Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif : qui : La fenêtre qui donne sur la rue est ouverte. que : Le volet que tu as repeint est sec. dont : L'homme dont je t'ai parlé arrive.
La subordonnée introduite par un mot interrogatif « quand, où, pourquoi, combien, comment, qui, si, quel » est dite interrogative indirecte. Elle sert de complément d'objet au verbe de la principale. Pour son anniversaire, je lui demanderai ce qu'elle aimerait recevoir.
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où et les formes composées : lequel, auquel, duquel, etc.). Le plus souvent, elle complète un nom ou un pronom (= son antécédent), sur lequel elle apporte des précisions.
Les subordonnants sont des mots (conjonctions de subordination, pronoms relatifs et pronoms interrogatifs) qui permettent d'intégrer une phrase dans une autre pour en faire une subordonnée.
Qui, pronom relatif. Qui, sujet, peut représenter des personnes ou des choses : l'homme qui parle ; le chien qui aboie ; la pomme qui tombe.
Les propositions subordonnées complétives
La proposition subordonnée complétive ne remplace pas un nom mais complète un verbe grâce à une conjonction de subordination. Exemple : Je souhaite que tu ailles à l'école. Je pense que tu devrais travailler plus.
– Qui est complément d'objet indirect, complément circonstanciel, complément d'agent, complément du nom ou de l'adjectif. Je parle à qui me plaît. Il est libre de travailler pour qui il a envie. Prenez la place de qui vous voudrez.
"qui", "que", "dont" sont des pronoms relatifs. Un pronom relatif représente et remplace son antécédent placé généralement devant lui. Il prend le genre et le nombre de cet antécédent. Un pronom relatif introduit une proposition qui sert de complément à ce nom (ou pronom).
Qui remplace un nom sujet. Exemple : Il attend son ami qui rentre de Toulouse. Que remplace un mot complément d'objet direct. Exemple : Voici le reportage que je regarde en ce moment.
Parmi les mots qui peuvent être des subordonnants, on trouve notamment des conjonctions (ex. : que, à ce que, de ce que, parce que, sans que, pour que, afin que, à moins que, alors que, pendant que, après que, tandis que, plutôt que, dès que, quand, lorsque, si, comme) et des pronoms relatifs (qui, que, quoi, dont, où, ...
1 LA SUBORDONNÉE CIRCONSTANCIELLE DE CAUSE
Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc. Comme il est malade, il ne s'est pas présenté à l'examen. L'élève est absent parce qu'il aurait la grippe.
La conjonction de subordination est placée en tête de la subordonnée mais cette subordonnée peut être située avant ou après la principale . Ex : Je prends ma voiture quand je suis en retard . Quand je suis en retard , je prends ma voiture .
Remarque : Dans la proposition subordonnée relative, le pronom « que » remplace un nom (= c'est un antécédent). Remarque : Dans la proposition subordonnée complétive, « que » n'est pas un pronom : il ne remplace rien, il se trouve juste après le verbe : C'est une conjonction de subordination.
Elles établissent un rapport de dépendance (subordination) entre deux propositions : Je pense que vous serez bientôt riches. Préviens-moi lorsque tu auras des nouvelles. Puisque nous sommes au complet, nous pouvons commencer.
La proposition conjonctive est une subordonnée introduite par une conjonction de subordination (que, lorsque, puisque, quoique, comme, si et quand) ou par une locution conjonctive (parce que, bien que…). Nous avons exigé qu'il soit présent à notre prochaine rencontre.
– celui qui est identifié comme interrogatif par opposition au relatif – rassemble sous une seule unité un ensemble d'occurrences distinguées par les grammaires : l'interrogatif, le relatif sans antécédent, l'indéterminatif généralisé, le distributif, et le relatif prépositionnel.
,,Le pronom « qui » est répété parfois dans un sens distributif : Tous sportifs, ils pratiquent qui l'équitation, qui le vol à voile, qui le ski nautique`` (Davau-Cohen 1972). LOG. ,,Terme général pris comme désignant à la fois tous les individus compris dans son extension et en même temps chacun d'eux`` (Foulq.
Le pronom relatif 'qui' est un pronom sujet. Mis pour un antécédent de la principale, il détermine l'accord du verbe dans la relative. Exemple : La voiture qui passe bruyamment, dérange le voisinage.
Les subordonnants, qui sont toujours placés au début de la subordonnée, peuvent appartenir à plusieurs classes de mots; il peut s'agir de conjonctions de subordination (que, si, comme…), de pronoms relatifs (qui, dont, que, où…) ou de pronoms interrogatifs (quand, pourquoi, où, qui…).
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
assujettir, attacher, inféoder, soumettre.