Cette hormone est sécrétée par les cellules α des îlots de Langerhans pancréatiques sous forme d'une molé- cule de 12 kDa, la glycentine, molécule qui donnera naissance à plusieurs polypeptides, dont le proglucagon et le glucagon lui-même, forme active de l'hormone.
Le glucagon est une hormone produite par le pancréas dont la fonction est d'augmenter la glycémie, c'est-à-dire le taux de sucre dans le sang. On l'administre à la personne traitée à l'insuline qui présente une hypoglycémie sévère avec perte de conscience.
Chez les gens sans diabète, le pancréas produit le glucagon et l'insuline, afin de parler au foie. Lorsque le pancréas sécrète du glucagon, par exemple pendant la nuit lorsque le corps est en période de jeûne, le foie comprend qu'il doit utiliser les réserves de sucre de l'organisme et en produire plus, si nécessaire.
Il est sécrété par les cellules α situées à la périphérie des îlots de Langerhans, dans le pancréas. Il n'est produit par ces cellules que lorsque le taux de glucose dans le sang, également appelé glycémie, vient à fléchir de manière significative.
Le pancréas, qui est un organe à double fonction endocrine et exocrine est le siège de la sécrétion des deux hormones responsables de la régulation de la glycémie : l'insuline et le glucagon. Ces deux hormones sont détectées par leurs cellules cibles grâce à des récepteurs.
Ces 2 hormones sont l'insuline et le glucagon, et ce sont les seules hormones et donc le pancréas est le seul organe capable de réguler la glycémie, et donc l'apport d'énergie vitale à notre organisme. La sécrétion d'insuline fait baisser la glycémie et la sécrétion de glucagon l'augmente.
La somatostatine a un rôle de régulation de la sécrétion de la vésicule biliaire, augmente la mobilité de l'intestin et inhibe la synthèse de glucagon et d'insuline.
L'insuline est une hormone naturellement produite par le pancréas, plus précisément par des cellules spécialisées situées dans les îlots de Langerhans. Elle permet au glucose (sucre) d'entrer dans les cellules du corps.
Les cellules α sécrètent du glucagon (polypeptides de 29 acides aminés). Plus la glycémie baisse, plus la libération de glucagon augmente. Le glucagon se fixe également sur des récepteurs spécifiques sur les membranes des ces cellules cibles, qui sont uniquement des cellules hépatiques.
Fonction du glucagon
Le glucagon possède une fonction hormonale opposée à celle de l'insuline, puisqu'il entraîne une hausse de la glycémie (fonction hyperglycémiante). Pour cela, il possède une fonction d'hydrolyse du glycogène contenu dans le foie, ce qui provoque la libération de molécule de glucose dans le sang.
Le pancréas a deux fonctions: sécrétions de suc digestifs pour la digestion et sécrétion de l'insuline pour la régulation de la glycémie. Le pancreas sécrète un suc pancréatiquequi est un liquide servant à la digestion.
Le glucose peut alors pénétrer dans les cellules cibles. Il est hyperglycémiant. Si on procède à une perfusion de glucagon, on observe une augmentation de la glycémie dans le sang. Le glucagon favorise la production de glucose par le foie à partir du glycogène ou d'autres molécules.
Glucagon : Mécanisme d'action
Le glucagon est une substance hyperglycémiante qui mobilise le glycogène hépatique, celui-ci étant alors libéré dans le sang sous forme de glucose. De ce fait, le glucagon ne sera pas efficace chez les patients dont les réserves hépatiques en glycogène sont épuisées.
Après des repas riches en glucides
Après un jeûne, le foie libère du glucose dans le sang et après un repas riche en sucre, il stocke l'excédent de glucose. Le foie est donc un organe de stockage du glucose. Le stockage du glucose dans le foie se fait sous forme de glycogène : c'est un polymère du glucose ((C6H10O5)n).
L'insuline, découverte en 1921, est une hormone hypoglycémiante. Le glucagon, découvert en 1923, est une hormone hyperglycémiante. Ces deux hormones peptidiques ont des actions opposées. La production de glucagon est réalisée par les cellules périphériques des îlots de Langerhans, appelées cellules α (alpha).
La glycémie est la concentration de glucose dans le sang, maintenue dans un intervalle relativement étroit autour d'une valeur d'équilibre proche de 1g·L-1. Elle dépend des apports alimentaires et est régulée par deux hormones sécrétées par le pancréas : l'insuline et le glucagon.
Chez une personne sans diabète le glucagon est sécrété pour ramener le taux de sucre à un niveau normal lorsque la glycémie est trop basse. C'est une substance hyperglycémiante. C'est l'hormone du besoin en énergie, notamment des muscles dans des conditions comme le jeûne et l'exercice physique.
Elle répond bien. Ce qui est en cause ici, en règle générale, c'est une résistance à l'insuline : l'insuline est bien sécrétée, mais elle n'est plus active. Le plus souvent, cette résistance à l'action de l'insuline est liée à une toxicité particulière du tissu adipeux chez des personnes en surpoids ou obèses.
Le pancréas contient de nombreux types de cellules, y compris des cellules bêta et alpha. Ces cellules produisent différentes hormones qui contrôlent la concentration de glucose (sucre) dans notre sang.
La transformation du sucre (glucose)
Le glycogène est stocké dans le foie et dans les muscles. Pour le bon fonctionnement de l'organisme, il est important que la glycémie (taux de sucre dans le sang) soit constante et modérée (entre 0,6 et 1 g par litre).
Le dosage de l'insuline s'effectue par prise de sang dans un laboratoire d'analyse médicale. Il est indispensable d'être à jeun pour la prise de sang pour connaître le dosage « basal ».
On a constaté que le citron stimule les enzymes du foie et du pancréas pour améliorer la décomposition des graisses ainsi que leur évacuation.
Le glucagon et l'insuline sont deux hormones nécessaires à la régulation de la glycémie (concentration du glucose dans le sang). Ils sont produits au niveau d'îlots de cellules appelés îlots de Langerhans ; par les cellules « alpha » (pour le glucagon) et « bêta » (pour l'insuline).
On pourrait en rester à ce stade de la déconstruction du dogme alarmiste café-pancréas, mais de récents articles confortent actuellement un effet bénéfique de la consommation du café sur le pancréas endocrine et le foie.
Le pancréas s'enflamme et n'est plus fonctionnel. Un abus d'alcool, des médicaments, une chute sévère de tension, une intervention chirurgicale, des facteurs auto-immuns peuvent aussi en être à l'origine –dans certains cas, cependant, la cause demeure inconnue.