Le GHB, qui inquiète le plus les victimes, disparaît dans le sang au bout de huit heures, et dans l'urine au bout de douze heures.
En France, du GHB - aussi appelé la drogue du violeur - a été retrouvé dans le sang de quelques victimes début mai à Roanne (Loire). Plusieurs femmes avaient subi des piqûres dans une boîte de nuit de la ville.
Sensations de malaise, tête qui tourne, bouffées de chaleur, "trous noirs", nausées, amnésie ou encore trouble du comportement sont rapportés par les victimes. Mais toutes ne ressentent pas forcément la piqûre : certaines constatent une trace de piqûre à postériori des effets, d'autres non.
Le GHB, la "drogue du violeur", est-il en cause ? Il faut savoir qu'aucune seringue n'a pu être retrouvée par les enquêteurs. Pendant des semaines, l'ensemble des analyses toxicologiques ordonnées par les parquets de différentes régions n'ont pas mis en évidence la présence de GHB.
Aucune substance toxique n'a été détectée. Absence notamment de GHB (la drogue du violeur). On met en évidence, parfois, la présence d'alcool en grande quantité, de cannabis ou d'ecstasy », selon Renaud Gaudeul.
Les recherches ne portent pas seulement sur le fameux GHB ; la « drogue du viol », mais sur toutes les substances auxquels ont recours les agresseurs lors des tentatives de soumission chimique : « Les benzodiazépines (anxiolytiques) et, plus récemment, les antihistaminiques sédatifs sont beaucoup plus souvent utilisés.
Les seringues contenant de l'héroïne/assimilés ont dans 22 % de la quinine/quinidine, 15 % du fentanyl, 12 % de la lidocaïne, 10 % caféine ou lévamisole et enfin 6 % de la phénacétine.
· Les causes des symptômes toujours à l'étude
Plusieurs données restent encore floues, notamment la cause des symptômes évoqués par les victimes. Les enquêteurs tentent d'établir si les piqûres sont liées à des injections de drogues comme le GHB, dite "drogue du violeur".
Le phénomène des piqûres sauvages (également appelé agression à la piqûre, agression à la seringue ou encore piqûres en boîtes de nuit) est un phénomène initialement signalé au Royaume-Uni et en Irlande où des personnes, généralement des jeunes femmes, auraient été victimes d'une injection subreptice de produits non ...
L'aiguille est un objet de peur pour beaucoup de personnes. Elle représente peut-être l'anxiété de la vaccination et la peur des contaminations. Comme les légendes urbaines, les piqûres sauvages fonctionnent comme un récit moral.
Numéro 1 de la douleur : la guêpe guerrière
Synoeca septentrionalis ou guêpe guerrière est présente en Amérique du sud. Et cette fois pour décrire sa piqûre il s'agit carrément de « torture.
Piqûres de moustiques, fourmis ou taons*
Les réactions aux piqûres de ces trois insectes sont généralement modérées. Elles sont non douloureuses mais peuvent néanmoins induire un gonflement et une rougeur au point de piqûre et des démangeaisons incommodantes et désagréables.
Il s'agit de drogues comme le fentanyl, l'héroïne, l'oxycodone, la codéine, la morphine, l'hydromorphone, les benzodiazépines et l'alcool. Certaines de ces drogues peuvent être injectées et auront des effets différents sur ton corps et sur le high que tu obtiens.
Tu as peut-être déjà entendu parler du GHB, du phénomène des « piqures », ou de la drogue du violeur. On fait le point ensemble dans cet article pour que tes soirées se passent en toute sécurité. GHB : qui est-il ? Il s'appelle GHB (Oui trois lettres) ou Acide Gamma-hydroxy Butyrique.
Pour charger une seringue jetable stérile avec la substance médicamenteuse à injecter, on tapote généralement le corps de la seringue afin de faire remonter les bulles d'air qui s'y trouvent. On les expulse ensuite en éjectant en l'air quelques gouttes du produit.
Une piqûre de seringue se présente comme un petit orifice, généralement entouré par un hématome. En d'autres termes, un tout petit trou cerné de rouge ou de bleu. "Mais la difficulté réside dans le fait que la réaction dépend de chacun. Certains ne vont absolument pas bleuir, par exemple", précise Amine Ayari.
Lors de ces piqûres sauvages, l'agresseur peut alors injecter une substance dans votre organisme. Les symptômes rapportés par les témoignages sont divers : bouffées de chaleur, sueurs froides, vertiges, malaise, black-out...
Quels sont les symptômes ? Dans la majorité des cas, les symptômes sont variés, cela peut être un état d'ébriété exacerbé et soudain, des vertiges et des nausées. La vue peut également se troubler et la victime peut avoir des faiblesses musculaires (ex : ne plus sentir ses jambes) et des bouffées de chaleur.
Il est donc très important de se rendre le plus rapidement possible dans un commissariat ou une gendarmerie. En déposant plainte, vous allez être examiné par un médecin légiste qui constate les lésions avant qu'elles ne se résorbent (surtout les traces d'injection et les bleus).
Une seringue doit être dotée d'un dispositif de sécurité pouvant être détaché du corps de la seringue. Le mécanisme de protection de l'aiguille est activé après le prélèvement de l'échantillon pour protéger l'utilisateur de toute exposition à l'aiguille [1].
- 4) Les pommades antihistaminiques ou les antihistaminiques par voie orale sont très efficaces. Sous forme de crème, elles agissent en bloquant les effets de l'histamine.
Selon la quantité de CO2 que vous dégagez, le sexe, les vêtements et votre odeur corporelle (notamment liée à l'alimentation). Les moustiques aiment l'odeur de la sueur. C'est pourquoi, lorsque vous faites du sport ou qu'il fait particulièrement chaud, vous serez plus enclins à vous faire piquer.