Rappelons « avant tout que le protagoniste du pardon des péchés est l'Esprit Saint. L'Esprit Saint nous apporte le pardon de Dieu « en passant à travers » les plaies de Jésus.
C'est un principe selon lequel Dieu agit : si quelqu'un confesse ses péchés, Dieu est fidèle et juste pour les lui pardonner. L'application directe de ce passage se rapporte au pécheur qui pour la première fois de sa vie vient dans la lumière de Dieu et Lui confesse ses péchés.
Les scribes et les pharisiens se mirent à raisonner et à dire: Qui est celui-ci, qui profère des blasphèmes? Qui peut pardonner les péchés, si ce n'est Dieu seul? Alors les Scribes et les Pharisiens commencèrent à raisonner en eux-mêmes, disant : qui est celui-ci qui prononce des blasphèmes?
qui est-ce qui peut pardonner les péchés, que Dieu seul? Pourquoi celui-ci parle-t-il ainsi? Il blaspheme.
Lisez Colossiens 3:12-15. Deuxièmement, pardonner aux gens est une puissante démonstration de notre amour pour eux. Comme Dieu est notre père bien aimant, il désire nous pardonner nos péchés pour restaurer nos relations avec lui. Tout comme Dieu nous demande d'aimer notre prochain, nous devons aussi lui pardonner.
Le seul péché qui ne sera pas remis est le péché contre l'Esprit, et cela signifie que si un pécheur ne peut pas recevoir l'absolution dans le sacrement de réconciliation, c'est qu'il lui manque des dispositions au pardon.
Pour recevoir le pardon, nous devons d'abord reconnaître en nous-mêmes que nous avons péché. Si nous nous efforçons de vivre en accord avec l'Évangile, le fait de reconnaître que nous avons péché nous mènera à « la tristesse selon Dieu », qui « produit une repentance à salut » (2 Corinthiens 7:10).
Dieu peut tout pardonner, mais Il respecte la conscience de chacun et ne viole jamais la liberté. « Dieu peut tout pardonner, mais Il respecte la conscience de chacun, donc la question n'est pas tant du côté de Dieu que de celui de l'homme ». La question n'est pas tant du côté de Dieu que de celui de l'homme.
Le pardon, dans l'enseignement chrétien, est un acte d'amour qui se vit dans la grâce infinie de Dieu. En effet, Dieu a envoyé son propre fils, Jésus, pour nous sauver et nous libérer du péché. Il montre ainsi, par sa grâce et son amour infini pour l'humanité, que tout pécheur est susceptible d'être pardonné.
Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu. La passion peut indirectement mouvoir la volonté, et cela de deux façons: – En épuisant l'énergie de la volonté.
Jacobus Arminius a défini le péché impardonnable comme le rejet et le refus de Jésus-Christ par une méchanceté et une haine déterminées contre le Christ.
Jésus répondit clairement : « Je ne te dis pas jusqu'à sept fois, mais jusqu'à septante fois sept fois » (Matthieu 18:22). En d'autres termes, il ne doit pas y avoir de limites, de nombre ou autre, au-delà desquelles nous ne devons plus pardonner aux autres.
Le Seigneur a enseigné : « C'est pourquoi je vous dis que vous devez vous pardonner les uns aux autres ; car celui qui ne pardonne pas à son frère ses offenses est condamné devant le Seigneur, car c'est en lui que reste le plus grand péché.
Premier péché : l'orgueil
Trop d'orgueil signifiait que l'on pouvait se passer de Dieu et être son propre maître. Mais Dieu étant à peu près disparu de notre horizon, que reste-t-il de ce péché?
J'exprime ma contrition avec les paroles du Psaume 50 (3-4.5-6a.11-12.14.19) : Pitié pour moi, mon Dieu, dans ton amour, selon ta grande miséricorde, efface mon péché. Lave-moi tout entier de ma faute, purifie-moi de mon offense. Oui, je connais mon péché, ma faute est toujours devant moi.
Pardonner 70 fois 7 fois ce n'est plus seulement accorder des pardons ponctuels et répétés, c'est entrer dans un nouveau regard sur nos frères. C'est vivre à leurs côtés enveloppés de la miséricorde du Père qui nous restaure dans notre liberté d'enfants bien-aimés capables d'aimer malgré tout.
Le blasphème contre l'Esprit
Cette expression renvoie à un concept de la doctrine chrétienne commune à trois évangiles synoptiques. Ce péché contre le Saint Esprit consiste à refuser la miséricorde de Dieu, à ne vouloir avoir rien à faire avec Dieu. Le péché contre l'Esprit Saint est le même que celui attribué à Satan.
Le péché originel est une doctrine de la théologie chrétienne qui décrit l'état dégradé de l'humanité depuis la Chute, c'est-à-dire la désobéissance d'Adam et Ève, premiers êtres humains créés par Dieu : dans le Livre de la Genèse, ils mangent le fruit défendu de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.
« Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Viens Esprit Saint, qui donne la sagesse. Aide-moi à faire la vérité dans ma vie pour me préparer à recevoir le pardon que Dieu le Père donne par son Fils Jésus Christ. » Tu n'auras pas d'autres dieux que moi.
Seules la confession et la contrition parfaite (grâce à une confession rapide) sauvent l'âme qui aurait été en enfer, damnée pour l'éternité. Le chrétien doit se confesser à un prêtre en disant tous ses péchés mortels non confessés.
Pour pardonner, il faut accepter de nommer et de regarder sa réalité en pleine face, sans faux-fuyants. Car au bout de l'exercice, c'est vous qui devez trouver un soulagement dans la décision que vous allez prendre. Qu'elle soit de rompre enfin avec votre mari, ou de poursuivre votre chemin avec lui malgré la faute.
rancunière. Enclin à la rancoeur, incapable de pardonner quelqu'un pour une action considérée comme un tort personnel. Exemple : Son mari est tellement rancunier qu'il lui a fait la tête toute la semaine. Étymologie : issu de rancura dérivé de l'association des mots latin rancor (rancoeur) et cura (souci).
C'est tenir une offense, une faute, pour nulle (ou l'excuser) et renoncer soit – au plan personnel – à en tirer vengeance, soit – au plan institutionnel – à poursuivre et à punir les responsables. Le pardon ne doit pas cependant être confondu avec l'amnistie qui est un simple effacement de peine.
Pour s'ouvrir à la possibilité de pardonner, la parabole de l'Évangile selon saint Matthieu « Je t'ai remis toute cette dette parce que tu m'en as prié. Ne devais-tu pas toi aussi avoir pitié de ton compagnon, comme j'avais eu pitié de toi ? » (Mt 18, 32-33) invite le chrétien à se retourner la question.