Il n'existe aucun remède spécifique à la dystonie mais certains médicaments des classes thérapeutiques suivantes peuvent agir sur les symptômes comme les benzodiazépines, les myorelaxants, les antidouleurs et les antiépileptiques. Les myorelaxants : ils ont pour effet de relaxer les muscles et de soulager les crampes.
Le traitement des différentes formes de dystonie permet d'atténuer les symptômes, mais ne guérit pas la maladie. La dystonie nécessite la consultation d'un neurologue spécialiste des mouvements anormaux.
En plus d'être handicapante, la dystonie peut être une source de douleur importante. « Même après l'injection, mon cou reste douloureux, observe l'oncologue. C'est comme une crampe prolongée, surtout le soir, car l'intensité de la maladie monte dans la journée.
Le traitement de la dystonie généralisée aiguë peut nécessiter une association de médicaments anticholinergiques oraux, de myorelaxants et de benzodiazépines. La dystonie segmentaire sévère ou généralisée réfractaire au traitement peut nécessiter une intervention chirurgicale.
Traitement de la dystonie
(comme le trihexyphénidyle ou la benztropine) est le plus souvent administré. Ces médicaments réduisent les spasmes en bloquant des impulsions nerveuses spécifiques qui provoquent les spasmes.
Le diagnostic de la dystonie se fait principalement par examen clinique, c'est-à-dire par l'observation des symptômes par le neurologue. Le diagnostic différentiel est un vrai enjeu, car la dystonie est souvent confondue comme un symptôme d'autres pathologies ce qui peut être le cas pour les dystonies focales.
Vous souffrez probablement de ces fameuses dystonies neurovégétatives bénignes mais bien ennuyeuses ! N'hésitez plus : faites appel à l'huile essentielle de Petit Grain Bigarade pour atténuer vos désagréments. Vive le 100 % naturel !
Il n'existe pas d'examen complémentaire spécifique de la dystonie neurovégétative. Qui consulter ? Le médecin généraliste pour le diagnostic, un psychothérapeute pour une prise en charge.
Un myorelaxant est un médicament ou une substance ayant pour effet de décontracter les muscles. Le thiocolchicoside (Miorel ou Coltramyl) et le méthaqualone sont des médicaments utilisés lors de contractions musculaires.
Les dystonies primaires ou idiopathique sont dues à une mutation génétique soit d'origine familiale, c'est-à-dire héréditaire soit à une mutation sporadique et commencent généralement dans l'enfance.
La dystonie neurovégétative (ou DNV ou dystonie vagosympathique ou dysautonomie ou neurotonie), du grec dus : difficulté, et tonos : ressort, est un dérèglement global du système neurovégétatif (ou système nerveux autonome ou SNA), dont l'origine est primitive ou secondaire.
La dystonie est à la fois un symptôme et le nom d'un groupe de maladies, appelées dystonies. Le symptôme, ou la manifestation physique, correspond à des contractions prolongées, involontaires des muscles d'une ou de plusieurs parties du corps, entraînant souvent une torsion ou une distorsion de cette partie du corps.
Une myoclonie est caractérisée par la survenue de brèves secousses musculaires. Celles-ci se manifestent par des mouvements involontaires et soudains. Il en existe différentes formes dont la myoclonie du sommeil, ou encore les myoclonies secondaires qui surviennent notamment en cas d'épilepsie.
Plusieurs médicaments contiennent du baclofène, notamment le Liorésal® (traitement des spasmes musculaires causés par la sclérose en plaques ou d'autres maladies), le Baclofène Sun®, Baclofène Aguettant® et Baclofène Zentiva®, qui sont tous des myorelaxants."
La pratique régulière d'activités physiques - pourvu qu'elle soit suivie des exercices d'étirements nécessaires pour le retour au calme du métabolisme - favorise une réduction permanente de la tension. En naturopathie, l'exercice corporel est considéré comme un élément fondamental du contrôle des mécanismes nerveux.
Si la neurotonie entraîne une gêne trop importante, un traitement consistant à améliorer l'hygiène de vie du sujet est possible : durée de sommeil suffisante, pratique modérée et régulière d'un sport, activités de loisirs, suppression du tabac et de l'alcool, psychothérapie légère, prise de médicaments à base de ...
La vie de Regina avec une dystonie cervicale
Elle recommande de ne pas se laisser intimider par le regard des autres, «sinon on se crispe et on tremble encore plus». Pour elle, il est essentiel de continuer à voir des gens et de trouver le courage de prendre des initiatives au sein de son groupe d'amis.
Prévention et traitement
Les injections de toxine botulinique sont le traitement le plus efficace pour diminuer les spasmes musculaires et soulager les douleurs, en bloquant la libération d'un neurotransmetteur responsable de la contraction des muscles, l'acétylcholine.
Il peut être provoqué par un traumatisme physique, un faux mouvement, un problème postural, une infection, une intoxication alimentaire, un choc thermique, un choc émotionnel, un stress psychique, etc. Les neuro-spasmes s'installent dès que le corps est confronté à un déséquilibre qu'il ne peut corriger immédiatement.
La tétanie est une contraction musculaire continue ou périodique dans tout l'organisme. Ces spasmes durent généralement plus longtemps que les crampes musculaires et sont plus étendus. Les muscles peuvent également se contracter rapidement. Certaines personnes présentent des crampes musculaires illusoires.
La dyskinésie tardive est un effet secondaire fréquent et invalidant induit par des médicaments neuroleptiques ou, chez les enfants, par des médicaments contre les troubles gastro-intestinaux. Elle se manifeste par des mouvements involontaires répétitifs, saccadés ou non.
La chorée de Huntington est une maladie héréditaire qui débute par des saccades ou des spasmes involontaires occasionnels ; elle évolue vers la survenue de mouvements involontaires (chorée et athétose) de plus en plus marqués associés à une détérioration mentale et le décès.