logement avec un loyer de 750 € par mois par exemple, les cotisations mensuelles seront fixées entre 15 € et 35 €.
Négligence et manque d'entretien du logement
Trou ou tache sur les murs. Porte enfoncée. Moquette brûlée. Parquet abîmé
Ce qu'il faut retenir c'est qu'en plus du loyer le locataire paie des charges liées à l'utilisation du logement comme par exemple le gardiennage, l'entretien des espaces verts, l'ascenseur, le chauffage des parties communes...
Les charges courantes d'un appartement en copropriété incombent au propriétaire lorsqu'il occupe le bien.
Vous êtes locataire du logement
Le locataire a une obligation d'entretien de la chaudière 1 fois par an, mais le propriétaire ne peut pas obliger le locataire à souscrire un contrat d'entretien.
Une visite d'entretien annuel comprend généralement les étapes suivantes : Vérification de l'état de votre chaudière. Nettoyage complet de tous les éléments intérieurs ou extérieurs. Réglage des mécanismes.
L'entretien d'une chaudière à gaz coute entre 140€ et 190€ en moyenne, mais permet d'éviter les pannes et les accidents, et prolonger la durée de vie et les performances de votre chaudière gaz.
Qu'est-ce que l'usure normale d'un logement ? L'usure normale est une altération du logement ou de ses meubles pouvant s'expliquer par leur état de vétusté. La notion, fondamentale pour les relations entre le locataire et le bailleur, a bénéficié d'un encadrement plus précis avec la parution du décret du 30 mars 2016.
L'usure locative, souvent appelée état d'usage ou "usure normale", se réfère à la dégradation naturelle et inévitable d'un logement et de ses équipements résultant de leur usage normal par le locataire.
Remettre en état la peinture avant de quitter un logement
Toujours selon le décret du 26 août 1987, le locataire se doit de “maintenir propres et entretenir régulièrement les plafonds, les murs, les cloisons, les revêtements de sols, les placards, les plinthes, les baguettes, les moulures”.
Un locataire ne peut pas s'opposer à des travaux dans son logement. Cependant, lorsque les réparations en question peuvent être conséquentes, il est important de discerner des réparations qui peuvent être nécessaires pour le logement et des travaux qui ont pour simple but d'améliorer l'habitation.
Le locataire a le droit d'aménager librement le logement qu'il occupe (changement de moquette, rafraîchissement des peintures murales...). Cependant, il ne peut pas faire de gros travaux de transformation du local ou de ses équipements sans l'accord écrit du propriétaire.
Le locataire ne peut exiger de son bailleur la réalisation de tous types de travaux. En effet, le propriétaire bailleur est tenu de fournir un logement décent au locataire. Il est également en charge des réparations nécessaires à l'entretien et au maintien en l'état du logement loué.
Plomberie : les réparations à la charge du locataire
Réparation des toilettes : remplacement du flotteur. Dégorgement des canalisations, sauf en cas de bouchon naturel. Remplacement des joints et colliers des canalisations. Fuite robinet et mitigeur : remplacement des joints, clapets et presse-étoupes.