Enfin, quelques pays soutiennent diplomatiquement le Hamas, comme la Syrie, l'Algérie, le Soudan, la Malaisie, ou l'Afghanistan. L'Iran est le principal parrain du Hamas. Par le biais des gardiens de la révolution islamique, Téhéran lui apporte un important soutien logistique, militaire et financier.
Les soutiens au Hamas
D'autres pays comme l'Algérie, la Tunisie, le Qatar, l'Irak, le Koweït ou encore Oman ont exprimé “leur solidarité totale et inconditionnelle avec le peuple palestinien”.
Selon un sondage dans les Territoires palestiniens, trois quarts de la population approuvent l'incursion sanglante du Hamas le 7 octobre dans le Sud d'Israël.
Une médiation, un corridor humanitaire : que peut le Qatar ? Dans le cadre du fonds d'investissement dont bénéficie l'État palestinien, le Qatar est l'État qui a le plus financé la fonction publique de Gaza, par exemple. “À partir de ce moment-là, le Qatar est devenu un interlocuteur écouté par le Hamas.
"Il n'y a pas de preuve directe que ces armes sont parvenues au Hamas depuis la Corée du Nord ou l'Iran, à qui la Corée du Nord fournit des armes depuis de nombreuses années", explique-t-il à la BBC Arabic.
Selon le site américain Global Firepower, les États-Unis disposent de l'armée la plus puissante du monde.
Les États-Unis
Le pays de l'Oncle Sam comptabilise 1,4 million de soldats actifs pour 440.000 réservistes. Avec un budget de la défense s'élevant à 770 milliards de dollars, soit environ 688,8 milliards d'euros, les Etats-Unis sont la première puissance militaire du monde.
L'Irlande se distingue des autres pays de l'Union européenne par son intérêt historique et son soutien inconditionnel à la cause palestinienne.
Les États-Unis et l'Union européenne via l'UNRWA en sont les principaux contributeurs. Depuis les années 2000, l'Union européenne a financé l'UNRWA de 1,6 milliard d'euros. Depuis les années 1990, les États-Unis ont donné en assistance 5 milliards de dollars aux Palestiniens et 5,6 milliards à l'UNRWA depuis 1950.
Les États-Unis sont le premier apporteur de fonds à Israël, et Israël est le principal récipiendaire de l'aide américaine depuis 1976.
54 % soutiennent une solution à deux Etats. 73 % favorisent une résolution pacifique au conflit israélo-palestinien, contre 20 % qui penchent pour une solution militaire pouvant aboutir à une destruction d'Israël (sans surprise, une forte majorité de ces derniers sont des soutiens du Hamas).
Aujourd'hui, la très grande majorité de la bande de Gaza soutient les initiatives militaires du Hamas et de plus en plus de Palestiniens en Cisjordanie se rangent également du côté du groupe extrémiste.
83 % de la population est Arabe palestinienne, 17 % est israélienne.
Le Qatar offre, selon les analystes, un soutien politique au Hamas en permettant à ses dirigeants de s'installer à Doha depuis 2012 après qu'ils ont dû abandonner leur siège historique de Damas en raison de la guerre civile syrienne.
Biographie. Ismail Haniyeh, né à Chati, camp de réfugiés palestiniens au nord de Gaza, étudie la littérature arabe à l'université islamique de Gaza. Il adhère rapidement à la politique militante et milite au sein du Hamas dès la création du mouvement pour la libération de la Palestine.
Il y a d'abord un certain nombre de pays qui ne reconnaissent pas Israël : Algérie, Tunisie, Mali, Niger, Mauritanie, Djibouti. De façon classique, ceux-ci ont exprimé leur soutien aux Palestiniens. D'autres pays reconnaissent Israël mais ont une vision double de leur relation.
La majorité des 193 États membres des Nations Unies - 139 - reconnaissent les territoires palestiniens comme un État, dont presque tous les Etats d'Afrique. Seuls le Cameroun, l'Érythrée et le Sahara occidental ne reconnaissent pas la Palestine comme État.
La Palestine n'est pas reconnue comme un pays par les Nations unies, mais comme un "État observateur non membre" depuis la fin de l'année 2012, une situation résultant d'un certain nombre de facteurs, dont le manque de soutien international, de la part des superpuissances.
La France apporte son soutien à la population palestinienne, notamment là où elle est la plus vulnérable. La France est particulièrement attentive à la question des conditions de vie des Palestiniens, qui est indissociable de celle de la résolution du conflit.
Au Maroc de nombreuses manifestations de soutien à la Palestine se sont tenues depuis l'importante escalade des tensions avec Israël le 7 octobre. Pourtant, le gouvernement du pays ne s'est que peu exprimé sur la question.
Leur livre saint, la Bible, la désigne sous le nom de « Pays de Canaan », Canaan étant l'un de ses anciens peuples. Les affrontements ne vont, semble-t-il, jamais cesser entre les nouveaux-venus et les Philistins et autres occupants.
L'Allemagne et l'Italie, qui soutiennent le droit d'Israël à se défendre, se sont abstenues lors du vote à l'ONU. D'autres, comme l'Espagne et la France, ont voté en faveur du cessez-le-feu.
1. États-Unis. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis dominent le reste du monde sur le plan militaire. Il conserve sa position de nation la plus puissante du globe.
Sans surprise, les États-Unis et la Russie sont en tête des puissances militaires mondiales. Cela s'explique par plusieurs facteurs. D'une part, on retrouve l'investissement et les dépenses militaires annuelles effectuées par ces nations. Aux États-Unis, 770 milliards de dollars sont alloués à la Défense.
Alors sur le podium des armées les plus puissantes : n°1, les Etats-Unis, n°2, la Russie et n°3 la Chine.