Le rôle de DOS repose en général, sur le maire. Cependant, lorsque l'événement dépasse les capacités locales d'intervention ou si l'accident concerne plusieurs communes, c'est le préfet de département qui assume le rôle de DOS et commande le dispositif ORSEC.
Dans le cas des opérations de secours relevant du domaine de compétence des sapeurs pompiers, le préfet prend formellement la « direction des opérations de secours » (DOS) en remplacement du maire, qui est le premier DOS.
Le COS est un officier de sapeur-pompier chargé, sous l'autorité du Directeur des opérations de secours, de la mise en œuvre de tous les moyens publics et privés mobilisés pour l'accomplissement des opérations de secours.
Lorsque la crise concerne plusieurs communes, ou que les moyens communaux sont insuffisants, c'est le Préfet qui devient directeur des opérations de secours. Lorsque la zone affectée s'étend au-delà du département, c'est le Préfet de zone qui prend la direction des opérations.
Quel que soit le type de situation, dans le département, le préfet, rassemble le même noyau dur d'acteurs : service d'incendie et de secours, services sanitaires et sociaux, services de police et de gendarmerie, Conseil Général, services de l'équipement, délégué militaire départemental, associations agréées de sécurité ...
Le service départemental d'incendie et de secours (SDIS) est dirigé par un officier supérieur de sapeurs-pompiers et placé sous la double autorité du préfet (gestion opérationnelle) et du président de son Conseil d'administration (pour la gestion administrative et financière).
Le COS est un officier de sapeurs-pompiers désigné par le réglement opérationnel du SISZA pour assurer le commandement d'une opération de secours Le COS est chargé de la mise en couve de tous les moyens publics et privés mobilisés pour faccomplissement de an mission.
Au plus haut niveau de la hiérarchie des sapeurs-pompiers, on trouve trois autres grades qui appartiennent au cadre d'emploi de catégorie A : Colonel ; Colonel hors classe ; Contrôleur général.
sapeur-pompier, sapeurs-pompiers
(Au féminin sapeuse-pompière, jugé peu euphonique, on préfère femme sapeur-pompier.)
Conformément à la loi Matras, ce texte crée le nouveau seuil de bénéfice de la NPFR après 15 ans de service et introduit l'abaissement de 15 à 10 ans de la durée de service en cas d'accident survenu ou de maladie contractée en service, dans un double objectif de fidélisation et de reconnaissance.
1 Article L. 1424-7 du CGCT modifié par la loi n°2015-991 du 7 août 2015 : « Le schéma départemental d'analyse et de couverture des risques est élaboré, sous l'autorité du préfet, par le service départemental d'incendie et de secours.
Le COZ est chargé d'assurer une veille opérationnelle permanente sous l'autorité du préfet de zone de défense et de sécurité. Ses principales attributions sont : de recueillir et de transmettre l'information opérationnelle au profit des hautes autorités.
Le plan NOVI est déclenché par le préfet et mobilise l'ensemble des acteurs de la chaîne de secours.
Une démarche globale de protection des populations est mise en place, de la prévention des risques à l'organisation des secours jusqu'au retour à la vie normale après la catastrophe.
Au cœur des situations d'urgence
Figure incontournable du secours et de la gestion de crise en France, la Sécurité civile est sur tous les fronts. Elle s'appuie sur 250 000 sapeurs-pompiers et sur les renforts nationaux qui peuvent intervenir sur l'ensemble du territoire national et à l'étranger.
Personne qui commande, qui exerce une autorité, une influence déterminante : Un chef d'entreprise, de gare, d'atelier. (En Suisse, on écrit couramment une cheffe au féminin. Cette graphie tend à se répandre ailleurs dans la francophonie, en France notamment.)
Pour une femme, on peut dire « le policier » (surtout dans un sens générique), « la policière », « la femme policier » ou « la femme policière ».
Parmi ces dispositions, la taille minimale de 1,60 mètre, avec une tolérance de toise de 3 centimètres qui tient compte d'éventuelles erreurs, s'inscrit également dans le cadre de la prévention des risques professionnels.
Qui paye les pompiers lors d'une intervention ? Les conseils départementaux, communes et intercommunalités payent les sapeurs-pompiers pour les interventions jugées urgentes.
Saluer vient du latin « Solve » qui veut dire sauver. Ainsi le salut indique à la personne le fait que je peux la sauver, quoi de plus normal pour notre profession. Chez les militaires le salut a la même signification : je peux te sauver, te protéger, je t'assure de ne pas t'attaquer.
Au premier échelon, un sapeur-pompier perçoit 1 649,01 € Au premier échelon, un adjudant touche 1 731,46 € Au premier échelon, un lieutenant hors classe perçoit 1 901,21 €
Cependant, la culture du service public d'incendie et de secours, parfois simplement par les devises («Sauver ou périr», « Courage et dévouement »), fait référence à des notions morales.
Le chef de colonne conduit un ensemble de groupes (2 à 4 groupes) appelé Colonne. Il peut commander une opération de secours nécessitant jusqu'à l'engagement d'une colonne en plus de la sienne et/ou jusqu'à l'arrivée de l'échelon supérieur. Il peut assurer la fonction de chef de secteur sous l'autorité d'un COS.
Marseille n'eut plus de maire jusqu'à la Libération. Il fut aussi décidé la dissolution du Corps municipal des sapeurs-pompiers de la ville de Marseille et la création, le 29 juillet 1939, d'un bataillon militaire de Marins-Pompiers pour protéger la ville.