Ne dites simplement à personne que vous avez une alerte pour votre propre nom sur Google Alertes… Connectez-vous à Google et visitez google.com/alertes . Ici, entrez votre nom dans la boîte d'alerte en haut de la page et cliquez sur Créer une alerte .
Google Alertes
C'est sans doute le service le plus populaire. Il se base uniquement sur les résultats indexés par Google (vous ne saurez donc pas lorsqu'un membre Facebook vous mentionne par exemple, si son compte est protégé). Il suffit de se rendre sur la page de Google Alertes pour les configurer.
Rien de plus facile. 2. Si le recruteur ou le futur collaborateur enquête sur votre identité [prénom + nom] ou [nom + prénom] dans le moteur de recherche, il consultera votre profil LinkedIn en premier, à condition bien sûr que votre profil soit en 1ère position de Google.fr !
Adressez au moteur de recherche, par le biais de son formulaire en ligne, une demande de « déréférencement d'un contenu vous concernant s'affichant dans la liste de résultats du moteur de recherche ». Précisez bien l'adresse web (url) du résultat faisant l'objet de votre demande.
Joignez à votre plainte une copie du courrier que vous avez adressé au responsable du site et de sa réponse éventuelle. Vous pouvez aussi demander la suppression de ces pages web dans les moteurs de recherche (Google, Bing, etc.) : c'est le déréférencement.
Google exige de justifier précisément chaque demande de suppression de son moteur de recherche. Chaque demande est traitée non pas automatiquement, mais au cas par cas par une commission. Si ce jury décide la suppression des URL incriminées, seules les pages mentionnant votre nom seront retirées.
Systèmes d'exploitation
Le système d'exploitation de votre ordinateur de bureau et de votre téléphone peut voir les sites que vous visitez, les personnes à qui vous envoyez des courriels et votre activité sur les médias sociaux. Si vos fonctions de géolocalisation sont activées, ils peuvent voir où vous vous trouvez.
Google Alertes est sans doute l'outil de veille le plus populaire. Totalement gratuit, il prend quelques secondes à installer et scanne l'ensemble du Web pour vous avertir dès qu'on parle de vous. Mention et Alerti vous recherchent sur Internet mais aussi dans les réseaux sociaux, les images et les vidéos.
D'après le site internet Google Privacy, le géant utilise nos données personnelles pour plusieurs raisons : arriver plus rapidement à destination avec Maps, proposer des suggestions de recherches pertinentes, trouver les vidéos sur YouTube qui nous correspondent ou encore préremplir les formulaires sur internet.
« Facebook ne permet pas aux utilisateurs de savoir qui consulte leur profil. Les applications tierces n'offrent pas non plus cette fonction », peut-on ainsi lire dans les pages d'aide du réseau social qui incite d'ailleurs à signaler toute application prétendant offrir cette fonctionnalité.
Connectez-vous à votre compte Facebook > Ouvrir (3 liens) le menu déroulant principal > Raccourcis de confidentialité > Ici, vous verrez une nouvelle fonctionnalité « Qui a consulté mon profil ».
- Disconnect : Disconnect, une extension disponible pour Chrome, Firefox, Safari et Opera, est conçue pour vous montrer visuellement quels sites Web suivent votre activité en temps réel. Les trackers invisibles qui vous surveillent peuvent également être facilement bloqués avec Disconnect.
La réponse est oui. Tant que vous êtes connecté à un réseau sous le contrôle de votre supérieur, il peut voir tout ce que vous faites ou presque, comme tout autre administrateur réseau.
Votre activité sur internet permet à Google de savoir quels sont vos centres d'intérêt. Pour déterminer les sujets qui vous intéressent, Google se fie à vos recherches ou aux sites et vidéos que vous consultez, notamment sur YouTube. Une identification pas vraiment précise de centres d'intérêt.
En fait, chaque pas que vous faites dans le monde virtuel est soigneusement surveillé, enregistré et ensuite utilisé à une fin ou une autre. On peut dire sans se tromper qu'Internet est un État de surveillance et qu'il devrait le rester, du moins dans un avenir proche.
En cas d'enquête, “la police aura accès à l'adresse de l'internaute comme dans le cas d'un internaute sans VPN. Par contre, elle verra l'adresse du fournisseur de VPN et non l'adresse du serveur adressé.
Fisc, assurance maladie, Pôle emploi, collectivités locales, hôpitaux, éducation nationale, justice, police… Comme tout organisme collectant des données personnelles, les administrations doivent d'abord mettre en œuvre des mesures de sécurité pour garantir leur confidentialité.
Sur votre ordinateur, accédez à votre compte Google. À gauche, cliquez sur Données et vie privée. Dans "Paramètres de l'historique", cliquez sur un paramètre d'activité ou d'historique que vous souhaitez supprimer automatiquement. Cliquez sur Suppression automatique.
Il est possible aussi que votre inscription en liste rouge disparaisse lors d'un changement d'offre, d'un changement d'opérateur (portabilité), d'un déménagement de ligne, d'une actualisation de vos données personnelles sur votre espace client.
Pour refuser cette inscription, il faut s'inscrire sur la liste rouge. Cette démarche est gratuite et s'effectue dans la plupart des cas en ligne sur le site de votre opérateur. Pour le téléphone mobile, les coordonnées ne sont pas publiées, sauf si vous en faites la demande expresse.