Le compte joint est un compte ouvert par au moins 2 personnes, avec ou sans lien de parenté. Chaque cotitulaire peut faire fonctionner le compte (par exemple : déposer ou retirer de l'argent, faire un chèque) avec sa seule signature.
Au Crédit Mutuel, votre conseiller vous demandera, à vous et votre conjoint, de fournir les pièces justificatives suivantes : une pièce d'identité valide (carte d'identité ou passeport) ; un justificatif de domicile de moins de trois mois (facture d'électricité, de gaz, quittance de loyer ou téléphone fixe, etc.).
A noter que certaines banques peuvent limiter le nombre de cotitulaires sur un compte joint. Un compte commun est donc un compte collectif qui permet de faciliter la gestion d'un budget ou de finances communes. Chaque cotitulaire dispose des mêmes droits pour effectuer les opérations courantes sur le compte joint.
Les inconvénients du compte joint sont : Cotitulaires solidairement responsable du compte. Impossible de clôturer un compte joint sans l'accord des deux cotitulaires. Les deux cotitulaires ont accès au compte.
Un compte conjoint est un compte bancaire dont deux ou plusieurs personnes se partagent la propriété. Chaque titulaire a donc le droit de faire des dépôts et des retraits, ainsi que d'administrer les fonds du compte, même si ces fonds ne proviennent pas de lui.
Compte joint
Le compte reste ouvert, sauf opposition des héritiers du cotitulaire défunt. Le compte continue à être le compte des cotitulaires survivants (ou devient automatiquement un compte bancaire individuel, s'il n'y a plus qu'un cotitulaire survivant).
Ouvrir un compte joint pour gérer plus facilement vos dépenses. Le compte joint est un compte bancaire ouvert par au moins deux personnes qui en sont les co-titulaires. Lorsque l'on est en couple, il permet de gérer plus facilement les dépenses communes.
Ouvrir un compte joint (voire ne posséder que cela) implique donc de vivre avec une moitié digne de confiance. Sinon, mieux vaut conserver à côté un compte personnel. Mais attention, qui dit personnel ne dit pas forcément intouchable et protégé à 100%.
Une femme mariée peut ouvrir un compte personnel auprès d'une banque, sans le consentement de son époux. Chaque époux, quel que soit son régime matrimonial, peut ouvrir un compte bancaire ou postal à son nom, et ce, sans le consentement de l'autre (c. civil art. 221).
1 réponse d'expert. Le fait que le compte soit mis au nom de « Monsieur ou Madame X » signifie que les deux titulaires du compte sont présumés être d'accord sur les opérations effectuées. Si le compte est au nom de « Monsieur et Madame X », il s'agit d'un compte indivis.
La banque bloque le compte en indivis au décès sans exception : le solde du compte bancaire (positif ou négatif) entre alors dans l'héritage. Le compte indivis est bloqué par la banque dans tous les cas, y compris, celui dans lequel le cotitulaire du compte est le conjoint du défunt.
Si c'est un compte individuel, lors du décès du titulaire, le compte est bloqué jusqu'au règlement de la succession, sauf pour le paiement des funérailles (moins de 5 000 €), impôts, soins et prélèvements de type gaz, électricité, eau.
En théorie, chacun a la responsabilité de gérer son épargne de façon individuelle puisqu'elle vous appartient en propre. Tout comme un couple marié sous le régime de la communauté légale, vous pouvez aussi ouvrir un compte-joint ou un livret en commun.
Au final, que ce soit pour les frais de tenue de compte ou de moyen de paiement, vous paierez moins cher que pour deux comptes individuels. Le même raisonnement s'applique au montant du découvert autorisé, qui pourra être plus élevé en mettant vos revenus en commun.
En règle générale, le compte joint n'est pas bloqué suite au décès de l'un des cotitulaires. Le ou les cotitulaires survivants peuvent continuer d'utiliser le compte joint. Celui-ci devient automatiquement un compte individuel s'il n'y a qu'un cotitulaire survivant.
Si vous êtes marié(e) sans contrat de mariage, c'est à dire sous le régime de la communauté réduite aux acquêts, l'argent appartient à la communauté sauf si vous pouvez prouver le contraire (argent provenant d'un héritage, d'une donation, de la vente d'un bien propre à l'origine etc).
Autre variante, le compte peut être intitulé "Monsieur et/ou Madame" ce qui signifie que la signature des cotitulaires est requise pour certains actes préétablis au moment de l'ouverture du compte à la banque. Le fonctionnement du compte joint repose sur la solidarité entre les cotitulaires du compte.
Il existe des offres de comptes joint en ligne sans condition de revenu chez Monabanq, Boursorama et Hello bank. Il est en effet possible d'ouvrir un compte commun en ligne dans ces banques, même si l'on est sans revenu, selon l'offre et la carte bancaire choisies.
Une procuration est une autorisation donnée à une personne (le mandataire) d'effectuer des opérations sur le compte bancaire de la personne qui donne procuration (le mandant). Il est possible de donner procuration à des personnes qui n'ont pas de lien de parenté ou d'alliance avec le titulaire du compte.
Il n'est pas possible de transformer un compte individuel en compte joint, l'action inverse ne peut pas non plus être réalisée. En effet, il est nécessaire d'ouvrir un nouveau compte.
Succession: comment récupérer les fonds détenus par la banque du défunt. La banque, une fois avertie du décès de son client (acte de décès à l'appui), transmet le dossier à son service des successions, qui verse au notaire les avoirs détenus, s'il a été mandaté par les héritiers.
Il n'est pas nécessaire d'être marié ou pacsé pour ouvrir un compte joint. Deux personnes n'ayant aucun lien de parenté peuvent posséder le même compte en banque. Mais attention, certaines précautions s'imposent, par exemple deux signatures sur un chèque ou sur un prélèvement afin d'éviter les mauvaises surprises.
Après le décès déclaré, le livret A est bloqué et mis en indivision pour la succession. Seuls les comptes joints ne sont pas bloqués, le conjoint survivant pouvant garder la moitié du contenu du livret, ou la totalité si toutefois il prouve qu'il a entièrement alimenté l'épargne de lui-même.